Dissertation Sur D Sir

L’objet du désir en est il la cause: L’objet du désir est le désir même. Introduction: Je désir boire, manger une pomme immédiatement, aller en Italie, être aimée, avoir mon baccalauréat, divers désirs qui font de nous un être, un sujet, qui font que j’existe. On constate que le désirs sont commun, le désir est éprouvé par tout homme. En effet tout homme est prédominé par ses propre désirs pour assouvir sa propre satisfaction, une plénitude ou même un apaisement. Cependant cette noti désirer quelque chos ul or 12 ou non.

Je peux désir personne en particul désir, l’objet de la pul qui dit désiré dit ui nous paraît vitale • . ±ux c comme désiré une c référé à l’objet du ur, qul se ramene a un «sujet», Lacan parle de « sujet du d sir». Si je désire aller en Italie qui est une chose immatérielle, je passe tout de même par la réflexion, la méditation qui fait que je désir cela mais pourquoi mes désirs existe t-il a travers un objet? A priori il semblerait qu’il n’y ait pas de désir sans objet car le désir a besoin d’autrui ou d’autre chose pour exister.

Si l’objet du désir est ce à quol il tend, les choses qu’on appète semblent en être la ause c’est-à-dire ce qui le produit. Mais vouloir aller en Italie signifie que c’est mon propre désir c’est moi qui le contrôle, don Swipe to vlew next page donc selon ma volonté je peux changer de désir, le remanier, si je ne désire plus y aller mais plutôt aller en Amérique même si c’est plus cher cela voudrait dire que c’est moi qui choisit ? Mals l’homme désire constamment sans s’arrêter, nous serions donc dépendant de nos désir, enfermé dans la volonté constante de désirer toujours plus que ce que lion a.

Donc si l’objet du désir est ce à quoi il tend il est donc légitime de e demander quel est la cause de mes désirs et si l’objet de mon désir est mon désir même? Est ce l’objet qui provoque le désir, en est il à l’origine ou est il juste un prétexte à désir ? Mes désirs dépendent il uniquement de l’objet, d’un sujet. Si la cause est ce qui produit l’effet, et qui fait que les choses et les être existe. Quel est l’effet de mes désir, sont -il seulement matérielle efficients, formelle ou final? Qu’est ce qui engendre mes désirs ?

Avons nous conscience de nos désir ? Si l’objet du besoin est naturel, il est nécessaire, si l’objet du désir est culturel, il est contingent. Nous tenterons tout d’abord de montrer que le désir dépend de l’objet. Puis nous tâcherons de montrer que le désir est l’essence de l’homme, elle dépend de sa raison. Enfin une nouvelle tâche se dressera face à nous : Le désir ne peut pas se passer d’objet et il faut le limiter. l/Le désir existe a travers 12 le désir nous renvoie a une prise de conscience d’un manque dont la satisfaction procure du plaisir.

Le désir conduit à la recherche de l’objet, ou du sujet que l’on considère comme étant une source de satisfaction pour nous même. Cest une action de désirer, un aspiration profonde de l’homme vers un objet qui éponde à une attente. Un objet peut être ce dont on parle, le but recherché , les réalités matérielle perceptibles inanimées. L’objet est ce qui est appréhendé par un sujet. Donc il y a d’un coté ce qui appréhende le sujet et de l’autre de qui est appréhendé, l’objet. Donc tout peut être littéralement un objet, un ordinateur par exemple.

Les réalités naturelle sont des objet comme l’eau. Il n’y a aucune limite si c’est connu par un sujet, c’est un objet. On semble toujours désirer une chose en particulier à l’opposé du besoin qui a un objet indéterminé. «choses» renvoie aux iens matériels et donc réduit le désir à celui de la possession, de l’appropriation, de l’avoir, à un objet. Une chose renvoie aux biens matérielle et donc réduit le désir à celui de la possession, de l’appropriation, de l’avoir, à un objet Les choses qu’on souhaite semblent en être la cause, c’est-à-dire ce qui le produit.

On désir souvent tenté de l’extérieur ce que l’autre a déjà, donc quelque chose que nous n’avons pas. Donc d’abord, il est possible d’affirmer qu’un objet est la cause du désir car le désir suppose autrui car autrui peut être un objet et c’est autrui qui provoq 19 ause du désir car le désir suppose autrui car autrui peut être un objet et c’est autrui qui provoque en moi le désir. En effet c’est sur l’existence d’un autre en particulier que repose la possibilité même de mon désir.

Ansl, il n’y a pas de désir sans autrui et, plus précisément, sans cet autre précis auquel nous étions unis autrefois. Le désir n’existe également que par la conciliation du désir d’autrui- Si autrui provoque mon désir, s’il en est ainsi la cause nécessaire c’est-à-dire que sans l’autre mon désir ne pourrait pas exister. C’est ce que souligne Roland Barthes dans les Fragments ‘un discours amoureux : le désir pur, dont l’autre serait la cause, est illusoire en ce que mon désir tend à se porter sur les objets déslrés par autrul.

Autrement dit, si le désir suppose autrui, il suppose plus précisément le désir d’autrui : c’est par la médiation du désir de l’autre que mon désir se déploie vers tel ou tel objet que j’estime désirable parce que l’autre le désire. Lhomme est dépendant a ses désirs, la force du désir. Le désir, comme le besoin, implique une certaine passivité du sujet qui le subit. En effet, ce n’est pas un acte conscient et raisonnable ui serait choisi par le sujet concerné. Le désir entraînerait une dépendance à l’égard du corps ou des objets extérieurs.

Le désir ferais que nous somme esclave de l’objet de notre désir c’est une dépendance à l’objet. On peut en voir des exemples au quotidien, en observant par exemple la dépendan 2 dépendance à l’objet. On peut en voir des exemples au quotidien, en observant par exemple la dépendance de certains envers l’alcool, les jeux d’argent, la cigarette, etc. Platon en donne une illustration dans le Banquet. On y voit Éros, le désir amoureux, comme un mendiant misérable. Il est bligé de se cacher, de se déguiser, de ruser et de mentir afin d’approcher l’être aimé.

Platon montre ainsi que le désir, en créant une situation asymétrique de dépendance, contraint les hommes à mendier et à perdre leur dignité. De nombreuses philosophies de vie, comme le bouddhisme ont comme but de se libérer des désirs et des passions. « Ce n’est pas par la satisfaction du désir que s’obtient la liberté, mais par la destruction du désir. »Manuel, Épictète, Ier siècle. Dans la pensée bouddhiste, c’est la fusion avec la nature qui permet de dépasser notre subjectivité pleine de désirs.

C’est une existence libérée du désir des sens, du désir de vivre et du désir de mourir. Pour Schopenhauer, seuls la mort et l’art peuvent nous libérer de la torture du désir. Car l’art est un regard esthétique et désintéressé sur le monde. Il semble impensable de se libérer du désir s’il est le moteur de la vie. Pascal dit ainsi : « qui veut faire l’ange fait la bête Si on décide de renoncer au désir, on retourne au rang d’animal et on mène une existence vide de sens. un homme sans désir est condamné à l’ennui, à la mort ou à l’animalité. Mais si le désir est produit en mol p PAGF s 9