HAYK

essay B

They are relatable but as a counter-identification. Most people usualy identify to the good guys and identify to the opposite of the bad guys. Thus the empathy felt is the kind of empathy that distantiates you from the subject instead of projecting you in his psyche : « Poor evil guy, l’m glad l’rn not like hlm ». And this notion of good vs evil, if explained (psychologically) toc clearly takes away part of the mystery of the associations and the connections between good and/vs evil. I find the constant questioning on the rigins of good and evil more beneficial then their psychological explanations.

I think that explaining evil behavior With psychology, in fiction, Sni* to View nextggge Swipe to nex: page reduces Evil from a driven state (physical or2 evil). Which leads mo vie. • identification With th the evil acts being do rsonal character fa metaphysical counter ntiation from a of evil being a constant, a human and social imperfection. La notion de mal apparait d’abord à la réflexion comme négative : une imperfection de la nature,de la société et/ou de l’existence humaine. De quel mal s’agit-il ?

En effet, il existe plusieurs sortes de mal : Le mal métaphysique : il concerne la constitution du monde, l’arrangement des choseset des événements dans le monde. En l’occurrence, il s’agit de l’imper l’imperfection du monde. Le mal moral : il qualifie l’action des hommes, et plus particulièrement, l’action non conforme à ce qu’il est »bien  » de faire (z action non conforme à la « loi morale péché, crime. Le mal physique : qualifie les sentiments des hommes, face à la fois au mal moral et au mal métaphysique : souffrance,tristesse, isère, etc…

Dans notre question, il s’agit du mal en un sens moral, puisqu’il s’agit de l’action de Pharnme. Le mal est ce qui s’oppose au bien moral, à l’exigence de la loi morale. Le terme de »vouloir  » renvoie à la volonté, au principe de l’action et/ ou du choix de ces principes. Elle suppose la conscience et la liberté. Si je veux quelque chose c’est que j’en décide librement, rien(c’est- à-dire : ni les passlons, ni l’Inconscient, ni l’ignorance ne peut en être l’origine) ni personne ne m’y a poussé.

La question de savoir i on peut vouloir le mal signifie donc : peut-on faire le malen connaissance de cause, librement, en sachant que ce que l’on fait est mal ? Ou bien ne fait-on le mal que par aveuglement, à cause des passions, ou de notre histoire passée, en n’ayant pasvraiment conscience de faire le mal ? Dans une première partie, nous étudierons le mal comme un acte involontaire, dans une seconde partie, nous développerons le mal comme un volontaire et enfin, dans unedernière partie, nous nous demanderons si le mal est une constante.