Micro conomie COMPLET

essay B

Micro-économie de l’entreprise. Introduction générale . 1. La macro économie s’intéresse aux fonctionnements des systèmes économiques dans leurs ensembles. On partait alors de regroupement d’acteur (les secteurs institutionnel comme les ménages par exemple). L’échelle d’analyse est celle d’un pays, d’une région. On s’intéresse aux flux économiques qui circulent entre ces différents groupements d’acteurs et on en déduit des ratios et agrégats. Le rôle descriptif est important. L’objectif est d’accroitre le bien être. L’autre fonction est de mettre en lumière les grandes fonctions onsommation…

Ent équilibres (solde bud dernier point essenti entité qui a la volont ccs or61 to nextggge sement, la , s’établissent des x de chômage… ). Le état, c’est la seule r les équilibres. L’auteur fondamental de la macroeconomie est Keynes. Cest le paradigme keynésien. La micro-économie est une autre branche de l’économie. On étudie la même chose mais différemment. On s’intéresse ? des unités individuelles (ménages, producteurs… ) que l’on considère comme libres et isolées. On s’intéresse donc ici à leur comportement. Les agents que l’on va observer doivent être utonomes.

On étudie les choix et les décisions de ces unités (combien, à qui, où… ; pourquoi théorie sur laquelle on va se baser est le paradigme marginaliste (Warlas). La question de la consommation : en macro, on l’écrit : C = cY+ Co. On regarde la consommation n Swlpe to vlew next page nationale. En micro, elle va être traitée par une étude de marché. On étudie le comportement d’un consommateur (autonome et isolé). On établlt alors une fonction d’utilité : C’est une fonction qui décrit l’utilité (=satisfaction) d’un ménage, d’un consommateur dont la satisfaction dépend de la onsommation des biens x, y, z…

La contrainte est le revenu. La question de la microéconomie est donc : Comment va maximiser le consommateur son utilité sachant qu’il est sous contrainte avec un revenu R z… Macroéconomie Microécnomie Holisme Regroupement d’acteurs Agrégats à grande échelle Rôle de l’état + Keynes Description Individualisme méthodologique Prescription Unités individuelles libres et isolées Choix et décislons Marginaliste + théorie néoclassique + Walras En macro, on s’intéresse aux regroupements d’acteurs (secteurs institutionnels), aux systèmes économiques (pays, régions, etc. aux flux économiques entre ses regroupements d’acteurs, aux ratios et aux agrégats. On faisait apparaitre les grandes fonctions économques (consommatlon, investissement, etc. ), les équilibres (emplois/ressources), le rôle central de l’Etat, au paradigme économique de Keynes. En micro, on s’intéresse aux unités individuelles, qu’on va considérer libres et isolée , les choix et les décisions PAGF 61 rapport à son revenu. En macro, on parlera de holisme, et en micro d’individualisme méthodologique.

Le holisme signifie que l’analyse des faits éco doit être faite au niveau global. C’est à partir de es comportements globaux, qu’on peut comprendre les comportements individuels. En micro, les faits doivent être compris par rapport aux comportements individuels. En micro, les effets vont être des résultats collectifs involontaires. Chapitre 1 : Présentation générale de l’entreprise. Section 1 : définition et typologie des entreprises. Une entreprise est une institution autonome qui combine des facteurs de production en vue de produire des biens et services destinés à être vendu.

Deux questions pourquol faut-il combiner les facteurs de production? Pourquoi faut-il le faire au sein d’une institution autonome? A/ Pourquoi existe-il des entreprises? 1)La nécessité du travail en équipe. La combinaison des facteurs de production produisait des meilleurs résultats. Cest le principe de la division du travail. Chaque ouvier va se spécialiser dans une tâche. La division du travail va augmenter l’efficacité de l’entreprise. Le rassemblement augmente l’efficacité. Il est donc naturel de créer des entreprises. 2)Coût de négociation et de contrôle.

Association des travailleurs avec un chef d’entreprise. variées. En 2010 il ya eut 622 000 créations d’entreprises . Elles jouent un rôle fondamental dans une économie de marché, ar elles créent la richesse, répartissent les revenus, qui sont ? l’origine de la consommation, etc. 1) Une unité de production et de répartition. Définition : c’est une organisation économique autonome disposant de moyens humains et matériels (capital, travail, moyens financiers), qu’elle combine en vue de produire des biens et services destinés à la vente. our se fournir tous les moyens de production ( travail , captal , les entreprises vont les acquérir sur les différents marchés, elle assure alors la répartition primaire de la richesse ( revenus Production Chiffre d’affaire (production vendue) Variation des stocks (production stockée) VAB RS Impôts (Répartitions Salariés) EBE (profit brut) SRP Répartition primaire. (Intérêts, divldendes, loyers) (solde rev prim) RDB= 1 de conflit social (soit entre catégorie de salariés, ou entre salariés et direction). ) un centre de décislons économiques. Les entreprises décident de ce qu’elles produisent, de la nature des produits, de quantités produites, de la façon de produire (la combinaison productive), des prix des produits. Ce sont des choix économiques de l’entreprise, et elle va les faire afin d’atteindre ses objectifs. Ce pouvoir de décisions qu’a l’entreprise repose sur son autonomie. (un mc donald ne peux pas lui seul décider de créer un nouveau sandwich… ) B/ La diversité des entreprises. (td 1) 1) La diversité des activités.

On peut ranger les entreprises selon leur activité (par exemple par les différents secteurs [primaire, secondaire, et tertiaire], mais elle est simpliste). Il existe la nomenclature d’activité française (NAF), avec différents niveaux : > 6, 17, 31, 62, 224, 712… Secteur primaire : toute l’agriculture, la pêche… directement en relation avec la nature. Secteur secondaire : rassemble toutes les activités de ransformation (industrie, bâtiments et travaux publics). Secteur tertiaire : services (transports, tous les commerces, enseignement, santé).

INSEE -> nomenclature d’activités françaises. Il semblerait qu’il apparaisse un secteur quaternaire : la haute technologie de grande consommation (entreprises de communication). 2) La diversité des dimen PAGF s 1 rentabilité, etc. Le plus utilisé est celui du nombre de salariés. C’est le critère utilisé par l’INSEE, et par tout le droit social. Chiffre de 2009 : 2. 9 millions d’entreprises : Grandes entreprises : + de 250 salariés (4610 entreprises 1<1961). Moyennes entreprises : 20 à 249 salariés [6%] Petites entreprises : IO à 19 salariés [3%].

Très petites entreprises [94% des entreprises françaises] (O à 9 salariés). Parmi celles-ci, les 2/3 sont des entreprises individuelles avec O salariés. Les très petites entreprises constituent 94% des entreprises. Elles sont très personnalisées. La personne qui possède l’entreprise est aussi la personne qui la dirige. Elles sont très dépendantes de leur environnement, mais elles ne le maitrise pas. On les trouve dans l’artisanat, la restauration, les professions libérales, petit commerce, agriculture. L’échelle d’activité est très localisée. Le marché des très petites entreprises est local. Voir tableau page 7) Les petites et moyennes entreprises constituent 6% des entreprises, or ce sont les cibles principales des politiques. Ce sont ce qu’on appelle des entreprises familiales, c’est-à-dire que la gestion est faite par personnes proches (famille, associés, etc. ). Souvent, la propriété et la gestion sont confondues. Elles sont souvent confrontées à des problèmes de financement. On les trouve dans le domaine de la sous-traitance, dans des petites séries spécialisées (« niches économiques »), et sur des créneaux ibres des grandes entreprises.

Leur échelle est régionale, car elles ont des difficultés d’accès à des gros réseaux de distribution. Les PME emploient beaucoup de personne 6 1 difficultés d’accès à des gros réseaux de distribution. Les PME emploient beaucoup de personnes, et c’est elles qui mettent en place l’innovation, qui est essentielle pour la dynamique économique d’un pays. Le marché des PME est régional (par ex : le marché du sud-ouest). Les grandes entreprises sont un petit ensemble, elles sont très diverses. Elles sont grandes par leur effectif, mais aussi par leur puissance financière.

Dans la plupart des cas, ce sont des sociétés : grands nombres d’associés propriétaires, et c’est grâce à cela qu’elles peuvent manifester de grands moyens financiers. On assiste alors à la séparation entre propriété et gestion de l’entreprise. Les propriétés vont employer une technostructure, c’est-à-dire qu’ils vont payer des cadres (PDG) pour gérer Pentreprise. Le seul pouvoir du propriétaire est de licencier le cadre. Ce sont dans ces entreprises qu’il y a la gestion la plus évoluée, mais aussi les problèmes sociaux les plus vifs.

Le domaine principal est celui de la production de masse, ais qui peut être très diversifiée. L’échelle est nationale voire internationale. Ce sont des entreprises puissantes d’un point de vue technique, financier, politique, elles ont un impact important sur renvironnement. Elles sont très souvent constituées en groupe : ensemble de sociétés qui ont des relations financières et économiques et qui sont contrôlées soit par une société mère soit par une société de portefeuille (holding). La société mère est une des sociétés du groupe, la société portefeuille est une société purement financière, qui ne produit rien.

Il existe deux types de elations : les entreprises s 7 1 financière, qui ne produit rien. Il existe deux types de relations : les entreprises sont soit des filiales (contrôle supérieur à 50%) soit des prises de participation (contrôle supérieur à et inférieur à 5096). On associe aux grandes entreprlses le nom de multi nationale ou de groupe multi national. Mais une multi nationale ne veut pas dire grandes entreprises, ce n’est pas lié à la taille ; il faut qu’une partie de la sous-traitance soit faite dans un autre pays. -> Il est important de distinguer les tailles d’entreprises (voir histogramme page 8). La diversité des statuts juridiques. Les entreprises du secteur privé : les capitaux sont apportés par des personnes privées. Ce sont ces personnes qui détiennent le pouvoir de décision. Ce sont les actionnaires qui décident. Ce sont les entreprises les plus nombreuses. Cependant, il existe des risques financiers, qui peuvent être illimités ou limités. En illimité, toutes les personnalités juridiques sont confondues, comme les entrepreneurs indlvlduels, ou les SNC (société en nom collectif (ex : Dupont père &fils. Présente une responsabilité illimitée et de façon solidaire).

En limité, il y a une distinction entre la personnalité juridique ce qui limite le risque (société anonyme, société à responsabilité limitée : SARL société de personne à responsabilité limitée, chaque associé sera responsable des dettes contractées par l’entreprise à hauteur du capital qu’il a contracté au départ. Variante de la SARL : ASARL ou EURL (entreprise unipersonnelle ? responsabilité limitée). La faillite de l’entreprise n’entralne pas la faillite du ménage. Les sociétés de capitaux : I 61 limitée). La faillite de l’entreprise n’entraine pas la faillite du énage.

Les sociétés de capitaux : les sociétés anonymes, les actionnaires peuvent à tout moment céder leurs actlons (la SAS : 2 actionnaires minimum), société en commandites par action avec des commandités (responsable de leur patrimoine personnel) et des commanditaires (=investisseurs). Elles ne pèsent que 1. 6% des entreprises mais sont de grandes tailles. Les entreprises de réconomie sociale : secteur hybride : il emprunte aux 2 précédents. Elles font partis du secteur privé, mais elles n’ont pas comme objectif premier le profit, elles ont un but non lucratif.

Elles sont basées sur des principes de solidarité entre les sociétés (coopératives, mutuelles, associations et les fondations). Elles ont des salariés car il y a une production de biens et sewices mais elle vient en appui d’un objectif sportif ou culturel. Les coopératives se trouvent dans le domaine agricole et dans le monde du crédit ou de la banque (crédit agricole, crédit mutuelle, banque populaire). Les entreprises du secteur public : elles ont une activité commerciale, or elles sont censées assurer certains services au profit de la collectivité (SNCF, la Poste, AREVA… ).

Le nombre d’entreprises a diminué. C/ La question des frontières de l’entreprise. Où commence et où s’arrête une entreprise ? On parle des relations entre les entreprises, et de leurs partenariats. Il en existe deux formes : Verticale : Relations marchandes simples. Relations de sous-traitance. Relations de partenariat. Horizontale : Relations ent 61 rise et ses concurrents, Horizontale : Relations entre une entreprise et ses concurrents, même si elles sont parfois interdites. Il existe des accords entre les entreprises par exemple sur la fabrication, ce qul est économiquement justifié.

Cependant il y a alors un brouillage des frontières de l’entreprise. Toutes ces relations brouillent considérablement les frontières de l’entreprise, et la responsabilité des décisions. Section 2 : La représentation comptable de l’entreprise : le compte de résultat. Quelque soit l’agent qu’on observe, il y a toujours deux choses qu’on peut caractériser Le patrimoine d’un agent : richesse accumulée au cours du temps : c’est un stock (brevet, fonds commerciaux, portefeuille d’actions, etc). On en déduit la situation nette de l’entreprise, c’est le bilan de l’entreprise. Le revenu d’un agent : c’est un flux (profit).

On en déduit le résultat de l’entreprise, c’est la rédaction du compte de résultat. A/ Les structures du bilan. On va s’intéresser sur l’observation annuelle du patrimoine de l’entreprise. Il se structure en deux parties. L’actif Le passif. L’actif immobilisé . Les capitaux propres permanents : qui sont les capitaux que l’E détient. c’est l’actif détenu par l’entreprise e capital financier, les résewes (profit faits aux cours des années), à long terme (matériel, etc). le résultat (ce qui a été généré au cours d’une année), les provisions (argent mis de c rise). > long terme.