Droit et morale

essay A

La morale est un ensemble de principe de jugement, de égales de conduites relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu’une société se donne et qui s’impose autant à la conscience individuelle qua la conscience collective. Dans l’Antiquité, la valeur la plus importante était la religion. De ce fait, toutes les autres règles de conduite, y compris le droit et la morale étaient basées sur la religion. On peut donc dire qu’elles étaient associées.

En effet, la morale se fondait sur la notion religieuse du bien et du mal, et le droit était, en quelque sorte, un moyen pour récompenser le bien et punir le mal, afin d’être en accord avec dieu. Puis, au fur et à mesure que la société a évoluée, que l’infini Droit et moral e premier boy déterministe empâta 24, 2011 | 5 pages swaps toi vie nixe page l’influence de la religion sur les Hommes a reculée, toutes ces règles ont commencé à se séparer. L’apogée de cette évolution sera la loi sur la séparation des églises et de l’état, le décembre 1905.

Depuis ce temps, la religion, la morale et le droit sont des règles de conduites indépendantes et reconnues comme telles. Cependant, un débat subsiste encore aujourd’hui: bien que ces règles soient indépendantes, il semblerait qu’elles aient gardées quelques relations. Les rapports entre droit et morale constituent la fondation de la philosophie du droit. Il s’agit donc ici de se demander quelles sont les rapports qui relient le droit et la morale et surtout, quelle règle influe sur l’autre.

Deux théories s’affrontent. Dans un premier temps, nous verrons la théorie séparatiste (l), puis nous étudierons la théorie munitions (Il). La- La séparation du droit et de la morale. Les séparatistes attribuent des critères différents au droit et à la morale (A) mais admettent l’existence de règles intermédiaires (B). A-Des différences de critères. Pour les séparatistes, le droit et la morales sont deux receler séparés. Ainsi, on peut observer une différence de source, d’objet, de finalité et de sanctions.

En effet, le droit a une source étatique qui n’est autre que la coutume alors que la morale vient de l’autorité d’une personne morale, telle qu’un sage, ou religieuse, telle que morale vient de l’autorité d’une personne morale, telle qu’un sage, ou religieuse, telle que le pape. De plus, le droit a pour objet de gouverner les relations sociales entre les Hommes, organiser la vie en société alors que la morale veut perfectionner le comportement individuel de l’Homme. Ensuite, le droit a pour finalité l’organisation des Hommes n société alors que la morale souhaite parfaire l’être humain, c’est une finalité plus exigeante.

Enfin, le droit a une sanction qui est la contrainte externe et étatique alors que la morale possède une sanction interne. C’est d’ailleurs cette différence de sanction qui différencie le plus le droit et la morale. Ainsi on dit souvent que le droit punit alors que la morale fait réfléchir. Par exemple, le droit admet que deux époux puissent divorcer. Cependant, la morale catholique n’admet pas le divorce. De même, une prescription acquisition ou succion permet à une personne de devenir propriétaire d’un bien lors qu’il n’en est que le possesseur (30 ans de délai).

Ainsi, le vrai propriétaire est expulsé ce qui est contraire la morale. Le droit et la morale ont des domaines distincts, ils sont séparés, mais ils ont aussi des points de contact. B-L’existence de règles intermédiaires. Les séparatistes pensent que le droit et la morale appartiennent à deux sphères totalement distinctes, seulement, ils admettent que certes morale appartiennent à deux sphères totalement distinctes, seulement, ils admettent que certaines autres règles rapprochent le droit et la morale. Les bonnes morsures, par exemple, sont une règle morale ui s’est socialisée. Cela n’empêche pas que le droit s’en soit emparé.

Ainsi, depuis 1 999, le droit français permet de faire des legs à ses amants sans opposition possible ou bien autorise le PACKS. Ceci est du à l’évolution de la société et au nombre de plus en plus important de couples non mariés, homosexuels voire de familles recomposées. De même, les bonnes manières; telles que a bienséance, la politesses ou la courtoisie; se rapprochent de la règle de droit car elles ont pour finalité de civiliser les relations les relations sociales entre les Hommes et se rapprochent également de la morale puisqu’ n’ a pas de sanction, sauf si cela créer un dommage.