Dissertation français sur Soi et l autre
Dissertation français : « Soi et l’autre, Anne en quête d’une identité » un critique Notre identitié dépend-elle réellement de l’autre ? Voilà une thématique qui englobe la quasi-totalité de notre livre Moderato Cantabile. Anne Desbaresdes, personnage principal du roman, possède une certaine personnalité, qu’elle n’a pas pu construire toute seule, mais à raide d’une autre personne. C’est en se rendant dans un café et en parlant avec un dénommé Chauvin qu’elle va se construire.
Au long de cette histoire elle recherche ui elle est est vraiment. Un critique nous le fait bien comprendre par sa phrase : « Soi et Pautre, Anne en quête d’une identité On not. « – Sw p to page peut remarqué un je tation, car dans le « Soi est l’autre Da ce jeu de mot, qui es et Chauvin. À mon av ag ors re partie de cette ions comprendre : saire de comprende ez-vous entre Anne pe pas en affirmant que « soi est l’autre Mais a-t-on r ellement besoin de l’autre pour se construire une identité ? À quel point Anne nécessite Chauvin pour ce créer ?
Je commencerai par analyser la recherche ‘identité d’Anne, je poursuiverai par défendre le jeu de m mot « soi est l’autre » et je finirai par traîter le besoin qu’Anne a d’aller au café. Cest à travers ses problématiques que je vais me hâter de débattre avec vous. Premièrement, il faut se le rappeler ; le début du livre commence par un meutre et nous n’avons aucune information qui pourrait expliquer ce geste, tout comme Anne Desbaresdes. Un vide se crée dans le manque d’information concernant le meutre. Comme nous le savons tous ; le vide appelle le plein.
Tout humain e force à combler ce vide qui est dérangeant et Anne ne fait partie des exceptions. Cette scène va énormément raffecté et cela créera la première conséquence à sa quête de l’identité. Elle a besoin de parler à Chauvin, lui raconter des histoire, qu’elles soient vraies ou fausses pour qu’elle puisse combler le vide qu’elle a en elle-même. Chauvin incite également Anne à inventer, à se créer une personnalité. Nous pouvons le constater à la page 64 lorsqu’il lui dit : « Dépêchez-vous de parler. Inventez. Même le silence est dérangeant.
N’importe quelle information est bonne à prendre si elle peut remplir le vide. On constate que les deux personnages sont à la recherche d’une certaine identité qui puisse rassurer leur incompréhension de l’assassinat. Anne et Chauvin s’identifie donc au couple dont la femme a été tuée, et leur identité se contruit a Anne et Chauvin s’identifie donc au couple dont la femme a été tuée, et leur identité se contruit autour de cet événement. Chacun y ajoute des commentaires et ainsi ils peuvent se créer. Cette démarche ne fonctionnerait pas l’un sans l’autre.
D’autre part, Anne s’identifie à Chauvin, et grâce à lui, ou plutôt à cause de lui, Anne change au long de notre livre. « Sa quête de l’identité » avance donc avec l’aide de Chauvin, et son « soi » s’approche de plus en plus à celui de son ami. Notons tout d’abord un changement dans ses habitudes. Depuis sa rencontre avec l’ancien employé de son mari, Anne a pour habitude de boire du vin avec lui, et à présent, elle apprécie cette boisson. C’est ? la page 89 que fon peut voir la preuve : « Comme j’aime le vin, je ne savais pas. ?? Nous voyons là qu’Anne puise en Chauvin pour ce créer une identité, car rappelons-nous que le « je » n’existe pas sans le « tu ». Pour pouvoir créer notre identité, tout le monde a besoin d’une autre personne pour pouvoir trouver qui on est. Ainsi, on peut changer en se basant sur un individu distinct. Cependant elle garde une certaine personnalité et certaines manières qui lui viennent de la haute société, comme inscrire son fils à des cours de piano privés, ou encore de dîner avec la bourgeoisie. Mais là encore, l’effet de Chauvin peut se remarqu