Culture G
CULTURE GENERALE l)Le pouvoir en général 1)La notion de pouvoir A) élément constitutifs: direction, force, légitimité On peu observer que le terme pouvoir est un terme polysémique ( qui a plusieurs sens) on a l’impression que le pouvoir est partout, on va cherch mot pouvoir, on va dl distinguer le pouvoir e différencier du p g approche disciplinaire du pouvoir politique, approche soclologlque approche apolitique, la théorie des jeux qui va annualisé la structure logique d’une situation On va dissocier les relation de pouvoir, il a toujours une direction dans une relation de pouvoir, soit les membre d’un groupe son rienter par des ordres Jean-William La Pierre: « le pouvoir c’est ensemble des processus et des rôles sociaux par laquelle sont effectivement prise et exécuté les décision qui engage et oblige tout le groupe » tiré de son ouvrage: le pouvoir politique. analité la réalité a partir de certain trait spécifique. ( ex: le type idéal de l’étique protestante On peut conceptualisé en extension, on doit définir tout les objets d’une catégorie. On peut observé que le concept de pouvoir peut avoir plusieurs sens possible, il peut être un verbe substantivé, dans ce cas qu’est ce que le pouvoir ? Une institution? Un acte ? Le résultat d’un acte ? On peu résoudre ce paradoxe a l’aide de l’étymologie.
On a protéreé (pouvoir) et potencia (puissance) qui signifie une potentialité et une possibilité. Si on analyse ces situation concret de pouvoir on peu les relier et résoudre ce paradoxe, car le détenteur du pouvoir a les ressource d’agir et deviens effective quand il a les moyen d’actualisé ce qui deviens réel. 1. la conceptualisation wébérienne du pouvoir: Premier illustration avec max weber ( 1854-1920) allemand, co- fondateur de la sociologie. Avec ca distinction de 3 concept: e pouvoir : « le pouvoir c’est toute chance (=probabilité) de aire triomphé au sains d’une relation social sa propre volonté, même contre des résistances, peu importe sur quoi repose cette chance. La domination: » chance de trouver des personnes déterminables prête à obéir a un ordre de contenu déterminé cette acceptation d’obéir deviens automatique lorsqu’il existe une discipline qui va conditionné une disposition acquise » L’autorité : c’est la capacité a ce faire obéir par les membre d’un groupe sur la base d’une acceptation de leur part, soit il faut que le chef soit légitime Nous somme tous socialisé, éduqu 2 acceptation de leur part, soit il faut que le chef soit légitime Nous somme tous socialisé, éduquer dans des milieu sociaux diffèrent, d’abord dans la famille, ensuite a l’école, ensuite dans l’entreprise… La domination c’est la manière dont l’autorité est distribuer et instrumentalisé dans une société donné. Les pays fonctionne sur un type de domination rationnel légal, les individu accepte d’obéir par ce qu’il croit dans le caractère rationnelle utile, organisateur de la règles de droit. Aujourd’hui cela nous parait naturel mais c’est une invention historique. 2. a conceptualisation d’Hannah Arendt: Juive allemande, immigrée au E-U, l’une des plus grande hilosophe de son temps. L’autorité selon elle: auctoritas qui est une notion romaine, est définit comme étant une énergie perdurant, qui dure dans le temps de l’acte de fondation de la ville, qui va devenir une tradition peu a peu et cette énergie va s’opposé à la fois au pouvoir et a la domination de l’autre. Pour elle la domination c’est faire obéir la population mais sur la base de la persuasion. La thèse d’Hannah est que on va avoir un déclin historique de l’autorité a cause du progrès technique. Elle penser que nous étions de moins en moins libre dans nos démocratie par ce que nous nous soumettons a des procédure utomatique consentie. appliquer a un homme, Thomas Hobbs » le pouvoir correspond dans les moyen présent d’obtenir quelque bien apparent futur » ( le Leviathan), appliquer a tacott Parsons, sociologue américain, qui définit le pouvoir » le pourvoir est la capacité généralisé d’obtenir que les agent sociaux, s’acquitte de leur obligation lorsque celle-ci sont légitimé et qu’il y a possibilité de recourir a des sanction négative ». on a les définitions relationnel au pouvoir ( a partir de l’observation des est dans une observation, et on est dans le prolongement de la méthode de max Webber soit ‘après robert tahl » le pouvoir c’est une relation interindividuel asymétrique, qui fait que A à la capacité que B face quelque chose qu’il n’aurais pas fait librement. des définitions qui sont institutionnel du pouvoir.
On va se référais au processus d’initialisation, elle va durer dans le temps pour devenir stable et être accédé par tous 2)Les modalité du pouvoir A) l’effectivité du pouvoir On va distinguer la différence de la légitimité (z être accepter) et de la coercition, on peut remarquer que le pouvoir est résistible, on a souvent des formes de résistance au pourvoir, si on prend a théorie des jeux, qui analyse les situation d’interaction, si on étudier les travaux de Raymond Blondeau beaucoup d’interaction sont des jeu à somme non nul ( = un jeu dans laquelle le gain obtenu par A n’entraine pas de perde pour B ) on peut d’emblé voir deux cas diffèrent . imite de pouvoir d’influence ( qui est une version soft du pouvoir, en persuadant quelqu’u 4 diffèrent : en persuadant quelqu’un grâce a des raisons et des subjections ), Les mythes fonctionne sur le mode de ce pouvoir d’influence, le softpower du cinéma d’Hollywood sur le reste du monde Situation de pouvoir : tortionnaire, louis accuseur, a analysé nos ociété a travers les appareil d’Etat il fait une thèse : certaine situation, famille exerce une coercition direct sur les individu. B) type de situations de pouvoir On peut considéré qu’est informé est moins contraignant qu’être activement persuadé ou dissuadé par quelqu’un, on peu considéré qu’être surveiller oriente les comportement mais moins fortement que la punition. Ici on a un type de classement fondé sur le degré subit. Une autre maniéré de classé les pouvoirs, dans effet pervers et ordre social de Raymond Gourdon , il distingue 3 grand type de situation au pouvoir:
La coordination associative : les acteurs sont libre, égoiSte et on a une allocation des ressources qui est considéré comme la finalité collective du groupe selon les logique de contrat Coordination hiérarchique: on a une opposition entre ceux qul commande et le commandé mais toujours selon une logique de contrat et par ailleurs il y a une allocation des réserves. La concurrence: c’est le choc des pouvoirs on a plus de finalité collective, et on a une pure logique conflictuel Exercice 1: construisez un tableau qui permet de classer les huit situations de pouvoir suivantes selon une échelle organisé de la lus faible à la plus forte S situations de pouvoir suivantes selon une échelle organisé de la plus faible à la plus forte coercition: définir des règles; contraindre physiquement; informer; dissuader; punir; surveiller ; récompenser; persuader.
Coercition = contrains par la force – informer, persuader = dissuader, définir des règles, surveiller, récompensé = punir, contrainte physique ly en une seule qui fait partit de la neutralité axiologique par rapport au système de valeurs selon max webber C) Légitimité du pouvoir On fait référence a un classement de la typologie de la domination de max webber. Il considère que dans toute société humaine on a une structure de domination, une tendance à faire en sorte que les individu obéisse orienter de 3 manières possible : La domination traditionnel : Cest une situation d’obéissance qui correspond a un système de valeur particulier qui est basé sur la croyance dans le caractère sacré de la tradition. Ex: Damien, a tenter d’assassiné louis 14 ? l’encontre de la tradition. Domination charismatique: Basé sur le rayonnement personnel du chef, ex: Clovis, Hitler, napoléon…. On croit dans les qualités exceptionnel du chef Domination rationnel-légal: