Dossier De Synthese
I L’insertion professionnelles des jeunes n’a pas toujours été un enjeu pour la société. Historiquement nous pouvons nous rencontres compte que le XXème siècle à beaucoup joué dans notre vision actuel vis-à-vis de cette importance. Suite à la seconde g entrée dans une gra différents conflits de La France va ainsi en un taux de chômage p IIe or 3 • té française est ion dût aux lein- emploi avec nit comme étant frictionnelle : chômage duree limit e concernant les personnes qui changent d’emploi ou qui sont temporairement dans une situation entre étude et emploi.
Cette époque définit comme étant les « trente glorieuses » (1945-1973) se caractérise par une croissance économique importante ainsi qu’un PIB (Produit Intérieur Brut) important, autour en 5% durant cette période. Ainsi à l’époque,la question de l’insertion professionnelle des jeunes ne se posait pas dans le sens ou ceux-ci représentait une population très facile d’intégrationl car à l’époque, le besoin de main d’œuvre était très supérieur à l’offre proposé par la population française.
Cependant, cette croissance va être suivi d’une période creuse ui va entraîner une rechute qui va influencé sur les publics les notamment affecté une grande partie de la population des jeunes. Ainsi l’État doit faire face à une problème auquel il n’était pas habitué à prendre en compte : celui de l’insertlon professionnelle (d’où le terme apparaît durant l’année 1972), et notamment celui des jeunes.
Ainsi, afin de palier aux différents problèmes que cela entraîne, on voit apparaître au début des années 1970 les premiers textes législatifs sur l’insertion professionnelle des jeunes. L’État prenant ainsi compte de ce qui deviendra une des priorités de la fin du XXème siècle, c’est à cette époque que l’insertion professionnelle va devenir un des enjeux du domaine social afin de « la rendre applicable aux jeunes d’une même génération »1 .
Les politiques misent en place permettront donc la création de différents moyens de lutte qui sont aujourd’hui inscrit dans le paysage social français 2: Les missions locales, qui naissent en mars 1982, et qui ont pour objectif de faire bénéficier aux jeunes d’un suivi afin de l’aider ans ses démarches administratives et de lui apporter des réponses sur l’emploi, la formation, le logement et la santé. La pluralisation des contrats de travail spécifique aux jeunes afin de faciliter leur insertion (les contrats emplois-jeunes, contrats de professionnalisation, contrat première embauche).
Tout d’abord , il faut savoir que l’insertion professionnelle se désigne comme un processus qui évoque un passage, une transition d’un état à un autre, qui ne concernent plus seulement le temps séparant la sortie du système scolaire de l’entrée dans la ie professionnelle, mais plus généralement toutes les occurrences d’accès o scolaire de l’entrée dans la vie professionnelle, mais plus généralement toutes les occurrences d’accès ou de retour à cette vie professionnelle »3.
Celle-ci à pour but du retour à une intégration des population dit « à risques Il faut également prendre en compte le fait que l’insertion professionnelle, même si distincte de l’insertion sociale, est interdépendante avec celle-ci du fait que ces populations vulnérables, souvent en situation d’exclusion (processus de arginalisation) ont la nécessité de trouver un travail, car cette action représente la première phase d’une véritable insertion sociale.
Ces populations englobent notamment les jeunes, qui sont aujourd’hui, considérés comme des publics précaires pour diverses raisons : Leur faible ancienneté sur le marché du travail les places dans une situation vulnérable du vite qu’il sont souvent sujet à la règle dit du « last in/first out » (dernier arrivé, premier parti) qui les placent en premieres ligne lors d’un licenciement collectif.
Leur faible expérience entraîne aussi des complications lors de la recherche d’un emploi du fait qu’ils ne peuvent pas prétendre ? l’ensemble des qualifications nécessaires afin d’être embauché4. Ces facteurs sont également problématiques notamment par le fait que les jeunes sont considérés sur le marché du travail de la même qualification que des adultes, ceux-ci étant mal répartit dans les différentes professions, elle entraîne selon les domaines une surreprésentation dans un secteur d’activité, ou à l’inverse une sou-représentation.