Devoir Maison De Culture De La Communication 1
Devoir Maison de Culture de la Communication – Fondation Abbé Pierre l) Questions d’analyse 1 . Vous préciserez quelle est la cible de cette campagne de communication, vous vous demanderez si cette campagne est capable de mobiliser cette cible et par quels moyens présents dans ces affiches ? Les cibles de cette campagne sont les citoyens en général, ceux qui ne sont pas défavorisés et qui ont un logement convenable dans lequel vivre.
Elle a pour but de sensibiliser chacun d’ tre lè du « mal-logement Sni* to View r elle touche tout le Oui cette campagne onde et qu’elle lutt contre quelque chose qui est concret et fondamentale à la vie de tous, c’est-à-dire le logement et dans ce cas là le « mal-logement h. La campagne utilise le modèle du leurre d’appel humanitaire qui ? deux objectifs : capter l’attention – provoquer l’adhésion de soutien et stimuler le don. Sur la première affiche, l’angle de prise de vue est une plongée ? la verticale sur l’intérieur de la famille.
Cette vue aérienne d’ensemble permet en un coup d’œil de ce rendre compte ce que peut être une vie de famille dans un espace aussi réduit. La uantité de mobilier est réduite à l’essentielle, le strict minimum est présent pour assurer avoir un gain de place en hauteur quand il n’y en a pas en superficie. On se rend compte que la famille est condamnée à une promiscuité de tous les instants. De plus cet angle de vue écrase la famille pour mieux nous rendre compte du poids que pèse leur situation de vie sur eux. La deuxième affiche est un plan d’ensemble de ce qui pourrait ressembler à une entrée d’appartement.
Pour les deux affiches la lumière électrique donne un aspect blafard qui éteint toute couleur et out espoir de ceux qui sont sur les Images. La campagne publicitaire met la cible face à des images brutales par leur simplicité ce qui leur permet d’avoir un impact saisissant et immédiat. De plus ses images sont interactives grâce à leur dimension, au texte qui est inscrit dessus mais aussi par leur placement dans des endroits stratégiques qui leur apportent une dimension supplémentaire. En effet chaque affiche à une dimension particulière en fonction de l’endroit où elle sera placée. ar exemple, l’affiche de la famille mesure 12m2 comme l’espace qu’occupe la amille, la seconde affiche mesure 6m2 car elle sera mise sur la devanture des abribus qui ont la même superficie. La personne qui voit l’affiche est donc confrontée à la petitesse de l’espace qu’occupent les « mal-logés » de façon l’ttéralement matérielle. (Objectif cognitif) De plus chaque affiche est accompagnée d’un texte qui donne la dimensio PAG » OF d dimension exacte de l’affiche avec à la suite une question rhétorlque qui permet d’interpeler une fois de plus la cible. Objectif affectif) Après le texte et à côté du logo suit un seul mot « AGISSONS » our inciter une dernière fois la cible à agir. (Objectif conatif) 2. La campagne de la fondation de FAbbé Pierre vous parait-elle traiter de « l’infraordinaire » … et « enfin de ce qui est, de ce que nous sommes » (CF le texte de Pérec)? L’infra-ordinaire est par définition ce qui est sous fordinaire c’est- à-dire ce qui est à la base/à la racine de nos vies. Ici on peut dire que la campagne traite de l’infra-ordinaire car tout être humain devrait avoir droit à un logement décent, dans lequel on pourrait vivre de façon convenable.
Le logement est donc essentielle à notre quotidien et il fait d’ailleurs partit de la deuxième base de la pyramide des besoins humains De Maslow. Le mal-logement n’est pas un « évènement, quelque chose d’insolite ou d’extraordinaire », c’est quelque chose pour ceux qui le vivent « d’infra-ordinaire de journalier, de quotidien, qui nous concerne comme le décrit Georges Pérec. Georges Pérec au sujet de l’infra-ordinaire pose la question de « comment en rendre compte, comment l’interroger, comment le décrire La campagne de l’Abbé Pierre arrive