écrire un plaidoyer
Écrire un bon plaidoyer. -Il faut que celui qui écrive soit fort impliqué. -Il écrit en « je » (ou « nous afin de convaincre quelqu’un (ici peut être le prof et de façon plus globale l’humanité). ll défend une personne, des valeurs considérés comme victimes. -On est dans le registre pathétique donc on doit faire appel au sentiments. on vise à être persuasif. -Faire de longues phrases rythmées. -On défend un point de vue tenant compte des points de vue Swpe to page contraires. Petit effet de theatr il y a 3000 ans/ll y a 3 ur cette chaise ; pro m Snipe to View -Il faut une thèse (idé mps : Nous sommes tifs : cet après-midi, ous/je et vous doit être posée mais devant apparaître progressivement. Elle doit tre illustrée par des arguments, s’accompagnant si possible d’exemple. La thèse tient compte des objections. -Utiliser témoignages, argument d’autorité (exemple : Aristote à dit, tout le monde sait bien que… ), argument ad hominem (montrer qu’un argument est faux var il est contradictoire avec l’attitude de son auteur : ex. « Ce n’est pas à vous de donner des eçons pour baisser les impôts, car vous les avez augmentés ! ») argumenta fortiori (rapprocher deux choses en disant que ce qui est vrai pour l’une l’est encore plus pour l’autre), exemples exemples, références à des personnes ou des valeurs faisant autorité. -Avoir recours à des descriptions, énumérations, gradations, vocabulaire émotionnel, associations, dlssociation (ex. y a drogue et drogue), amplification, ironie, antiphrase (ex. : dire « Beau travail ! ? à une situation qu’on désapprouve), antithèse oppose 2 idées), comparaison, métaphores (ex. : le cri de mon âme), litote, hyperbole ( exagère la réalité), paradoxe, images (ex. : vérité = lumière) gradation (ex. : « je parle, je crie, je hurle ! »), anaphore (répéter une phrase, un mot au début d’un paragraphe, d’une phrase), personnification (donner traits humains à quelque « ma riche pauvreté »), exclamation (! ) chose de non vivant : ex.. -Utiliser des questions oratoires : questions dont la réponse est connue de tous. Enchaîner les différentes parties du textes:paragraphes, mots ou hrases-liens ou jeu de questions-réponses. -Répéter dans le texte (ni trop peu ni trop) les idées essentielles pour que le lecteur les comprennent. -Conclusion résumant le texte et dynamique avec une finale pathétique visant à émouvoir (en forme d’étincelle). -écrire à l’indicatif présent : on agis ici et maintenant (sauf pour les exemples d’avant). -être romanesque, donner une impression de mouvement (Zola a dit « La vérité est en marche »), dramatiser (ex. « 4 minutes pleines d’angoisse utiliser l’évocation (faire naître des choses dans no inutes pleines d’angoisse »), utiliser l’évocation (faire naître des choses dans notre cerveau), les sensations (plongent dans le sujet). -être lyrique : laisser aller ses sentiments, partager ses états d’âmes. -être épique, tel un héros menant son combat (bien vs mal) , donner une dimension symbolique au texte l’homme parlant au nom de l’humanité -utiliser un vocabulaire : appréciatif (bonheur, lumière, passion, vérité…. ) et/ou dépréclatif (Illégalité, diabollque, néfaste,… ).
DANS notre cas, peut être essayer de faire un texte épistolaire • ne lettre, adressée à monsieur Delhez mais qui serait en fait plus large puisqu’elle s’intéresserait à Ihumanité tout entière. -Sadresser à son interlocuteur en étant aimable, en respectant son titre, le mettre en confiance, mettre des petites phrases qui détendent l’atmosphère CONSTRUCTION 1 Exorde : Captatio benevolentiae : je capte votre attention en étant gentil avec vous afin que vous m’écoutiez jusqu’au bout. -définir le problème (évoque). 2. Narratio : -Expose les faits et présente le texte. 3. Confirmatio : thèse qui é fute les mauvais choix »