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essay B

Le regard du narrateur bute constamment sur des obstacles, le toit, l’arbre même s’il s’efforce de les contourner en levant les yeux ou en faisant appel à son interprétation  » cette rumeur vient de la ville L’horizon figé, pris entre des lignes verticales (l’arbre) et horizontales (le toit) suppose un immobilisme forcé du poète. Cest une vision restrictive qui procède par plans successifs et s’accroche aux détails, le toit et non les maisons, la palme et non la branche.

L’alternance des articles définis et indéfinis le ciel, un rbre, la cloche, un oiseau reproduit le va et vient d’un regard qui passe du concret à l’abstrait (le ciel, la cloche, la rumeur) d’un plan éloigné à un plan rapproché (l’arbre). Le poète n’a pas d’autres repères que ces trois éléments, le ciel, le toit, l’arbreLe regard du narrateur l’arbre même s’il s ‘e cc or 3 ou en faisant appel à n , Snipe to . L’horizon fig la ville et horizontales (le toi es obstacles, le toit, n levant les yeux e rumeur vient de erticales (l’arbre) me forcé du poète.

Cest une vision restrictive qui proc de par plans successifs et ‘accroche aux détails, le tait et non les maisons, la palme et non la branche. L’alternance des articles définis et indéfinis le ciel, Swlpe to vlew next page un arbre, la cloche, un oiseau reproduit le va et vient d’un regard regard du narrateur bute constamment sur des obstacles, le toit, l’arbre même s’il s’efforce de les contourner en levant les yeux ou en faisant appel à son interprétation  » cette rumeur vient de la ville L’horizon figé, pris entre des lignes verticales (l’arbre) d’un plan éloigné à un plan rapproché (l’arbre).

Le poète nia pas a ville Chorizon figé, pris entre des lignes verticales (l’arbre) C’est une vision restrictive qui la branche. L’alternance des articles définis et Indéfinis le ciel, un L’horizon figé, pris entre des lignes verticales (l’arbre) C’est une vision restrictive qui procède par plans successifs et arbre, la cloche, un oiseau reproduit le va et vient d’un regard qui passe du concret à l’abstrait (le ciel, la cloche, la rumeur) d’un plan éloigné à un plan rapproché (l’arbre). Le poète n’a pas d’autres repères que ces trois éléments, le ciel, le toit, l’arbre.