Fin Chap 8 Conomie
Fin du chapitre 8 Il Quelles actions sont mises en place ? Al De nouveaux indicateurs L’Union Européenne est un des continents le plus en pointe dans la démarche pour un édveloppement durable. Elle a instauré un certain nombre d’indicateurs. Taux de croissance Indice d’abondance des oiseaux communs Total des émissions de gaz à effet de serre Prise de poissons en dehors des limites biologiques (au delà du seuil de reprodcution Part des énergies ren Espérance de vie EN Part de la consomma consommation total Sni* to tion totale d’énergie ports/à la
Taux de risque de pauvret2 apr7s les trans erts sociaux (après versements des allocations sociales) Productivté des ressources (comment produire avec moins de ressource) Taux d’emploi des travailleurs âgés (55-64 ans) Aide publique au développement Ces indicateurs observent : la croissance, la pollution atmosphérique, les énergies renouvelables, les transports et process de production, la biodiversité, la santé humaine et le développement. Au niveau mondial, on reconnait différents indicateurs : le PIB (somme des VA d’un pays) – le coût des pollutions, xternalits négatives…
IPV (indicateur de progrès véritable) : prend en compte en plus du PIB, la production domestique, les externalités positives… et en moins, les externalités négatives (sociales et environnementales). 3/ Des instruments spécifiques pour le développement durable Les moyens utilisables sont soit ceux du marché (ex. Marché des droits à polluer, selon la thèse de Ronald Coase, qui prédit que le prix des pollutions autorisées va entrainer naturellement la réduction de celles-ci, dans le but de réduire les coûts), soit eux qul laissent intervenlr l’Etat (ex.
Principe du pollueur/payeur d’Alfred Pigou, qui propose de taxer les activités polluantes pour inciter les comportements à se modifier) ou la règlementation Comment s’effectue la mise en oeuvre de ces moyens ? Au niveau mondial, on peut citer l’Agenda 21. En 1992, au sommet de la terre à Rio, les pays ont défini un agenda pour le 21ème siècle, orienté vers le développement durable. Cet agenda devait être édcliné par des actions concrètes au niveau de chaque pays et collectivtés.
Il met l’accent sur utte contre le réchauffement climatique préservation de la bio-diversité et la proection des milieux et des ressources l’épanouissement de tous les êtres humains la cohésion sociale et I solidarité entre territoires et générations une dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsables. 1997 : protocole de Kyoto, qui fixe des oejctifs quantitatifs en matière de réduction des pollutions (entré en vigeur en 2005). On notera que de grandes puissances économiques comme les Etats Unis ou la Chine ont refus PAG » OF d
On notera que de grandes puissances économiques comme les Etats Unis ou la Chine ont refusé de ratifier ce protocole, de peur de devoir limiter leur croissance. En Novembre 2014, ces pays ont conclu un accord en s’engageant de rédulre leurs émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 pour la Chine et 2025 pour les Etats-Unis. En effet, les populations de ces pays sont de plus en plus sensibles à ces questions environnementales. Au niveau européen : le marché des droits à polluer a été mis en place, mais sans réel succès.
Pour ne pas freiner la croissance et ouleverser trop radicalement les processus de production les premiers quotas ont été distribués gratuitement. Cependant, ils ont été trop élevés et la crise qui a suivi a ralenti la production. On est donc en situation de sur-abondance des droits à polluer, ce qui a fait chuter le prix des quotas et ne permet pas au marché de réguler lé’mission de pollution. L’Europe a également travaillé à la définition d’indicateurs de développement durable, ce qui permet de faire un état des lieux, de fixer des objectifs pour chaque pays et de faire un suivi.
Au niveau de la France : la France a traduit ses différentes directives à travers le Grenelle de l’environnement. Cet ensemble de texte prévoit des mesures incitatives pour impulser des comportements plus « propres moins gourmands en énergie (ex. Soutien aux travaux d’isolation des habitats, réduction d’impôts, bonus/malus écologique pour les véhicules, tentative d’instaurer une « éco-taxe Au regard de certains indicateurs, notamment européens et devant être mis en oeuvre en France, on note une situation différenciée (2010) : des indicateurs sont conformes ou vont