Diderot Supplement Bougainville
Le conte philosophique « Supplément au voyage de Bougainville » a été écrit par Denis Diderot, grand Philosophe du siècle des Lumière. Dans cette œuvre, Diderot s’appuie sur le récit du voyage au tour du monde de Louis Antoine de Bougainville, navigateur et explorateur Français,pour soulever le problème du colonialisme, et en particulier dans l’extrait étudié, pour dénoncer les souffrances que Bougainville et son équipage ont infligé au peuple Tahitien, pendant leur séjour sur l’île.
Denis Diderot met n scène un vieillard de la tribu Tahitienne, probablement « le sage » de la tribu, prononçant un discours violent à l’encontre de Bougainville et ses hommes. Les nombreux arguments utilisés dans ce discours, amènent naturellement le lecteur à s’interroger Swipe to page sur les méfaits du col analyse l’opposition combat. On parle di Sni* to View donc dans cette e le discours de re car dans ce texte, Diderot oppose les qualit s de la culture Tahitienne contre les défauts de la culture Européenn Européenne.
Diderot présente la culture Tahitienne comme es personnes qui mènent une vie heureuse et naturelle : « nous somme libre », « laisse nous nos mœurs, elles sont plus sages et plus honnêtes que les tiennes Ce peuple possède des valeurs positives comme le respect des autres, le partage, la fraternité Contrairement aux Tahitiens, Diderot qualifie les hommes de Bougainville comme des personnes qui ont pour valeurs la violence, la possession, le superflu. Diderot met en scène le vieillard qui à pour rôle de montrer l’absurdité du comportement des Européens.
Cette injustice se traduit par ‘application de la loi du plus fort dès l’arrivé des colonisateur sur le territoire Tahitien et cette loi du plus fort et en total opposition avec les idées de Diderot qui défend les lois naturelles. Le discours de combat prononcé par le vieillard mis en scène par Diderot qui s’adresse à Bougainville est divisé en deux partie principale. Dans la première partie, le vieillard dénonce l’injustice, les méfaits du colonialisme : « tu es le plus fort ? Et qu’est ce que cela fait ? « Quel droit as-tu sur lui qu’il n’ait pas sur toi ? On retien