Cours de lettres : petite histoire de la subjectivité
La notion de subjectivité est davantage liée au christianisme dans a pensée occidentale car il donne à l’homme la possibilité, et même l’exigence de faire le bien ou le mal, donc de se déterminer soi-même. L’homme doit déterminer les fins de l’activité humaine et non pas uniquement le déterminisme de la nature. A partir des auteurs chrétiens entre en scène la notion de subjectivité avec les Confessions de Saint augustes= sujet qui cherche en lui la voie de Dieu.
Autre étape : Saint thèmes croit au pouvoir de la raison en reconnaissant que Dieu est inintelligible. Donc le christianisme a préparé la Renaissance . Malgré tout, la Renaissance marque une étape décisive, le moi commençant alors à apparaître comme complexe et contradictoire, marqué par le libre arbitre, la question du lien entre l’âme et le corps. On voit un certain nombre de signes qui montrent qu’on a affaire une affirmation du sujet. *I.
Le sujet à la recherche de son essence : genèse et de la subjectivité premier boy reluiraient 1 harpe 19, 2009 17 pages philosophie à l’usage des jeunes générations= à lire fondements du moi (Emme*-18*me* siècle) : Dévotion swaps toi vie nixe page moderne= rapport individuel à Dieu et à la parole. Peu peu, une foi personnelle et individuelle prend le pas sur la religion collective. Dans l’art, les peintres commencent signer leur ?ouvre , chose très rare au Moyen âge. A partir e la Renaissance, une éclosion de grands noms apparaît que l’histoire a retenu.
On voit apparaître la notion d’artiste puisque avant on parlait d’artisan. Et signe de l’individu et de la personne : ces artistes figurent parfois dans leur propre tableau : le genre du portrait et de l’autoportrait deviennent indispensables à la Renaissance- signe de promotion ou d’autoportraits. 1 . L’approche historique : l’humanisme ou la naissance du sujet ? Avec l’humanisme, l’homme est placé au centre, valorisé et mesure de toute chose et cet humanisme va aussi développer un rapport nouveau et personnel à la culture , étonnamment grâce à l’invention de l’imprimerie.
Aujourd’hui encore , préoccupation de l’éducation : faire des sujets critiques, chaque élève doit être éduqué. A. Un sujet critique : montagne dit « que sais-je ? » confrontation de sources antiques et modernes qui prend la source d’une exorcisation du sujet en première personne qui va examiner ,évaluer les doctrines et les pensées sur le sujet qu’il se donne. Il ne s’interdit aucun cheminement intellectuel.
Digression = signe de progression chez montagne, mais aussi signe d’une pensée libre. Dès lors qu’on fonde le savoir non plus sur des autorités prieures, mais sur le sujet à proprement dit ça lui donne à la foi savoir non plus sur des autorités supérieures, mais sur le sujet à proprement dit ça lui donne à la fois une grande responsabilité et ça donne en même temps de l’importance à ces savoirs et à la classification de ces savoirs.
Nouveau système de classification des savoirs : la mise en lumière de différentes sources à commencer par aristocrate invite à une remise en question, à réexaminer par soi- même le savoir, ce qui a des conséquences majeures : on s’aperçoit d’erreurs , il faut donc refondre ces savoirs : pour entre en contradiction avec aristocrate, on se sert de la philosophie de planton .
Deuxième aspect : l’élargissement des horizons lié aux découvertes, le fait d’avoir un rapport plus direct aux ouvrages fait que de plus en plus pour parler d’une chose, il faut soit être témoin direct, soit avoir un véritable rapport direct et non pas de deuxième main, tandis qu’avant il fallait se contenter du commentaire d’une personne. Troisième aspect : développement d’applications pratiques aux connaissances théoriques, ce qui va conduire à un bouleversement des sciences et à l’apparition de nouvelles disciplines.
Au MA, on oppose le savoir théorique, seul sous le nom de science, au savoir pratique du côté de l’ars, dévalué par rapport à la science que l’on enseigne à l’université et non pas l’art. L’un des aspects majeurs de la Renaissance= revalorisation des savoirs pratiques par rapport aux savoirs théoriques. En effet, l’Antiquité avait tendance à mépriser, à mépriser, dévaluer les savoirs pratiques. Cf.. Dévaluer les savoirs pratiques. Cf.. Jean leur. Revalorisation de l’expérience entraîne revalorisation des savoirs pratiques avec exemple du voyageur dans la tempête, où le avoir théorique n’est d’aucune utilité, mais il ne s’agit pas pour autant de remettre en cause le savoir théorique. Mais dans la situation d’urgence, les savoirs pratiques sont plus utiles. La remise en cause de ce rapport ancien au savoir prend un autre aspect qui apparaît intéressant : très souvent dans le pensée médiévale certains savoir étaient comme réservés à une élite= certains savoirs ne peuvent être vu grises en étant divulgués.
Encore à la Renaissance des auteurs partagent ce point de vue : c’est le cas de Jean câlin qui d’ailleurs dit qu’il ne faut pas être trop curieux. Au contraire, les humanistes sont curieux de tout et ont un appétit de savoir très large. On fonde les savoirs sur l’observation dans les science sui remplacent le savoir livresque. Ainsi pelée . Certaines disciplines apparaissent : géographie, cartographie, art de la navigation, + toute une série de sciences fondées sur observation= l’anatomie, la botanique qui commencent alors à émerger.
On met en cause les arts libéraux au nombre de 7 formé par le quatrième et le éternelle = 4 domaines dans les sciences= = la grammaire, la rhétorique et la dialectique + et en lettres traduirai= dans le domaine des sciences- l’arithmétique, la géométrie, la musique et l’astronomie qui fondent les 7 arts libéraux. Droit sciences= l’arithmétique, la géométrie, la musique et l’astronomie qui fondent les 7 arts libéraux. Droit religieux et droit civil se développent également.
Des encyclopédies remplacent les sommes médiévales et font entrer des disciplines nouvelles dans leurs rubriques , elles vont grossir en volume également, on pense pouvoir faire le tour des connaissances comme l’indique l’étymologie du mot encyclopédie. Pour faciliter e rapport individuel et érotique, se développent des répertoires, des tables des matières, des index. Lorsque le savoir est fondé sur l’esprit critique, c’est la nature même du savoir qui se transforme mais aussi sa transmission.
Les humanistes critiquent par toutes les armes du discours les faux savoirs, ceux qui sont fondés sur des autorités qui véhiculent des représentations idiotes et fausses. C’est ce que montre rebellais, notamment dans garant. rebellais se moque de l’art de la divination : selon lui cet art ne mérite pas le nom de science = donc permet de savoir quels sont les savoir ondes et les savoirs non-fondés, entre ceux qui peuvent être qualifiés de science et ceux qui ne le peuvent pas.
rebellais prend le modèle des astronautes de son époque pour montrer que ce sont des savoirs inutiles ou bien une série de banalités permettant d’avoir raison puisque personne ne peut prétendre le contraire : on a une odyssée géographique, mais aussi à l’intérieur des savoirs : on met en cause chacune des sciences, rebellais est partie l’université de Strasbourg, grand humanisme qui chacune des sciences, rebellais est partie à l’université de Strasbourg, grand humanisme qui veut distinguer ce qui rite le nom de science et ce qui ne le mérite pas (= les fausses croyances car dues aux superstitions de son temps).
Quand apanage cherche à savoir si il doit se marier ou pas, il va voir les voyants qui vont lui dire es choses toutes fondées mais toutes contradictoires également. C’est pack seul le sujet peut répondre à ce genre de questions. Autres aspects de la question : l’évolution de la lecture. En effet, à la fin de la renaissance, mutation dans la manière de lire les textes. Au MA lecture était essentiellement collective et donc à voix haute, faire par des personnes responsables de la lecture pour nobles ou résonner ne savant pas lire.
Depuis l’antiquité cette lecture aussi tandis que pour nous la lecture est silencieuse , personnelle, représentée par certains tableaux. Le rapport au livre va changer de manière profonde. Le rapport en elle se développe. La modernité est aussi liée à l’invention de l’intimité (il faut attendre le Emme siècle). Au MA, même les rois n’avaient pas d’intimité, leur lever était publique. On assiste donc progressivement à une privatisation de la lecture, qui devient aussi une lecture de plaisir à partir du moment où on lit seul.
La lecture n’est donc plus liée élément à la science et à l’apprentissage. On voit que l’humanisme développe rapport personnel à la lecture , mais ce n’est plus sans borne. En effet, ce n’est plus seulement l’ancienneté d lecture , mais ce n’est plus sans borne. En effet, ce n’est plus seulement l’ancienneté d’un texte qui fait son autorité puisque comparaison et dialogue entre les sources. Une nouvelle hiérarchie et des savoirs se met donc en place .
Chaque sujet devient responsable de sa propre culture et de ses propres savoirs, connaissances : on ne naît pas homme, on le devient. Cet optimisme essentiel se fonde ‘ailleurs sur des exigence set non seulement sur des certitudes. Établissement de l’apprentissage des langues, au point qu’on va fonder en dehors des universités des structures pour apprendre ces langues : académie en italien, ou collège de France en France= on dispense un enseignement pour ces langues et certains des grands humanistes seront en rapport avec les plus grands linguistes cf..
panneauter de rebellais. La vision de panneauter est un peu en avance sur son temps en réalité. AI faut une connaissance directe des textes + cosmographie. Par l’observation directe, il faut que ‘étude soit portée à scruter véritablement le corps humain= un des aspects nouveaux de la modernité également. Donc le corps devient aussi un objet de la science= le corps est objective : c’est très objectif cf.. Ai notion d’anatomie au Emme siècle de remembrant= « tonnant puisqu’ commence à admettre que l’on puisse faire une dissection.
Le savant humaniste est prêt défendre par les armes ses connaissance et ses savoirs= il ne reste pas isolé du monde= il faut développer e corps, pas seulement l’esprit= un des savoirs fondamental isolé du monde il faut développer le corps, pas seulement ‘esprit= un des savoirs fondamentaux de l’humanisme= nous ne sommes pas que des esprits , nous ne sommes pas que des corps, c’est donc tout qu’il faut développer et pas uniquement l’esprit.
Programme humaniste complet se termine par réaffirmation chrétienne car tout ce savoir doit avoir un sens : il ne s’agit pas d’un apprentissage d’érudit : tout le savoir doit servir une sagesse, il ne faut pas pour autant oublier les principes chrétiens et les fins de ce savoir doivent être bonnes. = sorte d’idéal + absolu car le savoir exigé par le père doit être total, encyclopédique . L’enfant ‘est plus considéré comme une âme en perdition, mais comme un individu plein de promesses.
AI faut partir du sujet, de ses dispositions naturelles pour organiser l’apprentissage des savoirs, débat qui trouve ses échos au sein même du monde de l’éducation jusqu’ 21 missiles : faut-il mettre l’élève au centre du système scolaire ? Doit- on établir un socle commun des connaissances ou faut-il partir de la personnalité, de l’individualité de l’élève pour établir un programme personnalisé à chacun ? Paul avaler : « ami qui que tu sois n’apprends pas sans désir » . Chaque lève doit être acteur de son propre savoir dans l’idéal.
Donc on a affaire à une vision optimiste ici, curiosité absolue pour tus les domaines de la science, mais qui ne se limite pas aux arts libéraux, à une époque où tous les humanistes peuvent communiquer entre eux. L’humanisme est un mouvement sensé époque où tous les humanistes peuvent communiquer entre eux. L’humanisme est un mouvement essentiellement européen. Rasée de redoutera est un des plus grands humanistes, et un grand voyageur pouvant entrer dans n’importe quel cercle de savants puisqu’ parlent tous la même langue : tain.
Par exemple les éditions métaphysiques de dessertes sont écrites en latin . Jusqu’ Emme siècle, le latin est omniprésent. Le latin permet une extension géographique, mais aussi temporelle puisque on peut aussi communiquer avec les gens du passe comme si nous formions une seule et unique famille depuis l’Antiquité. Le latin est un lien avec les hommes du présent, mais aussi avec les hommes du passé. montagne discute en permanence avec les pensées des Romains, il nous dit aussi qu’il parlait latin avant même de parler français. On assiste dans tous les domaines à une éclosion de personnalité.