analyse de pratique – hygiène
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l. Description de la situation La situation présentée se déroule lors de mon premier stage du semestre 1, pendant la matinée du mardi 23 octobre 2013, vers 7 heures 30. Elle a lieu dans la chambre seule de monsieur E, située dans un seNice de diabétologie-endocrinologie-nutrition d’un centre hospitalier. Durant cette situation sont présents : monsieur E, l’infirmière de garde de la matinée et moi-même.
Monsieur E est âgé de 65 ans et a été admis dans le service le 7 octobre 2013 pour des ulcères aux deux jambes et sur le deuxième arteille du pied droit. Monsieur E est diabé la cicatrisation de ses ale ors on deuxième orteill to View 2013. Monsieur E est n’est pas anxieux à l’ t, c’est pour cela que nt. L’amputation de credi 24 octobre et coopératif. Il Le soin effectué est un pr levement sanguin pré-opératoire. Il est mis en place, le jour précédent l’opération, dans le but de faire un bilan sanguin plus approfondi.
Ceci afin de ne pas retarder une éventuelle transfusion sanguine en urgence pendant l’intervention et de dépister un potentiel trouble de la coagulation pour prévenir tout risque de saignement. pendant le tour de garde de la mati page matinée avec l’infirmière, il est préscrit une prise de sang our monsieur E. Je demande l’accord à monsieur E pour que j’effectue seule le prélevement. Je prépare le matériel nécessaire au prélevement sanguin que je positionne sur un chariot préalablement désinfecté.
Je choisis : une aiguille épicrânienne équipée d’une tubulure, une tulipe, un garrot, des compresses non stériles, un antiseptique, du scotch, un pansement, les tubes de prélèvement sous vide nécessaires, les étiquettes laboratoire d’identication du patient, les bons d’analyses laboratoire, la pochette de transport, une paire de gant nitrile, un flacon pompe e solution hydro-alcoolique, un conteneur DASRII, un sac jaune DASRI et un sac noir DAOM2. Je monte le lit de monsieur E à ma hauteur.
J’effectue une friction de solutlon hydro-alcoolique afin de ne pas perdre de temps lors d’un avage de main classique ? l’eau et savon. Je remonte la manche de pijama de monsieur E et je serre le garrot au dessus du coude afin de vérifier l’état des veines. Je demande à monsieur E de serrer son poing. Je mets les gants nitriles. Le port de gants nitriles est obligatoire afin de prévenir tout risque de contact avec du sang ainsi que constituer ne barrière contre les germes et une barrière physique pour éviter de se piquer.
Je prépare l’aiguille épicrânienne (j’ai choisi ce type d’alguille car je éviter de se piquer. Je prépare l’aiguille épicrânienne (j’ai choisi ce type d’aiguille car je suis plus à l’alse pendant le prélèvement), la tulipe ainsi que les compresses imbibées d’antiseptique. Je désinfecte le pli du coude avec une compresse aseptisée, j’effectue des mouvements circulaires. Je tire légérement la peau pour éviter que la veine ne roule, je préviens monsieur E du geste et je pique. Je maintiens immobile l’aiguille avec du cotch. Je prélève les tubes.
Je prends une compresse aseptisée et désserre le garrot. Je retire l’aiguille et la désadapte par mesure de sécurité, en même temps j’appuie avec la compresse sur le point de ponction. Je jette mes compresses dans le sac jaune DASRI et Paiguille dans le conteneur DASRI, les autres déchets, tels que les emballages, sont jetés dans le sac noir DAOM. pour finir je place un pansement. Je recouvre le bras de monsieur E. je vérifie l’identité du patient et les informations inscrites sur les étiquettes laboratoire. Je redescends le lit et ressors de la chambre avec le chariot.
Je retire les gants que je jete dans le sac jaune DASRI. J’effectue une friction au SHA. Je retourne dans la salle de soin afin de ranger le matériel et désinfecter le chariot. Le prélèvement sanguin est envoyé par valise au laboratoire dans sa pochette de transport afin de renforcer la protection des prélèvements b laboratoire dans sa pochette de transport afin de renforcer la protection des prélèvements biologiques lors du transport. J’ai fait le choix de cette situation car le prélèvement sanguin est un soin couramment effectué par les infirmières.
Cependant, rien n’enlève à son importance. C’est pourquoi, il me semble primordial de ne pas omettre les bonnes pratiques et les règles d’hygiènes appropriées et nécessaires pour une bonne préhension du soin. Il. Analyse de la situation Le soin pratiqué me parait correct. Il a été effectué du début jusqu’à la fin, sans interruption. De plus, le but attendu, qui est le recueil de sang pour des analyses, est atteint. D’autre part, le prélèvement est un soin invasif, c’est pourquoi, on attend une hygiène et une stérilité irréprochable afin d’éviter l’entrée d’agents infectieux.
La désinfection du point de ponction, ‘hygiène des mains, le port de gant, la stérilité du matériel et la gestion des déchets et matériaux souillés ont été effectué, permettant la satifaction de la bonne pratique dans le domaine de l’hygiène. La protection du patient et du soignant, en vue des précautions « standards figurant dans la circulaire DSG/DH no 23 du 3 aout 1989 et de la circulaire DSG/DH ri028 du 20 avril 1998, ont été effectués. De plus, selon l’article R. 4311-7 alinéa 35 du Code de la santé publique, l’infirmière ou l’infi PAGF effectués. De plus, selon l’article R. 311-7 alinéa 35 du Code de a santé publique, l’infirmière ou l’infirmier est habilité à pratiquer l’acte suivant soit en application d’une prescription médicale qui, sauf urgence, est écrite, qualitatif et quantitatif, préalablement établi, daté et signé par un médecin : prélèvements de sang par ponction veineuse ou capillaire ou par cathéter veineux es élèments ayant conduit à un bon déroulement du soin ont la coopération du patient l’utilisation de matériel et de produits adaptés pour le prélèvement sanguin une hygiène des mains effectuée avant et après le contact avec le patient et son environnement e port de gant pour prévenir une exposition à un risque de contact avec du sang et l’aiguille. Leur retrait avant de toucher l’environnement du patient la gestion du matériel souillé : désadaptation de l’aiguille et son élimination dans un conteneur DASRI, tri des autres déchets, désinfection du chariot l’utilisation d’un emballage adapté permettant de renforcer la protection des prélèvements biologiques pendant leur transport Afin de reprodulre ce soin avec satisfaction, il est important de rester vigilant au bonne pratique ceci malgrès le risque de manque de temps ou l’aspect parfois récurrent du soin