Fiche histoire sociale et contemporaine

essay A+

Fiche Première partie – L’ordre libéral du XIXe siècle (1789-1880) – Chapitre 1 L’héritage de la Révolution française Section 1 – La fin du travail hiérarchisé 51 Retour sur l’organisation corporative de l’ancienne France A) La corporation, m au 13 eme slecle, les 6 avait pas de protecti „ page B) Les principes cons Corporation hierarchi travail Naissance our festoyer + il n’y 3 principes on – maitre) + Charte corporative qui édicte un réglement ( conditions de travail etc.. + Monopole C) L’attitude du roi face aux corporations Le roi est tres favorable car il va prelever des impots + pas de revolte populaire 2 Les résistances au corporatisme au XVIIIe siècle les corporations vont montrer leur limites donc cela va provoquer des résistances A) Des résistances motivées par des abus Le roi leve tros d’impots + plus de merites parce qu’il n’y a que les fils de maitre qui deviennent maitre + probleme de monopole ( delimitation des frontiere + manque d’innovation ) B) Les différentes formes de résistance corporations vont a l’encontre du principe libéral, a cause du monopole + Turgot le ministre des finance de Louis 14 va meme tenter de supprimer les corporations en 1 776 mais cela a échoué ) Et 13 ans plus tard c’est la révolution francais qui va mettre en place le régime individualiste du travail Section 2 – Le régime individualiste du travail (la révolution francaise va complétement boulverser le monde du travail et on va passer du vieux systeme corporatif a un systeme individualiste) SI Les facteurs d’élaboration A) L’approche des économistes ( les physiocrate, ce sont les ancetres de libéraux, ) 3) La théorie juridique (article 11-134, les individus peuvent s’organiser comme ils veulent et cela va arranger les deux parties, a travers un contrat meme si en réalité un employé et un mployeur ne se parle pas d’égal a égal C) Les idées philosophiques ( les philosphes des lumieres vont apportéa la notion de liberté et d’égalité + alors qu’avant il y avait un droit pour chaque classe social) 52 Les principes du régime individualiste du travail A) Les principes issus de la Révolution française 1. La liberté du travail ( Le salarié peut choisir librement son employeur et le lendemin peut travailler ailleur et le patron est libre d’embaucher qui il veut = les deux sont deux hommes libre ) 2. L’interdiction des groupements professionnels et des coalitions (Loi chapelier = interdit les syndicats et les greves ) ) Les principes issus de la apoléonienne IE napoléonienne 1.

Le laconisme du Code civil quant au contrat de louage ( tres peu d’article sur le contrat de travail car on pensait que le contrat était libre + parce qu’avant il y avait que tres peu d’artisants et paas de grandes usines ) 2. L’inégalité entre patrons et ouvriers quant à la preuve du contrat de louage (en cas de conflit entre ouvrier patron, on donne toujours raison au patrons car on juger qu’il avait plus de responsabilité) C) Les limites au libéralisme : l’organisation de la discipline 1. Le livret ouvrier ( On réinstaure le livret ouvrier en 1803 + c’est ne mesure qui sert a controler la classe ouvriere ) 2. Le règlement d’atelier ( il s’agit d’un reglement qu’on trouve afficher dans l’usine + en cas de mauvais comportement ( comme dispute ivresse etc.. on colle une retenus sur salaire a l’ouvrier ) * Bilan du régime individualiste du travail * – C’est un régime qui pésente 3 Inconvéniant ( l’ouvrier seul face au patron car pas de greve ni syndicat + il vit dans un environnement bcp plus incertains car il peut etre licencier du jour au lendemin + il n’y a plus de solidarité car les patrons et les ouvriers ne se connaissent meme plus ) Section 3 — La prise en charge de l’assistance par les pouvoirs publics 51 Retour sur l’assistance sous rAncien Régime A) L’assistance, prérogative traditionnelle de l’Eglise ( les hommes sont égaux au regard de dieu + l’église demande au croyant de pratiqué la charité + l’église va crée des hospices, orphelinats etc.. ) 3) La multiplication des int vales sous l’Ancien 3 OF IE hospices, orphelinats etc.. B) La multiplication des interventions royales sous l’Ancien Régime ( Les philosophes des lumieres sont en générale contre la religions, on va assister a un processus de laicisation de ‘assistance ) 52 La prise en charge de l’assistance par la Nation sous la Révolution A) La réflexion des révolutionnaires ( Des le debut de la révolution francaise, on commence a réfléchir a cette idées, on va crée des comités de mendicité, on propose des solutions en matieres social + on cherche a soulager les pauvres car SI ils sont pauvres c’est a cause d’une mauvaise géstions = aider les gens qui ne peuvent travailler, alloc aux veuves, aide publique financer par l’impot ) B) La concrétisation des mesures 1. Les mesures adoptées par la Convention (1792-1795) ( aide nvers les nesseciteux avec le grand livre de bienfaisance national, on y inscrit toutes les veuves, infirmes etc.. t on leur donne une pension + interdire la mendicité ) 2. Les mesures adoptées par le Directoire (1795-1799) ( il y aura un transfert de compétence, on dira que l’aide devrai se faire au niveau de la commune ) Chapitre 2 L’avènement de la « question sociale » Section 1 – Les réalités de la condition ouvrière 51 La dureté de la condition ouvrière A) Les conditions de travail 1. La pénibilité du travail industriel l’invention des mahines n’alleees pas du tout la ch 4 OF IE , au contraire + les usines ‘autre + c’est bruyant et toxique + la durée de travail et entre 12 et 1 5h par jour + l’ouvrier est maintenant payer en fonction de sa production ) 2.

L’exploitation des femmes et des enfants ( elle travail autant que les hommes et sont payer 2 fois moins et les enfants 4 fois mois + les femmes surtout dans le textile et les enfants dans les endroits etroit ou les grands ne peuvent pas aller + il n’y a donc plus de revendication salarial car si c’est le cas, il licencie les hommes et prend les gemmes et enfants ) 3. L’appropriation de l’espace et du temps ( avant on viviat avec le rythme de la nature et du soleil aors que maintenant es horaire sont strict + l’usine est délimité par du grillage et psychologiquement il faut shabituer a ca ) B) Les conditions de vie 1. Survivre plutôt que vivre ( mains d’oeuvre abondante donc salaire tres bas = a peine de quoi manger et dequoi se loger + ils vivents entasser dans des taudis et mange tres mal ) 2.

Les menaces du lendemain ( d’abord menacer par la mort = il y a bcp d’épiderme et le travail est risqué + menacé par le risque de licenciement élevé ) S2 La protection sociale entre initiative privée et assistance publique A) La prépondérance de l’initiative privée 1. Le paternalisme, ou l’action des patrons (patrons religieux qui vont aider l’ouvrier = [en leur proposant des habitations ( HEM) + maison de retraite + magasin ouvrier moins cher ( economa ) + loisirs pour ouvrier en créant des fanfarre + sport ( foot) + bibliotheqe et cour du soir ] + les patrons vont prendre un peu le role de pere, l’ouvrier foot) + bibliotheqe et cour du soir ] + les patrons vont prendre un peu le role de pere, l’ouvrier va etre pris en charge de sa naissance a sa mort + ils se rend compte qu’ils ne peut s’émanciper dans de tel conditions ) 2.

La charité, prérogative traditionnelle des notables (la révolution tait anti-église mais au 19eme la charité va reprendre de plus bel = les notables ( bourgeois ) vont pratiqué la charité a domicile pour les pauvres ou en cédant apres leur mort des fonds pour crés des hospices ou hopitaux ca s’appelle de legs ) B) Les lents progrès de l’assistance publique 1. L’œuvre sociale timide de la 2nde République ( la seconde république ajoute la fratérnité = le gouvernement va essayer de prendre des mesures envers les plus démuni + on va essayé d’ajouter un droit au travail pour tous et une aide pour les gens ne pouvant pas travailler mais les membres conservateurs ne voudront pas ) .

La lente émergence de services spécialisés ( Bien que ce soit maigre, quelque signe montre que l’état va de plus en plus s’inverstire = on crée l’inspection de trois branches ( établissement de bienfaisance , prison et asile d’aliénés ) ) Section 2 – Les remises en cause de l’ordre libéral 51 Du côté des acteurs : la naissance du mouvement ouvrier A) La clandestinité du mouvement ouvrier avant 1848 ( La greve et les syndicats sont interdits depuis la révolutions mais les ouvriers vont se rendre compte qu’ils sont devenus une classe et on des interet commun + on assiste aux premieres greves mais lles ne sont pas suivi par , seulement p 6 OF IE assiste aux premieres greves mais elles ne sont pas suivi par tout le monde, seulement par l’élite ouvriere + les societé de resistance vont apparaitre, elles organise la protection social des ouvriers, en instaurant des secour de greve pour payer les greviste et paye les amandes + pour ne pas se faire sanctionner par les patrons, ils se camouflent derrieres des societé légal ) B) Flux et reflux du mouvement ouvrier après 1848 (Meme si le regime est bienveillant, le code pénal interdit toujours la greve mais l’empreur va systematiquement gracier les ouvriers ui sont condamné pour greves.

Suite a cela, Napoléon 3 va adopter une tres importance lois, c’est la lois du 25 mai 1864, c’est l’autorisation de la greve. Et depuis cette date il est inscrit dans le préambule de la constitution de 1864) 52 Du côté des observateurs : les courants d’idées – Deux solutions sont proposé pour réagir au libéralisme, socialisme et interventionnisme A) L’avènement du socialisme 1. Le socialisme comme courant de pensée (Les socialistes pensent qu’il faut condamner le systeme qui provoque autant d’inégalité, ils remettent en cause la concurrence et la proprieté rivée ) a) le socialisme utopique ( Il existe 3 écoles chez les socialistes utopiques.

St-Simom, il compare la societé aux Insectes et veut supprimer l’heritage + Charles Fourier, il est contre l’industrie et veut crée des phalanstere, c des mini societé ou les gens ne font pas tjr les meme taches 4 Josepth Poudhon, anarchiste et contre la propriété privée ) b) le socialisme scientifique( Marx et Enge Josepth Poudhon, anarchiste et contre la propriété privée ) b) le socialisme scientifique( Marx et Engels pensent qu’on doit abolir la propriété privée, le salariat et la patrie. 2. Le socialisme comme force politique (Ils pensent que le socialisme doit etre international et qu’ils doit y avoir une entraide international entre les ouvriers, que l’echelon national n’est qu’un leurs. B) Les doctrines interventionnistes ( contrairement au socialisme, on ne veut pas faire de revolution, mais on demande plus d’intervention de l’état, une législation protectrice du travail. Auteurs interventionniste : Sismondi qui dit que la non intervention de l’état n’est pas une attitude neutre mais un choix, il demande plus d’intervention + les chrétiens sociaux, ils disent ue les patrons et les ouvriers doivent faire preuve de fratérnité, plus de droit et de liberté pour les travailleurs comme le repos le dimanche et la dignité humaine ) Seconde partie e nouvel ordre social du XXe siècle (1880-1914) – – ( Cest une periode ou apparaisse beaucoup de nouvelle innovation, l’éléctricité, le petrole etc… t c’est un periode pendant laquelle vont se crée de grosse usines, apparait la classe ouvriere ) e mouvement ouvrier de 1880 à 1914 – La combativité ouvrière Section 1 – ( Les ouvriers seront de plus en plus rebelle et vont s’affirmer de plus en plus) SI La poussée de la grève BOF IE précédent des greves, toute les classe populaire sont mobilisé greve des mineurs d’anzin par exemple + plus on avance dans le temps et plus les greve durent longtemps et sont violente, Decazeville ) 2. Le sens d’un combat ( La greve peut prendre 2 sens, ou on fait greve pour protester sont refus contre le systeme industrielle ou on fait greve parce qu’on l’accepte mais qu’on aimerait quand meme améliorer ses condition de travail ) B) Les procédures d’apaisement ( Les pouvoirs publics ont essayé de reconcilier ouvrier et patrons a 3 reprises.

Decret Millerand ui crée un conseil du travail en 1900 pour avoir un espace de dialogue + conseil de prud’homme + loi de 1892 qui dit que tente la conciliation entre patrons et ouvrier quand il y a une greve ) S2 Le refus des médiations (les ouvriers refusent les médiation et veulent menaient leurs combats tout seul, sans intermdlraire) A) Le rejet de la médiation politique (Beaucoup de parti aurait put attiré les ouvriers comme le parti communiste ou la SFIO crée par Jean Jaures, mais ils refuseront ) B) Le rejet de la médiation syndicale ( La loi de 1 884 autorise les syndicat, et leur donne plus de liberté + avec le temps et grace ux manoeuvre de la SGT on permet aux ouvriers d’avoir acces a des bilbiotheques education etc.. ais les ouvriers refusent car pour poser une demande de syndicat, il faut donner son nom a la préfécture et les ouvriers voit ca comme un controle de police, alors que ca n’était pas le cas) Section 2 – L’effervescence des idées politiques et sociales (L’idée c’est que tout les courants cas) (L’idée c’est que tout les courants de droite comme de gauche vont essayer de trouver des solutions a la question social. On va voir trois courants d’idée. ) SI Les idéologies révolutionnaires A) Les buts de la grève générale ( En 1887 Fernand Pelloutier explique l’idée que seul une greve général illimité pour toute les profession peut permettre l’émancipation des travailleurs, il dit que ca ne doit pas etre un mouvement planifié mais un mouvement spontanné et individuel. 3) L’annonce du Grand soir ( Lorsque la grve générale va éclaté tout va s’embraser d’un coup et ca va s’appeler le grand soir, Zola dans Germinal evoque cela) S2 Les idéologies catholiques ( Ce sont des gens conservateurs mais qui ont une certaine conscience social, ils vont mettre en avant l’idée d’une collaboration patron / ouvrier, trois nom onnu : Jule lemire + Albert de Mun + Mark Sangnier, le probleme de ces doctrines catholiques, c’est qu’elles sont apparus au mauvais moment, pile au moment ou on faisait la guerre contre la religion, les années 19xx ) S3 Le solidarisme, philosophie officielle de la Troisième République (Le solidarisme est une doctrine du juste milieux entre le socialisme et l’individualisme, ils ne donnent pas prépondérence a l’individu ni a la collectivité, c’est Durkheim qui a inventé ce courant. Il dit que les indivudus de la société sont interdépendant. ) râpe d’or de la législation 0 6