FR 209 Lettre persanes redaccion 3
Frida Gomez « La vertu » selon Usbek et Roxane La vertu est une conduite morale qui fait du bien et évite le mal. Elle est caractérisée par une combinaison de prudence, de tempérance, de force, et de justice. Dans le contexte du roman de Montesquieu, la vertu dévie un thème important pour les personnages d’usbek et de Roxane. Au début du roman, Usbek part de Perse vers l’Europe pour devenir plus vertueux en cherchant laborieusement la sagesse. (L l, 9) À la fin, Roxane, quitte le sérail pour la même raison qu’IJsbek venait de quitter Perse.
Qu’est-ce que la vertu ? La vertu selon Usbek est caractérisée par l’ordre et la soumission des femmes à laquelle Roxane est en désac la liberté des femme À travers la critique européennes, cette r selon Usbek et selon OF S. wp next page u se caractérise par ation. femmes définition de la vertu rtie va analyser ravis d’Usbek à propos de la vertu et la deuxième partie va analyser celle de Roxane. Dans la troisième partie je vais expliqué en quoi consiste la vertu pour la société Troglodyte et les rapports entres leur vertu et la vertu du sérail.
Ce sera Usbek qui devient le porte- arole de Montesquieu pour la première et troisième partie en critiquant la France mais dans la deuxième partie R Swige to next page Roxane devient le porte-parole de Montesquieu pour critiquer l’Orient- Première partie : La vertu selon Usbek En quittant la Perse pour chercher la sagesse, Usbek critique les européens en particulière les femmes à propos de leur manque de vertu. Il ne cesse pas de comparer les femmes libérales d’Europe aux femmes vertueuses du sérail. Dans la lettre Il, Usbek exprime au premier eunuque noir son désir qu’il veille bien sur son sérail au temps de son absence.
Usbek donne des ordres précises en disant qu’ils doivent exécuté « aveuglément toutes leurs volontés et leur [les femmes] fais exécuter de même les lois du sérail. » (LII, 11-13) Usbek est d’accord avec le fait qu’ils les offrent du plaisir mais dans la limite de la vertu. Ici, Usbek compare la vertu au sérail. Pour lui la vertu est synonyme au sérail. Il considère le sérail comme un lieu vertueux car il est rempli de « femmes vertueuses. » Dans cette lettre Usbek dépeint sa forte croyance dans une gouvernance stricte où le relâchement des lois de la pudeur et la modestie doit être écrasés.
La lettre VIII souligne l’enfuit d’usbek à cause des ennemis qu’il s’est fait en restant « vertueux » à la cour. Son enfuit représente l’importance de sa réputation en société. Tout homme symbole de la toute puissance masculine, comme Usbek, veut être regardé avec de respect. La détérioration de sa vertu à la Cour est causée par la perte de respect des autres membres de la cour. 0 détérioration de sa vertu à la Cour est causée par la perte de respect des autres membres de la cour. La protection de la vertu de ses femmes est très important pour lui afin de protéger son tatut en Perse.
Il regarde les femmes comme des objets qui doivent obéir. Gardant la vertu des femmes est très Important rien que pour montrer sa puissance masculine et son bon statut en société. Dans lettre XXIII, Usbek se rend étonné par les femmes en Europe et critique sa liberté dans la société. « Les femmes y jouissent d’une grande liberté. Elles peuvent voir les hommes ? travers certaines fenêtres qu’on nomme jalousies ; elles peuvent sortir tous les jours avec quelques vieilles qui les accompagnent ; elles n’ont qu’un voile. » (L XXIII, 5-8) Il sent toutes les différences es cultures entre la Perse et l’Europe.
Il critique toutes les différences des cultures et se rend en état de choc par le fait que les femmes européens ne portent qu’un voile pendant que les femmes persanes en ont quatre. La liberté des femmes européens est soulignée par Usbek. Étant donné ce que nous savons des femmes d’Usbek qui sont « emprisonnée » dans un sérail, il n’est pas correcte le fait que les femmes soient exposées au vice et à cette liberté qui risque de corrompre leur vertu. L’importance de la vertu n’est pas aussi précieuse pour les femmes européennes que pour les femmes persanes.
La lettre XXVI est adressée à Roxane dont Usbek fait européennes que pour les femmes persanes. La lettre XXVI est adressée à Roxane dont Usbek fait l’éloge de la vertu car même en sa présence, elle a toujours gardé sa pudeur. Usbek s’excuse de l’avoir laissée car elle méritait mieux. Usbek croit dans l’enfermement des femmes au sérail pour les préserver des hommes au regard pervers, « souillés de ces regards lascifs » (L XXVI, 7-8) En accordant avec les idées d’Usbek l’enfermement en une façon de préserver l’ordre, la prudence, et surtout la vertu. ? Que vous êtes heureuse Roxane, d’être dans le oux pays de Perse, et non pas dans ces climats empoisonnés où l’on ne connaît ni la pudeur ni la vertu ! » (L XXVI, 1-4) C’est l’ordre crée par l’enfermement et la supervision des eunuques que leurs vertus sont protégés. Les femmes caractérisés par la vertu sont celles qui obéissent leur maitre/ époux et qui sont respectueuses. Ces deux éléments proviennent la vertu ; une conduite morale qui fait du bien et évite le mal. De nouveau dans la lettre LVI Usbek fait une critique à propos de la vertu des femmes.
Ici, il critique la puissance du jeu en France ans lequel même les femmes se perdent. « Elles veulent ruiner leurs maris et, pour y parvenir, elles ont des moyens pour tous les âges, depuis la plus tendre jeunesse jusques à la vieillesse la plus décrépite « : les habits et les équipages commencent le dérangement ; la coquetterie l’augmente ; le jeu l’achève. » (L L 4 0 commencent le dérangement ; la coquetterie l’augmente ; le jeu l’achève. » (L L VI, 12-16) Il attaque les femmes directement dans sa lettre en évoquant la domination d’empire des femmes sur leurs maris.
Usbek est complètement en désaccorde avec ‘idée car tout ce qui peut troubler la raison devrait être priver. En ce cas, le jeu et l’empire des femmes trouble la raison et occasionnent une mauvaise conduite morale. Les femmes exaltées par le vice du jeu qui trouble leur raison son symbole des femmes non vertueuses. Le désordre parmi les femmes du sérail dans la lettre LXV est un autre facteur qui trouble la raison des femmes. Leur raison troublée découle un conduit moral non vertueux. Usbek écrit ? ses femmes qu’elles doivent changer de comportement si elles ne veulent qu’ils [les eunuques] prennent des mesures drastiques.
Cette lettre est un exemple de ce qui la vertu n’est pas. La vertu n’est pas le désordre, mais tout le contraire. La vertu vient accompagnée de l’ordre et de la domination et soumission des femmes afin laquelle il utilise pour gouverner son sérail. Usbek emploi sa gouvernance du sérail à travers les eunuques. Ils représentent la mesure et la limitation de liberté pour les femmes au sérail. Afin de garder leur « trésor sacré » [leur virginité], les eunuques sont mis en place. La vertu des femmes au sérail est confiée aux énuques autant qu’il revient de l’Europe.
Peu à peu ‘absence d’Usbek affaiblit so est confiée aux énuques autant qu’il revient de l’Europe. Peu ? peu l’absence d’IJsbek affaiblit son contrôle du sérail. À cause de la « révolution intérieure » et conduite non vertueuse des femmes au sérail, leur vertu commence à s’affaiblir. Deuxieme partie : La vertu selon Roxane Le sérail d’Usbek représente une cage dorée pour ses femmes en Perse. Le désordre prend contrôle du sérail et la vertu des femmes commence à être lentement détruit. La vertu n’est pas obtenue par l’enfermement et strictes limitations, afin de « garder leurs trésors. ?? Dans la dernière lettre CLXI, le dénouement du roman sentimental est présenté. La lettre dénonce la vengeance de Roxane, sa mort, et les critiques des mœurs du sérail. Je vais d’abord analyser la vengeance de Roxane vers Usbek. À la fin, Roxane admet d’avoir trompé Usbek. Elle force Usbek presque à l’admirer. Elle admet à le toujours hait. Roxane exprime sa répugnance en disant que c’est le sérail et ses limitations qui l’a corrompue. La vertu ne consistent pas en être soumises à son maître, ne consiste pas en adorer les caprices du maître, et ne consistent pas aux soumission aux fantaisies.
La vertu consiste en être libérée des dominations, caprices, et fantaisies. La vertu est caractérisée par le concept de la femme libérée. Pour Roxane cette libération entame sa mort à la fin. La mort de Roxane la libère physiquement et psychologiquement de la cage dorée qui était le 6 0 fin. La mort de Roxane la libère physiquement et psychologiquement de la cage dorée qui était le sérail. Physiquement elle ne sera plus au sérail et psychologiquement elle ne sera plus un esclave de l’injustice.
Pour Roxane les injustices sont représentées par les adorations de caprices ‘Usbek mais l’affligeant de touts ses propres désirs. « Comment as-tu pensé que je fusse assez crédule, pour m’imaginer que je ne fusse dans le monde que pour adorer tes caprices ? que, pendant que tu te permets tout, tu eusses le droit d’affliger tous mes désirs ? » (L CI_XI, 10-13) Roxane remarque aussi que même l’enfermement ne l’a pas empêcher d’être libre. L’enfermement au sérail a altéré sa vertu. Même son emprisonnement n’a pas été suffit pour faire garde de sa vertu dont Usbek réclamé était la seule façon de les protéger.
Elle défit l’idée de l’emprisonnement n disant que la vertu n’est pas un résultat de la soumission de femmes si non elle [la vertu] est en quelque sorte une libération d’esprit. Les diverses restrictions imposées par les eunuques au sérail ne servent qu’à corrompre la vertu des femmes. « Non j’ai pu vivre dans la servitude, mais j’ai toujours été libre ; j’ai reformé tes lois sur celles de la nature, et mon esprit s’est toujours tenu dans l’indépendance. » (L CLXI, 14-16) Les restrictions terminent par la destruction et corruption de leur vertu. Afin d’être vertueuses, les femmes n’ont pas besoin des eunuqu