Dalhousie

essay B

Sni* to View Il y a une nouvelle vedette scandaleuse cette année dans les nouvelles : la faculté de dentiste à PUniversité de Dalhousie. pas au séminaire réparatrice. Question éthiques Est-ce juste une blague, est-il une vraie menace, ou est-il du « cyber bullylng » ? D’après moi, c’est une blague inappropriée. Les hommes n’avaient aucune intention d’agir sur ce qu’ils disaient, ni voulait- il rendre mal à l’aise les jeunes femmes dans leur faculté. Cétait un groupe secret, mais lorsqu’il fut partagé, c’est seulement l? qu’il y a eu des problèmes.

Si c’était moi une des victimes de ce groupe j’aurai simplement soulevé mes sourcils aux hommes néandertaliens, J’aurai été à moitié dégouté et un peu amuser par leur immaturité. Je ne crois pas que nous sommes si puritaines que nous avons besoins d’un gros procès légaux afin de nous « sauver » des blagues noires. Le RCMP ne croient pas que ces hommes sont un danger pour le publique, ni les femmes. Quel type d’éthiques s’applique? L’éthique de la vertu des jeunes hommes qui sont impliqués.

Les jeunes hommes pourraient être critiqués comme des hommes avec un caractère sale. Mais personnellement, je ne crois pas que se sont nécessairement des hommes de mauvaise caractère, mais plutôt des personnes qui ont commis des actes impropres, ce qui nous emmène à notre deuxième type d’éthique : L’éthique déontologique. L’action de faire les commentaires sexuels à propos des femmes de leur faculté était des actes impropres, donc déviait de l’éthique déontologique.

Aussi l’administration considère la façon que Millet à gérer cette situation comme étant aussi un mauvais choix d’action. Il y a aussi l’éthique conséquentialiste qui est plus difficile ? PAG » OF d aussi un mauvais choix d’action. mesurer puisqu’il faut faire un genre de calcul de dommages auprès des individus. Donc, on dirait qu’en conséquent l’université a perdu sa réputation, les hommes aussi, mais ils ont appris une bonne leçon dans le respect des autres, et pour les femmes, ce qu’elles pensent est inconnus.

Je dirais qu’en générale les conséquences ont été négatives pour tous. Qui sont les parties prenantes les plus importantes? D’après moi, les parties prenantes les plus importantes sont les victimes femmes de la faculté de dentiste. Ce sont eux qui oivent finalement décider s’ils se sont sentis ciblés, et comment ils voudraient procéder afin d’avoir une « justlce Ily a aussi les jeunes hommes avec les carrières qui demeurent en péril. Ensuite, il y a la faculté de dentiste de l’Université de Dalhousie qui a acquis une réputation plus sale.

Cest possible que les employeurs ne veuillent plus embaucher les jeunes hommes de là. Quelle est la responsabilité de l’Université, a-t-elle bien géré cette situation’ La responsabilité de l’Université est d’assurer la sécurité de leurs étudiant(e)s. Ils doivent donc assurer que les jeunes hommes e sont pas sérieuses avec leurs « blagues » et qu’il n’y pas de risques que les femmes soit violés. J’imagine que c’est cela qu’ils font avec le processus de justice réparatrice.

Je crois qu’ils pourraient, par contre, arrêter de culpabiliser la personne qui a mis à la lumiere cette page. Quelle est la responsabilité des étudiants? culpabiliser la personne qui a mis à la lumière cette page. Les étudiants ont la responsabilité de respecter leurs paires, et leurs professeurs d’universités. Ceci inclue le respect à leur dignité et ne pas faire des commentaires sexuelles au sujet d’eux. Quelles sont les informations pertinentes qui ont influencé la façon dont cette situation s’est déroulée? 1. 3 hommes ont participé dans un groupe misogyne. 2. Un des hommes, Millet, a montré le groupe à son amie qui a été mentionné dans la page. 3. Ensuite les commentaires de ce groupe secret ont été partagés avec le média. 4. Tous les hommes dans le groupe ont été suspendus par l’administration de [‘université. 5. Le RCMP ont conclu que les jeunes hommes ne sont pas un danger pour la société. 6. L’administration leur ont obligé de participer à un processus de ustice réparatrice avec les victimes s’ils voulaient continuer leurs études. . L’administration a dit que Millet est également, sinon plus, responsable que les autres puisqu’il aurait dû montrer le groupe ? l’administration de funiversité au lieu de la femme. 8. a jeune femme victime a demandé que la suspension de Millet soit levée. 9. Les autres membres du groupe se sont excusés aux femmes. 10. Les excuses des hommes ont été acceptées par les personnes en cause et elles sentent maintenant en sécurité en compagnie des membres du groupe Facebook qui ont pris part au processus de justice réparatrice.