Dissertation d’SES: Les Variation de la demande
Cette crise qui dure maintenant depuis six ans illustre bien le système de fluctuation économique, c’est-à-dire les variations que subit le taux de croissance de l’économie autour d’une tendance de long terme, lorsqu’ell solution des politiqu Swipe View next page emande globale, ce co services produit par période donnée. Mai le de cycle. La la relance de la lité de biens et de ns ce pays pour une Icits budgétaires et des dettes publiques qui en résultent dans les pays occidentaux semble aujourd’hui en limiter l’usage. Les fluctuations économiques sont-elles seulement influencer par la demande ?
Pour cela nous expliquerons l’effet de la demande sur les fluctuations économiques avant d’étudier les autres facteurs qui influent sur ces fluctuations. Deux autres facteurs économiques jouent sur les fluctuations économiques, celui du choc d’offre et ceux de l’activité financière t monétaire. Le choc d’offre est une augmentation ou une diminution de des prix de bien ou services. Un choc d’offre à énormément d’impact sur la croissance puisque ce choc influe sur les consommations intermédiaires et donc sur le prix de vente ainsi qu’une inflation.
Et lorsque ce choc représente une hausse des prix, cela va influencer les consommateurs et donc modifier le pouvoir d’achat et la demande global. L’évolution du cours du pétrole depuis 1970 (document 4) agit sur le niveau d’activité. En effet, les deux chocs pétroliers (1973 et 1979) coïncident avec un ralentissement d’activité. Les agents économiques des pays développés ont subi un ralentissement des accès aux ressources au profit des pays exportateurs de pétrole, ce qui a conduit à un ralentissement des activités et donc de la croissance, et donc à une forte augmentation du prix du pétrole (905 le baril de pétrole en 1979).
Et pourtant à partir de 1980 à 1997, le prix est en baisse dû à une offre de pétrole plus élevé ainsi durant cette période le prix du pétrole reste relativement stable après une grande baisse du prix en 1980. Par exemple en 1990, le prix du pétrole a subi une baisse de plus de 0% par rapport au prix de 1980 soit 10 ans. Le prix du baril de pétrole peux évoluer très vite en fonction du nombre de baril offert à la vente, plus les barils seront nombreux moins le prix sera élevé, et inversement.
C’est pourquoi à partir de 2000, le prix du baril augmente considérablement jusqu’à 2008 où le prix est aussi élevé qu’en 1980, et après une légère baisse en 2009, le prix attein 2 OF s 2008 où le prix est aussi élevé qu’en 1980, et après une légère baisse en 2009, le prix atteint 1 IOS en 2010. e crédit crunch fait partie des activités financière et monétaire ui influe sur les fluctuations économique d’un pays, c’est donc un système économique, qui rationne les crédits. On peut aussi appeler cela la crise de liquidité. Ainsi, les banques ne se prêtent plus les unes entres elles.
Ce crédit crunch amène au ralentissement de la croissance et une forte baisse du PIB, puisque peu d’entreprise se lance dans le marché financier. Pourtant, pour lutter contre le crédit crunch il faut réinjecter des liquidités dans le cercle vicieux, cela en utilisant les banques et banques centrales qui font alors baisser leur taux d’intérêt et facilite les prêts. La crise économique que nous connaissons depuis 2008, est un bon exemple de crédit crunch puisqu’elle a entraîné un assèchement des liquidités, car les banques, pour éviter les défauts de crédit ont ralenti les prêts interbancaires.
Cette attitude et ce manque de liquidités les ont amenées resserrer leurs conditions de prêt aux agents non financiers, lesquels ont donc moins accès au crédit pour financer leurs projets d’investissement ou de consommation, on le voit dans le document 1, où les ménages ne représente qu’à peine 0,5 % du PIB depuis 2008. Par conséquent, sans solutions cette crise, l’économie mondiale est entrée en récession. Lorsque l’économie rentre en récess 3 OF s recesslon.
Lorsque l’économie rentre en récession, la richesse créée progresse moins vite (début des années 2000), voire diminue (2009). Les revenus primaires sont alors réduits, et même la redistribution des richesses et le revenu disponible des ménages (hausse du taux de chômage long terme ce qui conduit à une baisse des revenus), diminue également. Les ménages sont confrontés à une baisse de leur pouvoir d’achat, et sont amenés à renoncer à un certain nombre e projets, ce qui fait chuter la consommation.
Les ménages qui ne sont pas directement touché par cette crise, développent une épargne afin de faire des économies, mais cela recule là aussi la consommation. Donc la demande des ménages diminue. Les entreprises doivent alors ajuster leurs capacités de production. Elles commencent en général par vider leur stock avant d’adaptés leurs capacités au niveau de la demande globale, en diminuant leurs investissements de remplacement et en n’effectuant pas d’investissement de capacité.
On constate alors une réduction de a FBCF en 2009 (l’année suivant la crise est plus représentative de l’impact de la crise sur les pays). La demande en provenance des entreprises baisse ce qui contribue à une diminution encore plus forte de la demande globale. La demande a donc une grande influence sur les fluctuations économiques mais d’autres facteurs comme le choc d’offre ou les activités financières ou monétaires ont un effet sur ces f 4 OF S monétaires ont un effet sur ces fluctuations.
En conclusion, nous pouvons dire que la demande à un impact assez fort sur les fluctuations économiques puisqu’elle est eprésentative du pouvoir d’achat des ménages et des entreprises. Pour cela elle utilise l’équilibre emplois ressources et I’FBCF. Pourtant même si cela représente une partie importante des variations économique ce n’est pas le seul facteur, il y a aussi l’influence du choc d’offre avec l’exemple du choc pétrolier.
Mais pas seulement il y a aussi les activités financière est monétaire avec la logique du crédit crunch et l’exemple de la crise économique mondial depuis 2008. Mais la Russie qui semblait usque-là être à l’écart de cette crise, est touchée de plus en plus ar cette crise, le prix du rouble baisse et la population consomme le plus possible pour éviter des prix trop élevé s’ils attendent ce qui crée une demande très importante alors que l’offre est de plus en plus limitée.