Fiche Technique 1

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Fiche technique 2 Les costumes pour les hommes L’article de première nécessité pour les hommes était le costume. Chaque homme avait un justaucorps, des culottes courtes, une longue veste, et parfois un jabot blanc. Les vestes, généralement de brocart, étaient très ajustées en haut, et en bas, elles s’évasaient du corps, laissant une place pour l’épée pour descendre jusqu’au genou. Les manches sont ajustées et ornées de galons. La chemise se porte avec un gilet aussi long que la veste Swpe to page à boutonnage serré porte parfois avec un o or7 les culottes serrées j e _ to View couleur pour les plus vec une boucle finis s.

La chemise se s mettaient, sous , des bas de soie ( en plates et noires s classes sociales ont mis ces costumes pendant le si cle entier sans beaucoup de changements. La coiffure consiste en des rouleaux de cheveux couvrant les oreilles aussi appelés ailes de pigeon ; cette coiffure élaborée entraine souvent le port de perruque l’imitant. Entre les classes économiques et sociales, le style des vêtements ne différait pas vraiment ; mais c’était par les tissus qu’elles étaient facilement distinguées.

Les classes supérieures utilisaient les soies, les brocarts et e velours pour les costumes et les robes, pendant que les classes populaires et les paysans utilisaient la laine la laine et le coton, qui étaient moins chers. Les vestes de la noblesse avaient les embellissements, des broderies et des douzaines de boutons qui étaient considérés comme des bijoux. Les hommes des classes supérieures mettaient aussl des postiches blancs poudrés avec des boucles de cheveux près du visage et une queue.

La classe ouvrière portait les vestes très peu ornées et les cheveux longs en queue de cheval nouée sur la nuque Fiche technique 3 Les vêtements des femmes Se faisant Pécho du gouvernement, les vêtements des femmes de cette époque adoptèrent une mode plus informelle. Les formes des robes devenaient plus naturelles. Comme pour les hommes, ce n’est pas par leur forme mais par leurs tissus que les vêtements des femmes riches différaient de ceux des femmes modestes. Pendant la plus grande partie du xviiie siècle les femmes portaient des robes flottantes.

Elles avaient des jupes amplement drapés par-dessus des paniers. La silhouette des femmes qui les portaient semblait une grande cloche avec une très petite taille et de larges hanches. La plupart des robes étaient à taille asse, en pointe. Sous chaque robe les femmes mettaient un corps baleiné et des jupons. Les corsets étaient essentiels pour obtenir une petite taille et pour maintenir la forme des corsages, et les jupons aidaient à soutenir les paniers sous les jupes. Des plis Watteau couvraient les dos des manteaux et une traine complétait ces robes élé antes.

En 1740, la silhouette des ro *AGF 9 rif 7 manteaux et une traîne complétait ces robes élégantes. En 1740, la silhouette des robes a été transformée. Les paniers ont pris de l’ampleur autour des hanches, les jupes se mettant à ressembler à des boîtes. Juste avant que cet engouement ne disparaisse, l’ampleur de certaines de ces robes atteignait quatre mètres. Mais après cette brève lubie, les formes plus naturelles sont revenues. Cette mode des robes imposantes et incommodes pour se présenter en société va amener l’apparition du négligé afin de revêtir une tenue confortable chez soi.

Jusqu’en 1720, la mode est à la coiffe fontange consistant en un bonnet garni d’une forme en fil de fer assez élevée composée de plusieurs degrés garnis de mousseline, de rubans, de fleurs et de plumes. Les cheveux ne se coupent plus, on en ajoute même des postiches pour gagner du bouffant. De nombreux accessoires (fleurs, oiseaux, poupée, animaux, etc. ) s’ajoutent ? la coiffure pour exprimer les goûts de celle qui les portent. Ils se poudrent aussi afin d’être blanc. Elles portent parfois un laissez-tout-faire qui est un tablier orné qui se porte par élégance.

C’est la mode des ombrelles. Les chaussures sont des escarpins ou des mules en soie à talons très haut. Comme Louis XV, les femmes riches utilisaient les tissus de luxe pour leurs robes. Le satin, le taffetas, le velours, et les soies étaient populaires, et les robes étaient souvent couvertes de broderie fleurie, dans le style féminin du Rococo. Les bourgeoises utilisaient le c PAGF3C,F7 couvertes de broderie fleurie, dans le style féminin du Rococo. Les bourgeoises utilisaient le coton et la laine et elles mettaient des jupons rigides au lieu de paniers.

Le détail et les bijoux manquaient dans les robes de paysans, mais la forme fondamentale restait la même. Sans exception, tout le monde essaie d’être à la mode. Les gens riches, même les paysans, imitaient les styles du roi et de sa cour. Les classes sociales ont certainement influencé la mode au xviiie siècle, mais la mode a également influencé les classes sociales. Fiche technique 4 Le corset La poitrine est haute, le buste conique, la taille est effilée. Jusqu’à la révolution, c’est la robe à la française qui triomphe.

Elle se compose d’une jupe soutenue par des fanons de baleines oucerceaux d’osiers, d’un corsage piqué, baleiné et ajusté, parfois rembourré d’une pièce d’estomac portée sur le thorax et l’abdomen, sorte de plastron rigide maintenu par un busc ou du carton. Il est lacé dans le dos. La silhouette est modelée ainsi, grâce au corset à baleines et des paniers pour répondre aux normes de beauté de l’époque ou la taille doit être fine, la gorge elevée, ferme et bien arrondie. Le corps feminin est entièrement reformulé pour gommer les formes naturelles.

Le décolleté est typique de l’époque du rococo. Ce sont des robes avant tout de représentation (robes de cour). Peu à peu, à la suite de l’ancien régime (emblème d’une classe qui n’existe plus) et du retour a la nature, le costume d régime (emblème d’une classe qui n’existe plus) et du retour a la nature, le costume devient sobre et simple et s’inspire de la mode anglaise, plus champêtre. Il met en avant une silhouette conique, apparition de la Pièce d’estomac, souvent amovible, richement ornée sur le devant.

Du xvie au xviiie siècle, le corset est plus fréquemment appelé corps à baleines. La partie supérieure du « Grand habit » de cour féminin est un corset très serré et rigide nommé le « grand corps D, de forme conique et étroite, qui comprime fortement les côtes flottantes (basses), et dont les bretelles projettent les épaules en arrière, rapprochant les omoplates et donnant un dos très droit et un beau port de tête. C’est probablement la forme de corset la plus contraignante à avoir jamais été portée Fiche technique 5 Les coiffures Le dix-huitième siècle fut un âge d’élégance.

Jamais dans l’histoire ous voyons des hommes et des femmes si minutieusement artificielles, si très loin de leur apparence naturelle. Ce qui ne pouvait pas être fait avec les cheveux naturels a été fait avec des perruques. Cette époque fut une explosion extravagante de coiffures étonnantes, une réaction totalement opposée ? la pudeur et à la reserve des siècles anterieurs. Les coiffures étaient en concordance avec le style ‘Rococo », qui était le plus important presque jusqu’à la fin du siècle. Cétait un mouvement artistique dans lequel les courbes en forme de « S’ ont prédominé, avec des asymétries, soulignant le cont