Dissertation EFE
L’article Pourquoi les dépenses publiques de la France sont- elles plus élevées en France qu’ailleurs ? écrit par F. SCHAFFER, a été publié le 22 Juillet 2014 dans le journal Les Echos. Après une enquête réalisée par France Stratégie et l’annonce du gouvernement qui pour combler et réduire le déficit de la dette publique atteignant les deux milles milliards d’euros, souhaite agir exclusivement sur les dépenses publiques et non plus sur les impôts.
Le journaliste dans cet article résume l’enquête de France Stratégie qui étudie le poids des dépenses de la France face à ses oisins européens en présentant «les politiques publiques», c’est- à-dire, les domaines dans lesquels la France dépense beaucoup plus. La France est l’u les plus élevées repr premièrement, il va s té’. – Sni* to View sociale est expliqué représente du dépenses publiques esse nationale. e la protection es retraites, qui qu’en Allemagne ou au Royaume Unie, explique par l’ ge de sorti du marché du travail qui est bas en France (60 ans).
Ensuite, il va s’intéresser aux dépenses dans l’enseignement public. Et notamment celles ausées par le redoublement très pratiqué en France. Le coût de l’enseignement supérieur par élève est supérieur à 21% à la moyenne de l’OCDE. En comparaison, l’Allemagne dépense 35% de mons par élève. Et enfin il va s’intéresser au domaine de la page la santé et notamment à la surconsommation de médicament et un coût élevé entrainant des dépenses de Sécurité sociale.
Suite aux explications de cet article ; on peut se demander si le récent projet de loi de financement de la sécurité sociale, présenté le 15 octobre dernier par Marisol Touraine, ministre de a santé, des affaires sociales et des droits des femmes, Sinscrit dans la stratégie gouvernementale de réduction des déficits publics. Ce projet de loi est concentré sur la maîtrise de la progression des dépenses d’assurance maladie qui impose un effort de 10 milliard d’euros d’économie pour 2017, soit près de 3,2 milliard d’euros dès 2015.
Des mesures de modernisation des prestations familiales qui doivent permettre de réaliser de nouvelles économies dès 2015. Et enfin, des économies sur la gestion des organismes de protection sociale. On voit donc que ce projet de oi pour la réduction du déficit à partir de 2015 s’inscrit dans le cadre de l’engagement pris par le gouvernement d’économiser 50 milliards d’euros d’ici à 2017, dont 20 milliards d’euros portant sur les dépenses de protection sociale.
Pour maitriser la progression des dépenses d’assurance maladie, dans son projet de loi, Marisol Touralne souhaite généraliser le tiers payants. En effet, lorsqu’une personne consulte un professionnel de santé, elle le règle immédiatement, puis par la suite, l’Assurance maladie la rembourse en totalité ou en partie. Mais une personne bénéficiant du tiers payant, est dispensé de régler immédiatement. Aujourd’hui, pour bénéficier du t PAG » OF d bénéficiant du tiers payant, est dispensé de régler immédiatement.
Aujourd’hui, pour bénéficier du tiers payant, de nombreuses conditions sont nécessaires. Il faut par exemple être titulaire de la couverture maladie universelle complémentaire, ou de l’aide médicale de l’État ou encore être victime d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle… Ce projet de loi de financement de la sécurité sociale souhaite adopter des esures pour permettre au patient de ne pas avancer les frais d’honoraires de la consultation lorsqu’il se rend chez son médecin.
L’assuré ne paiera ni la somme prise en charge par l’assurance maladie, ni celle remboursée par sa mutuelle. C’est une solution pour ceux qui ne se font pas soigner parce qu’ils ne peuvent avancer les frais. pour se faire la ministre de la santé, se dit « extrêmement attentive » à instaurer un système « le plus simple possible ». Ce dispositif entrera en vigueur en deux étapes distinctes : au 1er juillet 201 5 pour les bénéficiaires de l’aide ? ‘acquisition d’une complémentaire santé pour 201 5, puis en 2017 pour le reste des français.
Le projet de loi prévoit une réduction du déficit dans les branches de la famille, maladie, vieillesse et accidents du travail) à 10,5 milliards en 2015. De plus, la hausse de l’objectif national des dépenses d’assurance maladie, fixé à pour 2015, représenterait une économie de 3,2 milliards d’euros. Ces économies seront réalisées grâce à la diminution des prix, au développement des médicaments génériques et au contrôle de la pertinence des s