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Journal : La Mort dans l’âme La plupart des immigrants s’identifieraient avec le narrateur de La Mort dans l’âme, dailleurs cela s’appliquerait à moi également. Je me souviens du jour ou j’ai atterri à New York City tout seul, je n’avais pas l’handicap de la langue dont il soufrait, cependant, le choc culturel était perceptible, la ville donnait l’impression d’une jungle urbaine. Si an se met dans le contexte littéraire de l’essai, c’est la société et l’en émotions.
Par exem inhumain à cause de u’on le désire. D’un handicap majeur surt PACE 1 fluence les gens et de se sentir qu est pas aussi fluide it défaut est un ysiologiques basiques, mais aussi pour l’ panouissement mental. D’ailleurs, malgré le fait que le séjour de Prague a duré moins d’une semaine, il projette l’idée d’une incarcération mentale infinie. En effet, il y a des passages où on a l’impression qu’un moment d’isolement de plus le mènerait à une explosion psychologique.
Cependant, une lueur d’espoir lui vient lorsqu’il commence ? évelopper des automatismes, car lui qui était complètement incognito redécouvrait la joie d’être reconnu. Même si cette notoriété venait du staff du restaurant ou de l’hôtel, elle a le mérite de se faire par modération. Tel un traitem Swipe to vlew next page traitement médical, ce changement était perceptible mais progressif. En d’autres termes, un traitement de choc ne l’aurait pas servi dans cette terre étrangère.
Il commença à en tirer une satisfaction marginale, car il se sentait fier de son succès pour lequel il avait travaillait. ar contre, lorsque ses amis reviennent à Prague et l’accompagnent à Vicence, toute sa thérapie d’adaptation est chamboulée. Cette ville le fait rechuter dans l’ivresse de la méditerranée et dans la facilite des sentiments qu’il connaissait ? Oran. Evidement, cette jouissance sensorielle lui est délicieuse, comme un drogué qui se pique, il consomme soleil, architecture et beauté, mais il arrive à saturation quand la ville italienne se transforme en dose excessive.
Cependant, c’est Prague qui lui manqua, maintenant qu’il a outé au défis de cette ville, il se dit que la difficulté de se frayer un chemin dans un milieu hostile lui prodiguerait un plaisir plus intense C’est cette sorte d’alternance entre délice facile et défis satisfaisant que notre narrateur progresse. D’ailleurs, lui aussi reconnaît sa complexité et admet que la satisfaction absolue lui est inatteignable, toutefois il nous permet d’entretenir la pensée, qu’en théorie, l’existence d’un endroit idyllique pourrait bien exister, peut-être une sorte d’Eden imaginaire auquel notre personnage ne croit pas.