Ethique
Dans un cadre inaliénable, les entreprises apparaissent comme des acteurs majeur du processus de monopolisation, et elles sont de plus en plus interpellées Ur des sujets d’ordre éthique. Elles sont au cour des polémiques : désengagement de l’état, la pollution, les risques technologiques, la rigueur salariale ou le travail des enfants… Dès lors leur rôle fait l’objet d’interrogations. A priori, l’entreprise est généralement considérée comme un acteur ayant pour but unique : le profit. Néanmoins, elle serait de plus en plus capable d’intervenir pour le bien-être de la collectivité…
L’éthique est définie comme un ensemble de règles de conduite partagées et typique d’une société donnée ; (ces règles étant fondées sur la distinction entre le bon et le mauvais). Énumérerez, Questions d’éthique, POUF, 1993). Le concept d’éthique oscille entre un premier boy panne harpe 19, 2009 | 4 pages swaps toi vie nixe page une réflexion portant sur la notion de Bien et énoncé de règles normatives. Ainsi, Mercier (2004) qualifie l’éthique de « réflexion qui intervient en amont de l’action et qui a pour ambition de distinguer la bonne et la mauvaise façon d’agir ».
Le champ de l’éthique est à la fois celui du bon et du mauvais mais aussi celui du juste et de l’injuste. La gestion est la science qui étudie les organisations productives dans leurs décisions, leurs informations, leurs élans et leurs stratégies. Parler d’éthique en gestion est une absurdité pour certains observateurs parce que le monde des affaires n’obéirait qua la loi du profit. Cependant, de plus en plus de professionnels s’intéressent à la réflexion éthique appliquée à l’entreprise.
En effet, les entreprises sont tenues, de plus en plus, de justifier leurs moyens d’action et la finalité de leurs activités. L’éthique est une dimension transversale qui peut pénétrer tous les domaines d’activités de l’entreprise. Cette émergence de l’éthique dans la gestion a le mérite de poser des questions indémontables à propos de des responsabilités de l’entreprise à l’égard de ses partenaires et de la société. Les décisions de l’entreprise n’obéissent pas seulement à des finalités et à des contraintes économiques.
Les choix sont donc déterminés non seulement par des éléments relevant de la rationalité économique mais aussi des préférences de valeurs. Pour quelles éléments relevant de la rationalité économique mais aussi des préférences de valeurs. Pour quelles raisons les gestionnaires doivent-ils s’intéresser à l’éthique ? D’un point de vue éthique, le rôle e l’entreprise est-il seulement d’enrichir les actionnaires ou doit-elle chercher à satisfaire les attentes de toutes les parties prenantes qui ont un intérêt dans l’entreprise ?
Comment intégrer la dimension éthique dans l’entreprise ? Quelles sont les contraintes auxquelles se heurtent les entreprises qui s’engagent dans un processus de formalisation éthique ? L’entreprise trouve un intérêt à s’engager dans une pratique éthique, en utilisant la responsabilité comme outil de gestion, mais l’adaptation du système organisation des normes, des règles ou des valeurs morales présente de ombrées difficultés (problématique).
Pour étudier les problèmes soulevés par l’éthique dans le domaine de a gestion, nous montrerons dans une première partie les enjeux que représente l’éthique pour la gestion de l’entreprise, puis dans une deuxième partie, que les moyens utilisés pour gérer l’éthique se heurtent à des contraintes (plan).