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essay A+

Elle vise également à maintenir leur autonomie grâce à des lieux et à des activités adaptées. Sa spécificité C’est un établissement public médium-social qui dépend du Ministère de la santé via l’Agence Régionale de Santé. Cette structure est devenue un établissement d’Hébergement pour Personnes âgées Dépendantes en 2006. – Le personnel qui y est employé premier boy haïssant I empâta 24, 2011 | 11 pages Cet APHTE comporte quatre types de personnel : * Le personnel administratif, qui est composé d’une directrice et de deux secrétaires. Le personnel de restauration, avec trois cuisiniers. – Son organisation L’établissement est supervisé par un conseil ‘administration et géré par une directrice Le conseil d’administration est composé du maire de la commune qui préside ce conseil, deux conseillers municipaux, deux conseillers généraux, un représentant de la Caisse d’Assurance Retraite et de la Santé au Travail, deux administrateurs nommés par la commune, le receveur municipal et un membre du personnel.

Il a pour objectif de voter le budget, le compte administratif ; d’approuver les travaux ou décisions présentées par la directrice et de s’occuper de la gestion de l’établissement. AI y a un conseil de vie sociale, composé de trois résidents, eux représentants des familles et deux membres du personnel. Il a pour objectif de présenter le budget et le compte administratif ; il donne diverses informations ; les membres peuvent formuler des demandes, faire des suggestions, donner leur avis.

Le comité technique d’établissement, qui est présidé par la directrice et composé de trois membres du personnel, donne son avis sur : – la présentation du budget et du compte administratif – le plan de formation du personnel – les avancement, l’organisation du travail En annexe, je joins un organigramme du fonctionnement de l’APHTE. B – La personne aidée organigramme du fonctionnement de l’APHTE. * Présentation de la personne Madame G. Est née le 06 juin 1910 à cour aux Loges. Veuve depuis une dizaine d’années, elle n’ pas eu d’enfants.

Elle a deux beaux-frères, ainsi que leurs épouses, qui viennent la visiter très rarement. Elle a une tutrice qui s’occupe de tout ce qui se rapporte à l’administratif. Elle a été admise avec son mari le 18 Avril 1994 en chambre double dans la maison de retraite demain pour une démence de type lasseriez. A la mort de son mari, elle a été transférée en chambre simple. Elle souffre de plusieurs antécédents, comme l’hypertension artérielle, * Son degré d’autonomie – Ce que je vois J’observe que Madame G. Séide un degré d’autonomie assez réduit. En ce qui concerne sa motricité, lors du transfert du lit vers son fauteuil, elle a beaucoup de difficultés à pivoter pour s’asseoir, à tenir debout. Sur le lit, lors de la toilette, elle ne bouge pratiquement pas, Par contre, elle peut lever les bras lors de la toilette du haut, bouger les doigts, mais elle ne peut pas utiliser de gant de toilette pour son visage. Pour les fonctions d’élimination, étant incontinente, elle porte des changes.

Elle communique très peu, étant donné qu’elle passe beaucoup de temps seule dans sa chambre et elle le fait de temps seule dans sa chambre et elle le fait de trois façons : – soit par la parole, en répétant les phrases que je lui soumets, – soit par un sourire, si elle n’ pas compris la demande, – soit par des mimiques, quand elle exprime la douleur. Elle est capable de manger seule, mais elle ne peut pas prendre les médicaments seule. – Ce que les professionnels me disent Selon le médecin coordination, Madame G. Ait partie du groupe AGIR 2, ce qui implique que ses fonctions mentales e sont pas totalement altérées, mais elle est nécessite une prise en charge pour toutes les autres activités de la vie courante. Les aides-soignantes et les agents de service me disent qu’elle est capable de faire des choses, mais qu’il faut la stimuler constamment. Elle reste très souvent dans sa chambre, à contempler le canal ou à lire des journaux. La psychologue avance qu’elle doit s’ennuyer, car avant sa perte progressive au niveau locos-moteur, elle sortait près du canal pour se promener. Mais Madame G. ‘exprime pas ce manque, bien qu’on puisse le supposer – Ce que la personne dit Elle peut exprimer la douleur par des mimiques de son faciès ou par la parole. Lors de la toilette, elle peut dire si l’eau est trop froide. Mais il n’ a pas de réel situation de communication avec elle. C – Description de la situation de travail communication avec elle. * Donnés concernant l’environnement La chambre de Madame G. Se trouve au premier étage, côté canal. Quand on ouvre la porte, sur la droite se trouve la salle de bain, où il y a un lavabo avec un petit meuble au dessus, qui renferme le nécessaire pour la toilette (shampooing, … . Sur les deux côtés du lavabo, deux tiges métalliques remettent de tenir un gant de toilette et une serviette afin de ne pas confondre celui utilisé pour le haut et pour le bas. AI ha un siège CC qu’elle n’utilise plus et un bidet. A l’entrée, il y a un petit couloir, où se trouve une grande armoire grise, qui contient les vêtements, les changes…. En passant ce petit couloir, on voit un lit médicalisé juste au milieu de la pièce, ce qui permet d’avoir suffisamment de place pour réaliser l’aide à la toilette.

Sur le côté droit du lit, il y a un petit meuble où se trouvent quelques objets de décoration, un petit tiroir, où sont rangées es lunettes. Sur la chaise se trouve les vêtements du jour avec les changes, les bas de convention. Sur le côté gauche du lit, il ha un gros meuble sur lequel est posée une télévision. Vers le fond de la chambre, sur le mur, son siège roulant est à côté de la fenêtre qui donne sur le canal d’Orléans. Concernant Madame G. , je réalise le lever, une toilette complet d’Orléans. Emplette au lit, l’habillage, le transfert du lit au fauteuil, la prise de médicaments et la remise de son petit déjeuner. Je vais m’attarder plus particulièrement sur le lever et la toilette complète au lit au matin Description de l’acte Nous sommes le vendredi AI février 2011, à ah. Les transmissions terminées, je prends l’ascenseur pour aller au premier étage. Arrivé devant la porte de Madame G. , je frappe à la porte. J’allume la lumière juste à l’entrée sur la droite qui éclaire le plafond. Je passe le petit couloir et je me dirige vers la tête du lit.

Je dis bonjour à Madame G. Elle me répond en me disant : « Bonjour, Monsieur ». Je lui demande si elle a bien dormi et elle me répond oui. Je lui annonce que je vais lui faire la toilette et que je vais chercher le nécessaire. Dans la salle de bain, je prends la bassine que je remplis d’eau chaude, car elle n’aime pas l’eau tiède. Sur chaque côté du lavabo, il y a deux tiges métalliques où sont entreposées un gant de toilette et une serviette ; une étiquette sur le mur indique si ce gant a été usité pour le haut du corps ou le bas.

Je dépose au dessus de la tablette le gant et la serviette utilisée pour le haut et je fais la même chose pour le bas. Au centre de la tablette, je pose la bassine, le bac qui contient le savon, une brocs pour le bas. Au centre de la tablette, je pose la bassine, le AC qui contient le savon, une brosse pour la coiffure, un sac poubelle en plastique pour la protection de nuit souillée. Puis, je reviens sur le côté gauche du lit et lui dis que je vais monter le lit. A l’aide de la télécommande, je monte le lit au maximum. Je rapproche la tablette afin de ne pas faire trop d’allées et venues.

Je baisse la barrière de sécurité. Après avoir mouillé le gant du haut, et ajouté du savon, je luis annonce que je vais commencer par le visage. Je passe le gant sur son front, en frottant énergiquement, puis les cernes des yeux, les joues, le nez, la bouche, le cou t derrière les oreilles. Je rince le gant pour enlever le savon. Après l’avoir de nouveau trempé, je repasse le gant sans savon, en suivant le cycle précédemment décrit. Je rince le gant et je le mets sur le côté de la bassine et j’essuie avec la serviette son visage.

Quand je réalise cet acte, je suis attentif au regard, au faciès afin de déceler d’éventuelles gênes (si l’eau est trop froide, si je frotte trop fort). Ensuite, je défais la casaque qu’elle porte en lui maintenant la tête vers l’avant et je profite pour enlever les boutons du dos. Après avoir enlevé la casaque, je prends le gant que ‘ai utilisé pour le haut ; je le savonne et je le passe sur la poitrine. Puis je lui prends le bras droit, je passe le haut ; je le savonne et je le passe sur la poitrine.

Puis je lui prends le bras droit, je passe le gant sur les doigts en terminant par les aisselles. Je réitère la même opération pour le bras gauche. Et je termine la toilette du haut en faisant un passage sur l’estomac et sous la ceinture abdominale. Je rince le gant et je recommence le même mode opératoire pour enlever le savon. Puis j’essuie avec la serviette. Au moment de cet acte, je veille à ce que le gant toi bien passé sous les seins afin d’éviter des rougeurs. Je prête attention à son intimité en recouvrant sa poitrine avec la casaque.

Ensuite, j’ouvre la protection, sans toutefois l’enlever, afin de prévenir pour d’éventuelles fuites urinaires. Je mouille le gant que j’utilise pour le bas et je le savonne. Je débute en lavant le pubis et les plis de l’aine. Puis je savonne la vulve, en veillant à ce que je ne passe pas deux fois sur la même zone du gant en luis faisant faire un quart de tour. Je rince mon gant et je réitère la même opération pour retirer le savon. Puis, je sèche avec la serviette prévu à cet effet en tapotant, tout en insistant sur les plis de l’aine pour éviter les rougeurs.

A ce moment, je la recouvre et je lui dis que je vais changer l’eau de la bassine pour s’occuper de son dos et de son siège. Une fois l’eau changé, je la retourne sur le côté gauche du lit et elle s’accroche de son siège. Une fois l’eau changé, je la retourne sur le côté gauche du lit et elle s’accroche à la barrière de sécurité. Après avoir savonné mon gant du haut, je lui frotte le dos énergiquement, à sa demande, du haut vers le bas. Après avoir rincé et séché le dos, je lui applique de l’eau de colonne pour la rafraîchir.

Puis je savonne le gant réservé pour le siège et je lave les fesses en partant du bas vers le haut, afin de ne pas favoriser la prolifération des bactéries et des microbes. Je rince, puis je sèche le siège avec une serviette. Ici s’achève la toilette complète. Et à partir de là, je procède à l’habillage, en commençant par lui mettre le change, étant couchée sur le côté. Puis, après avoir enlevé la casaque, je lui mets un grand maillot de corps, en le faisant passer par la tête. Puis, je lui mets les bas de convention, les chaussons.