Document
Pascault Lucie 1ère ES2 21/01 Objet d’étude : Le personnage de roman du XVIIe siècle à nos Jours Question de corpus : En quoi la vision de la relation amoureuse présentée dans ces quatre extraits est-elle particulièrement subjective ? Dans ce groupement de textes, nous avons quatre extraits de romans. Honoré de Balzac avec La Duchesse de Langeais, La Prisonnière de Marcel Proust, un extrait de La Jalousie écrit en 1957 de Alain Robbe- Seigneur d’Albert Co une un vision d’un a mépris ou face à la r Cest pour cela que n ors Snipe to View t du roman Belle du xtraits nous offrent , l’homme face au ux n’est plus présent. r comment ces extraits parviennent-ils a presenter leur vision personnel de la relation amoureuse ? Ainsi nous allons voir tout d’abord la description des conjoints qui dévalorise l’être aimé. Mais également le ressenti des hommes de façon à voir que leur vécu est subjectif. Pour finir, nous verrons les perspectives d’avenir des hommes qui sont négatives d’après leur sentiment. Dans ces extraits le personnage ou le narrateur fait une description dévalorisante de l’être aimé. Mais les personnages humilie également l’être aimé.
Notamment chez Honoré de Balzac où Antoinette prend de haut Armand. Elle joue avec celui-ci tel que l’expression Swlpe to vlew next page « en le repoussant avec force et calme l’orsqu’elle le vit s’avançer ligne 2 le montre. Ainsi Antoinette repousse Armand dès que celui-ci tente de s’approcher d’elle. De plus, Antoinette ce moque des propos d’Armand ce qui est une forme d’humiliation. En effet, elle dit à deux reprises le mot ligne 7 lorsque Armand exprime ça volonté avec je veux >> ligne 1.
Nous retrouvons l’humiliation de l’être aimé chez Robbe- Grillet ou le narrateur fait une description péjorative de Le narrateur critique sa façon de travailler puisqu’il utilise l’expression quelque travail >> ligne 2 comme si cela n’était pas important. Il fait une description peu flateuse du personnage tel que l’expression « la masse noir de ses cheveux >> ligne 8 ou encore vlbrations saccadées Ilgne 7 le justifie. Le narrateur déshumanise cette femme.
En effet, en plus de ne ressentir aucun désir, le narrateur ressent une sorte de lassitude dans les estes de comme le montre les expressions suivantes main ligne 10 et par le même mécanisme ligne 11. Ainsi, dans ces deux extraits les personnages sont humiliés. Soit par l’être aimé, soit pas le narrateur. Mais les personnages, à travers leur vécu et leur sentiment, ressente d’autres émotions. Les textes nous offrent une vision bien subjective. En effet, nous avons l’avis de chacun des personnages et ceux qu’ils peuvent ressentir.
On peut remarquer une forme de frustration chez Balzac avec Armand qui « pâlit >> lorsqu’il voulu s’élancer >> igne 14. Il ressent la dureté de la femme froide et qui pâlit >> lorsqu’il voulu s’élancer >> ligne 14. Il ressent la dureté de la femme froide et touchante. Ainsi, Armand est malheureux et souffre. Nous notons cette souffrance également chez le narrateur de La prisonnière qui s’exprime sur sa compagne, Albertine. Il ressent un ennuyeux attachement ligne 5 ce qui montre une lassitude chez ce narrateur.
De plus le besoin de l’apaiser ligne 6 montre que le narrateur souffre constamment car il est malade d’amour comme le justifie ‘expression que je fusse guéri ligne 9. L’illusion de ce bonheur >> ligne 12, le narrateur peu rendre heureuse Albertine puisqu’il est jaloux d’un bien possédé mais qui ne lui apporte rien tel que l’explique l’expression voulais la leur disputer >> ligne 3 et « si jaloux ligne 13. Le narrateur ne semble plus être passionné ce qui rejoint le sentiment de Solal. En effet ce dernier n’est plus passionné. Il ne ressent plus aucun désir et s’ennul. La lassitude semble être présente.
Par exemple, à la ligne 11 il xplique qu’il est obliger de trouver « de nouveaux sujets >> car tous les sujets d’Ariane il les connaissait, savait par coeur ss. Ces expressions nous montres que Solal vit le même quotidien chaque jour, la routine lui pèse. Pour lui, ces activités qu’il partage avec Ariane ne sont que de « tristes passe-temps >> ligne 23. Sa relation monotone et ennuyeuse est jusitifé par la répétition de toujours ligne 6 et 16 ainsi que le mot éternellement ligne 17. Armand, le conjoint d’Albertine et Solal nous montres leur désir qui n’est plus présent, n