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1 ère lecture analytique La Chartreuse de Parme, Stendhal Ratings: (O) I Views: 2,339 ILikes: 1 Publié parhey baby See more lecture analytique : Extrait de La Chartreuse de Parme Stendhal, 1839 Note de cours : L’auteur a connu l’ép ée l’empereur et a admi écrit ce livre à quand or 5 Sni* to vieu tant que courriel de le pays de l’amour. Il il avait à peu près 50 ans etle dicte une secrétaire en 50 jours. Il y a parfois un caractère autobiographique notammentdans notre extrait.

Fabrice est jeune, il décide de rejoindre l’armée française car il rêve de s’illustrer sur le champ de bataille ans l’armée de Napoléon, il prend un double risque. Dans sa région d’origine possédé par l’empire Austro -Hongrois, il va être considérer comme ennemi ; et dans l’arméefrançaise, du fait de son accent italien, il risque d’être considéré comme un espion et d’être fusillé immédiatement.

Commentaire Introduction Amorce : La figure de Napoléon a profondément marqué la scène un jeune noble milanais, Fabrice delDongo, qui, désireux de s’illustrer sur le champ de bataille dans l’armée de IE-mpereur, a prisun énorme risque en s’enrôlant dans l’armée française en guerre contre l’Autriche -Hongrie. Ce roman a été écrit une vingtaine dannée après la défaite française et préfigure le réalisme. Problématique : Dès lors, nous nous demanderons quel regards porte un homme mûr sur le jeune qu’il a été à travers I e personnage principal de son roman.

Plan : Pour répondre ? cette problématique, nous nous interrogerons dans un premier tempssur le qualificatif de « blanc-bec puis nous examinerons le point de vue narratif pour finalement interprété le regard porté par le narrateur sur son personnage. Partie : la qualificatif de « blanc-bec » : Fabrice est un jeune noble milanais fasciné par la figure de Napoléon. Fabrlce rêve de gloire et a décidé de s’envoler dans l’armée de Napo éon ce qui le conduit sur le c hamp de bataille de Waterloo.

C’est donc un personnage en situation d’apprentissage du mande, ici, l’initiation à la guerre. En effet, le général de logis le qualifie de « blanc-bec » du fait de samaladresse. Fabrice se trouve dans le champ de vision des maréchaux. Mais cete première rebuffade ne met pas un terme à sa naifeté : il questionne alors son voisin prenant le risque d’ être de nouveau prit pour un espion ; il révèle par ses questions son manque complet d’expérience. *AGF 9 rif s suite, on retrouve « béta » et le narrateur parle d’admiration enfantine. ? me Partie : Les points de vue narratif et ses effets • On sait ce qu’il se passe dans la tête d’un seul personnage : c’est donc une focalisation interne ; les événements et détail sont évoqués tel que Fabrice les voit et les entend. a) De nombreux verbes de perception visuelle ou auditive dont Fabrice est le sujet. Cf. :champs lexicaux des verbes. b) Certains des verbes sont reliés à la façon dont Fabrice ressent l’événement et permette d’entrer dans ses p ensées. Ex: « Il s’aperçut que.. » ; « il contemplait »c) Deux fois deux occurrences, adj. ? singulier » = bizarre, étrange, unique. ) Le discours indirect libre qui livre les pensées même de Fabrice « ce fameux prince dela Moskova, le brave des braves ce sont les mots même de la pensée de Fabrice qui reflète fadmiratlon enfantine que ressent intérieurement Fabrice. e) On pénètre aussi dans la conscience du personnage grâce aux pensées intérieuresra tement. Le choix du au combat neregarderait pas les même choses que Fabrice qui découvre tout pour la 1 fois. L’attaque elle -même est relatée telle que l’aperçoit Fabrice notamment à travers sonincompréhension et ses réactions décalés.

Il ne peut distinguer l’origine des boulets. illui semblait entendre » Stendhal fait donc le choix du réalisme subjective : il donne à lire la réalité tel que I ‘aperçoit le personnage ; autrement dit, la réalité est représenté à travers le filtre d’une conscience. Le procédé a ici une saveur particulière puisque c’est à travers le regard myope de Fabriceque nous ai donné à voir une grande page de ‘ »Histoire, I a bataille de Waterloo, dont ladimension est ainsl considérablement réduite. Partie : Le regard du narrateur sur le personnage Le passage repose sur un jeu de superposition des regards :

Fabrice voit la scène mais il estlui-même placé sous le reg ard d’un narrateur à la fois ironique et indulgent. Cette superposition soullgne les contradictions du personnage entre ses désirs de gloire sa jeune et son inexpérience : « notre héros » est une antiphrase (fig. de style de l’ironie), elle instaure une sorte de complicité entre le narrateur et le lecteur qui est invité à partager la qu’il avait découvert le monde à travers ses yeux. L’humour ici est proche de la parodie de l’épopée : en lieu et place des rêves de gloire de Fabrice. Le récit n’offre à lire que la réalité prosaïque (banal, rdinaire) de la guerre.

Cf. la description donnée (le plus gros des généraux) la focalisation sur des cas particuliers : un blessé, deux tués, un cheval sanglant Activité (3) Filters Ajouter à la collectionReview Add NoteLike annaspekhova liked this 1 thousand reads 1 hundred reads Recommandé(s) Odyssée_maths_ 1 erS_ldp. pdf Rodolphe Lebrun Plus de cet utilisateur 04. Vocabulary hey baby Télécharger et imprimer ce document Lire et imprimer sans publicités. Download to keep your version Edit, email or read offline Choose a format: . PDF. DOCX Télécharger Odyssée_m aths_l erS_ldp. pdf