Etude D Un Concept 4 5

essay A+

MODULE M04. 1 Étude d’une notion ; Crise 4) Après avoir traité deux articles évoquant la notion de crise, selon les deux approches différentes ; l’une disciplinaire et théorique et l’autre « professionnelle nous allons réaliser une analyse comparative de ces deux approches. / SIMILITUDES • Augmentation de la charge de travail des travailleurs sociaux Aspect d’éveil de la crise • Besoins primaires touchés Intensification de l’individualisme Intensification des aléas • Incertitude quant aux solutions car en effet les travailleurs sociaux doivent gérer manœuvre moindres ors vec des marges de ulnérables, et/ou • Discrimination enve les • Sni* to View exclues de la société.

Il/ DIFFERENCES • Les sciences sociales se sont focalis es sur des crises non pas dans leur effectivité (c’est-à-dire dans le fait que la crise est réelle et reconnue) mais dans sa potentialité renvoyant à la notion de risque. • L’approche théorique et disciplinaire d’Edgar Morin n’évoque pas la crise financière comme facteur d’une crise de la civilisation comme l’est évoqué dans l’article issu de FANAS. Les travailleurs sociaux veulent résoudre » la crise quand le ociologue Edgar Morin établit que « pour qu’il y ait un système, il faut qu’il y ait maintien de la différence… ‘est-à-dire le maintien de forces d’exclusion, de dissociation, de répulsion. » • E. Morin parle de crisologie. 5) l/ Modification, enrichisseme enrichissement et questionnement à partir de la définition premiere. Selon moi, la crise est une notion qui s’est élargie du fait de la mondialisation. En effet, la mondlalisation accompagnée de la progression incessante de la technologie ont perverti l’humain. Il est intéressant, comme le dit Edgar Morin, de penser la crise omme étant effective et non potentielle.

Même si elle a suscité des utilisations bienfaisantes et avantageuses, elle a également produit les armes de destruction massive et des possibilités de manipulation des gènes aux effets incertains (clonage-OGM). La technique a, elle, permis d’asservir les énergies naturelles, mais aussi les humains. L’économie a produit des richesses, mais aussi des mlsères Incroyables. Son manque de régu ation permet le déchaînement des côtés les plus sombres de l’individualisme. À cela se combine l’aggravation de diverses crises enchevêtrées, luttes aveugles, hystéries de uerre.

Nous avons quitté la foi dans le progrès. Notre confiance en l’avenir a laissé la place à une incertitude immense et à un vide existentiel qui nous font recourir aux psys, aux sagesses traditionnelles, à tous les marabouts qui pourraient apaiser nos esprits désemparés. A l’heure actuelle, je me pose la question de la modernisation. Cette question met en jeu le sens que nous attribuons à la modernité: est-elle elle-même un phénomène sans précédent et excluant tout retour en arrière? La modernité est-elle une cause de la crise généralisée? Ou bien assistons-nous à une crise de la modernit