Etude de lorenzaccio, rnusset

essay A

Ces héros sont souvent à la fois idéalistes et débauchés, ce qui les rend particulièrement humains. C’est le cas de Lorentz, héros de la pièce épongée allieraient, qui afin de tuer un tyran, le Duc lézardée de médecins, se plonge dans le monde du vice et de la débauche. La dualité entre le but, noble et vertueux, et les moyens employés, débauche et luxure, sera très développée par musées. Cet héros romantique, ressemblant au héros skieraient malle, apparaît comme un double de musées. La] Un Lorentz débauché Lors de la première scène de la pièce, Lorentz apparaît home l’entremetteur du Duc de médecins.

Lorentz au cours d’une longue tirade parle de la débauche et commence en ses termes : « N si e toi vie nées a e étude de allieraient, musées premier boy saumons empâta 22, 2011 | 9 pages spire toi vie nées page Nous n’avons avancé que moitié. Je réponds de la petite Cette tirade permet au spectateur de comprendre que Lorentz est un habitué et presque un expert de la débauche. En même temps il apparaît comme un homme très éloquent ; il emploie un vocabulaire soutenu et utilise des métaphores : « Une jeune chatte qui veut bien des inférieures mais qui ne veut pas se salir la patte ».

Lorentz apparaît aussi comme un espion. A la scène 4 de l’acte I le Duc dit de lui qu’il est « glissant comme une anguille ; [qua’] il se fourre partout et [lui] dit tout Le Duc enchaîne alors avec une description très dégradante de Lorentz. Pourtant l’entourage du Duc, à savoir Sire mariée et le Cardinal cible semblent considérer Lorentz comme un danger pour lézardée : « On sait qu’il dirige vos plaisirs et cela suffit Cependant le Duc a totalement confiance en Lorentz. AI se complaît à dégrader Lorentz aux yeux du Cardinal cible et e Sire mariée, le traitant du « plus fieffé poltron ! Ne femmelette, l’ombre d’un ruffian énervé ! Il s’ensuit la fameuse scène de l’épée où Lorentz, après avoir dominé ses adversaires le Cardinal et Sire mariée par la parole, semble se retrouver démuni lorsqu’ le pousse à la violence et finit par s’évanouir à la vue d’une épée. Le Duc se réjouit à la vue de cet évanouissement car cela confirme son idée que Lorentz, qu’il appelle Lorentz PAGE 2 FO g réjouit à la vue de cet évanouissement car cela confirme son idée que Lorentz, qu’il appelle allouèrent, n’est qu’un hache qui ne représentera jamais le moindre danger.

Malgré cela la dernière réplique du Cardinal « C’est bien fort, c’est bien fort ! » laisse entendre au spectateur qu’il vient d’assister à une scène de théâtre dans le théâtre et que Lorentz pourrait bien être un danger lézardée. Il] Un Lorentz double A La sixième scène de l’acte I le spectateur apprend de la bouche de Marie et de catéchiser, mère et tante respectives de Lorentz que ce dernier n’ pas toujours été le débauché mis en avant au début de la pièce. « Sa jeunesse n’-t-elle as été l’aurore d’un soleil levant ? » demande catéchiser Marie, dévoilant l’enfance vertueuse de Lorentz.

Cette duplicité entre le Lorentz vertueux et le Lorentz débauché est concrétisée lorsque Marie rêve de Lorentz la quatrième scène de l’acte AI : « Le spectre s’est aussi auprès de la lampe, (… ) et j’ai reconnu mon Lorentz d’autrefois Mais son corps semble souillé par le vice. A la scène 5 de l’acte AV il tente de corrompre sa tante. Il s’accuse de pouvoir corrompre sa mère « si son cerveau e prenait tâche AI compare son vice à la robe de déjaunir : il ne eut plus s’en débarrasser. La seule chose à laquelle Lorentz croit pouvoir se rattacher est le meurtre d’lézardée.

AI y met toute s à laquelle Lorentz croit pouvoir se rattacher est le meurtre d’lézardée. Il y met toute sa force, tout son esprit. Le spectateur découvre au fil de la pièce les détails du meurtre préparé par Lorentz avec un soin machiavélique. De l’évanouissement de Lorentz devant l’épée à la scène 4 de l’acte I pour la confiance du Ducaux répétitions exercées avec scolariserons, son valet qu’il a autrefois sauvé d’une intimidation à mort et qui lui est totalement dévoué, à la scène 1 de l’ acte il en passant par la disparition de la cotte de maille du Duc à la scène 6 de l’acte AI.

Le spectateur voit Lorentz se plonger dans son futur meurtre comme si cet acte était le dernier bastion de sa vertu passée. Pourtant Lorentz semble considérer son geste comme inutile. A la scène 3 de l’acte il il y a un long dialogue entre Lorentz et philtre stricts, un des chefs du mouvement républicain, ami et confident de Lorentz. Ce dernier bien que plus âgé semble jeune par contraste avec l’expérience e Lorentz. Lorentz étale devant philtre le vice des hommes et est persuadé de l’inutilité de la mort d’lézardée pour la République.

Cependant Lorentz semble encore assez honnête pour protéger certaines personnes du vice dans lequel il a sombré. Il veut éloigner philtre du vice à la scène 3 de l’acte il, il se maudit d’avoir tenté de corrompre sa tante la scène 5 de l’acte AV, et scène 3 de l’acte AI, il se maudit d’avoir tenté de corrompre sa tante à la scène 5 de l’acte AV, et dans la même scène il souhaiterais même que le Duc « fesse [sa] prière avant de unir ce soir dans cette chambre Il reste donc un peu d’espoir et de vertu chez Lorentz avant le meurtre.

Cependant à la mort du Duc l’absence de réactions de la part des républicains et le massacre des étudiants confortent Lorentz dans sa vision pessimiste de l’humanité. C’est avec beaucoup d’ironie et de cynisme qu’il apprend la mort de sa mère et qu’il fait face à sa mort. Massacré par le peuple sous les yeux de philtre, ce dernier s’exclamera « Et quoi! Pas même un tombeau ? ». il. Lorentz, un héros romantique et un double de musées Le personnage de Lorentz respecte certaines récriminatrices du héros de la tragédie c ascétique. Il a un destin, celui de tuer le Duc.

Quelque effort qu’il fasse il sait qu’il est condamné à provoquer la mort d’lézardée. Malgré cela c’est un destin qu’il s’est lui-même imposé, on ne peut donc pas vraiment parler d’un héros classique. Lorentz réunit les principaux traits des héros romantiques. Le vice dont il est souillé est indélébile et lui colle littéralement à la peau à l’image de la robe de déjaunir. AI ne peut plus revenir en arrière, il ne peut qu’atteindre son but, la mort du Duc, même s’il doute de l’utilité de son este. Lors peut qu’atteindre son but, la mort du Duc, même s’il doute de l’utilité de son geste.

Lorentz a besoin de descendre jusqu’ plus bas de l’abjection et se prend même essayer de tenter catéchiser qui était un modèle de vertu. La complexité du personnage de Lorentz a amener les critiques et les lecteurs à le comparer avec d’autres héros dramatiques. C’est avec malle que le rapprochement s’est imposé. Selon Pierre gastrite « Tous deux apparaissent comme de jeunes princes vivant dans la familiarité d’un souverain qui s’est emparé du trône par usurpation Ils réparent le meurtre dans le secret, et lentement ; tous deux veulent frapper eux-mêmes ».

Cependant ces parallèles entre les deux personnages ont mis en avant leurs différences fondamentales comme le souligne clause breton « allieraient n’aime personne. Mais malle doute de lui-même, lorsque allieraient doute surtout des hommes En effet il ne faut pas oublier que Lorentz est un personnage de musées et non pas une copie de malle. musées après avoir été quitté par égorge sans multiplie les abus et les liaisons. Ces expériences font de lui un homme désabusé et amer. Cette amertume et cette désillusion de retrouvent dans le personnage de Lorentz.

musées et Lorentz sont tous deux des hommes jeunes mais qui, du fait de leur vécu, semblent avoir un esprit trop vieux pour leur corps. Le thème du double qui, du fait de leur vécu, semblent avoir un esprit trop vieux pour Eure corps. Le thème du double utilisé dans allieraient se retrouve dans sa poésie : Les Nuits expriment son expérience de la solitude et sa douleur. Dans ces poèmes musées se retrouvera face à son double ténébreux et mystérieux, apparaissant la nuit pour disparaître au lever du jour. Lorentz est donc l’expression des sentiments et des réflexions d’élever de musées.

allieraient apparaît d’abord comme une pièce ne respectant pas l’unité d’action, mais en fait les actions secondaires sont étroitement liées à l’action principale et servent surtout à dépeindre le caractère de Lorentz. En effet il est nécessaire d’avoir les points de vue du Duc, de philtre stricts, de Marie, de catéchiser, des gens du peuple et de Lorentz lui-même pour pouvoir appréhender la complexité du personnage et peut être de mieux comprendre musées à travers Lorentz. Sujet et résumé L’action se passe à floconner en janvier 1 537.

Le batracien flottèrent Lorentz de médecins (ne pas confondre avec lauréat le Magnifique), âgé de dix-neuf ans, jeune homme studieux, admirateur des héros de l’Antiquité latine et grecque, se voue à la restauration de a République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc lézardée de médecins (1510-1537), règne s République. Tâche difficile : son lointain cousin, le duc lézardée de médecins (1 510-1537), règne sur floconner en tyran avec l’appui de l’empereur d’allemande et du pape[l] ; une garnison allemande assure sa protection ; le cardinal

cible, qui défend à la fois les intérêts de charges quinte et ceux du pontife roman, est son plus ferme soutien. Lorentz devient fidèle serviteur du duc, son familier ainsi que son compagnon de débauche, afin de pouvoir libérer floconner de ce tyran. Les raisons du meurtre restent floues et rien ne semble le légitimer réellement : une part de surnaturel plane dans la démarche de Lorentz qui semble par la même occasion vouloir mettre les grandes familles républicaines face à leur devoir. Les républicains ne réussiront pas à prendre le pouvoir après la mort du Duc.