Droit, rnorale et religion
Même si la liaison entre morale et droit semble être plus qu’apparente, il n’en est pas de me à première vue pour ce qui est de la relation droit et religion car de nos jours la dissociation entre les deux est bien établie. Mais il n’en a pas toujours était autant, pendant longtemps le droit a été directement influencé par la religion. AI est important de bien définir chaque termes pour en avoir une vision plus justes pour la suite du raisonnement.
Ainsi M. Virale, dans « La pensée juridique », définit la morale comme « la maîtrise des entraînements instinctifs et passionnels et la poursuite d’un idéal de perfection individuel plus ou moins élevé ». Le droit est lui même aide par des valeurs similaires, et moralise en quelque sorte les comportements sociaux. C’est pourquoi il est difficile de discerner morale et droit.
La religion quand premier BOY léseriez 03, 2009 | 9 pages Il est important de bien définir chaque termes pour en elle peut spire toi vie nées page peut prendre la forme de commandement et peut se confondre avec le droit lorsque l’état n’est pas ci, ce qui rend tout aussi compliqué a distinction avec le droit. Le droit quand à lui renvoie à toute à toutes les réglés juridiquement obligatoires ayant pour finalité d’organiser les rapports sociaux entre les individus.
ces une règle de conduite sociale générale, abstraite assortie généralement d’une sanction relevant de l’autorité étatique. En prenant en considération les différents aspects de ces termes il va falloir prendre en considération plusieurs enjeux, comment distinguer e droit de ces deux autres concepts ? Comment ne pas prendre en compte es relations exiguës qu’ils entretiennent avec ? Sur quels principes reposent ils autrement dit, comment dissocier des principes si étroitement liés, qui exercent une si grandes influences les uns sur les autres ?
Ainsi, il faudra confronter la morale et la religion au rôtit pour en déduire une approche plus spécifique de chacun des termes abordés. Pour cela il est nécessaire de s’intéresser d’une part à la distinction entre le droit et la morale (l), et d’autre part celle entre ce même droit et la religion (Il). La/ La distinction du Droit et de la morale en raison de leurs finalités respectives. La distinction du droit et de la morale grâce à leurs finalités respectives est rendue difficile de par l’existence d’éléments communs (A).
Malgré cela, certains éléments s rendue difficile de par l’existence d’éléments communs (A). Malgré cela, certains éléments spécifiques nous permettent e les différencier (B). A/Une distinction difficile à faire, de par l’existence d’éléments communs. Le Droit et la morale visent tout les deux à guider les actions de l’individu en société. La société ne peut se baser que sur des réglés de droit, mais doit aussi être régit par un autre type de réglés, les réglés morales.
En effet, nombre de situations de la vie quotidienne appelle à un respect des réglés parfois plus morale que de droit. En effet le droit ne peut en aucun régir la bienséance, nul ne pourrait se permettre d’ouvrir un code civil à chaque fois qu’il se trouverait devant une situation interpellant sa morale. Ainsi la politesse, liée à la notion de morale, est un ordre social indispensable, tout comme le droit, ils visent tout les deux établir,pour partie, à assurer le bon affectionnèrent de notre société.
Par ailleurs, la règle de droit peut contenir des principes moraux, l’article 1134 du code civil dispose que « les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise. Elles doivent être exécutées de bonne foi Cet article prohibé les contrats passés sur des principes moraux, et la agitées de ceux ci passe par le fait d’être conforme ou non aux bonne amours. moraux, et la légitimité de ceux ci passe par le fait d’être De plus, la notion d’obligation naturelle qui rentre dans le cadre du droit des obligations se situe entre les obligations juridiques et les obligations morales. Le plus souvent l’obligation naturelle est fortement liée à la jurisprudence, ce principe correspond à un simple devoir de conscience sanctionné par la loi. Ainsi une personne ne respectant pas son engagement à verser une pension alimentaire à son ex-femme, peut voir celle ci le entraîner juridiquement à respecter son engagement, en prétextant l’obligation naturelle.
D’autre part l’évolution des amours peut directement influencer l’instauration de réglés de droit. Le Pacte Civil De Solidarité ou la contraception en sont des exemples probants. Indéniablement, le droit et la morale s’inscrivent dans notre société comme des supports indispensables de son organisation. C’est pourquoi il faut se pencher sur des éléments spécifiques pour en faire une distinction. B/ La présence d’éléments spécifiques permettant une distinction Si le droit et la morale servent à l’organisation de la citée, leur but les distinguent très nettement.
Le droit se doit d’organiser les rapports entre individus, et pour se faire il dispose d’un moyen de pression sur ces mêmes individus avec la présence de la sanction étatique,alors que de son coté la morale ne peut faire appel individus avec la présence de la sanction étatique,alors que de son coté la morale ne peut faire appel à un tel moyen de pression. En effet la moral ayant aussi pour but d’organiser les rapports en individus ne se limite pas à ca et intègre la dimension de conscience de l’individus. Celui ci devant se tourner vers lui même et non vers la société pour se trouver face à une sanction.
Ainsi face à deux cas apparemment similaires d’un point de vue morale, le droit ne va pas les appréhender de la même manière. En effet, prenons l’exemple de l’obligation alimentaire réciproque, qui du coté de la règle de droit institue le respect de cette obligation lorsqu’ s’agit d’une relation enfant-parents, les parents devant pourvoir aux besoins de leur enfant comme il est signalé dans le code civil à l’article 203, et réciproquement les enfants doivent plus tard tenir ce même engagement à l’égard de Eure parents, comme ca ‘est énoncé dans le code civil à l’article 205.
Le recoure au droit permettant ainsi de rétablir une situation si elle n’est pas respecté, alors qu’entre frère et sueur il n’en est rien. Si l’un est dans le besoin, le droit laisse l’autre s’en référer sa conscience pour prendre la décision qui semble être la plus juste. C’est donc réellement ce principe de conscience et de volonté de suivre un chemin plus noble de la morale qui différencié droit et morale. C’est cette distinction entre le temporel et le spirituel qui en fait et morale.
C’est cette distinction entre le temporel et le perpétuel qui en fait toute la différence. Malgré le caractère similaire à première vue entre le droit et la morale on peut aussi noté que l’on peut retrouver les même difficultés entre les réglés de droit et les réglés religieuses, ces dernière étant étroitement liées avec la morale. Néanmoins il est important de dissocier les éléments communs entre droit et religion d’une part et d’autre part les caractéristiques propres chacune.
Il/ La distinction entre la règle de droit et les réglés religieuses Comme nous l’avons vu précédemment la règle de droit est influencée par la morale, or cette dernière est à son or fortement influencée par des réglés religieuses. Tout comme les réglés religieuses peuvent, elles, figurer comme étant le fondement de la loi. Encore une fois la distinction entre la règle de droit et les réglés religieuses est rendue difficile en raison de la présence d’éléments communs (A).
Mais l’existence d’éléments spécifiques permettra de les dissocier (B). A/ Une distinction difficile à faire de par l’existence d’éléments communs En effet dans certaines religions la loi apparaît en tant que telle et évoqué des principes encore visible aujourd’hui dans nos réglés de droit. L’exemple assez célèbre, et tout aussi efficace que celui de moisie recevant de hâve sur le mont sain les dix commandements parle de lui même. Il de moisie recevant de hâve sur le mont sain les dix commandements parle de lui même.
Il est aisé de retrouver des traces de ces commandements dans diverses réglés de droit, anciennes ou actuelles, avec notamment les commandements 5,6, 7,8 et 9 : « tu honoreras ton père », « tu ne tueras aucun être humain », « tu ne commettras pas l’adultère », « tu ne voleras pas Ceux ci se retrouvant dans notre droit sous la forme de a prohibition de l’homicide, du vol, de l’adultère, et l’obligation alimentaire envers ses parents comme vu précédemment. De par ces exemples, il apparaît clairement que les réglés religieuses ont la même vocation que le droit, ainsi que la morale par ailleurs, celle de l’organisation sociale. Es termes de ces dix commandements sont exprimés dans des termes abstrait et généraux comme une règle de droit qui se doit d’être une règle générale pour s’appliquer à un groupe sociale dans lequel elle est établit. Cette similitude peut en partie s’expliquer par la survivance de préceptes religieux dans le temps avec la présence il y a encore peu du droit divin positif, qui ont osé des bases solides dans la plupart des pays européens ou du moyen orient. Dans les pays du Moyen Orient, musulmans, la charria, la loi coranique, est encore utilisé comme seule source du droit.
Alors que dans d’autres pays la oui n’évolué que très doucement pour éviter de heurter les individus en allant à l’encontre de certains principes religieux. Ainsi pour éviter de heurter les individus en allant à l’encontre de certains principes religieux. Ainsi le mariage étant sacré pour les religions monothéistes, ne pouvait entraîner de divorces que sous seul motif d’altérer, avant que la loi du 1 juillet 1975 portant sur la reforme du divorce, instaurant de nouveaux éléments pouvant apportés le prononcèrent d’un divorce: par consentement mutuel, rupture de la vie commune, ou en cas de faute.
Le droit et la religion ont tout deux apportés des principes visant le maintien de l’ordre social, la distinction doit donc porter sur des éléments de finalités spécifiques. B/ La présence d’éléments spécifiques permettant une distinction. Tout comme la morale, la religion implique le principe de conscience et cet éternel retour à soi, comme unique sanction. Or c’est de par la dimension de châtiment divin eue la religion diffère de la morale d’un point de vue normatif.