Coup d’etat Napoleon
Révision de la Constitution. Le 18 Brumaire, sous terroristes» (royaliste des Anciens sont con incu. _ Saint-Cloud, à l’extéri capitale à Bonaparte. Coup d’etat Napoleon By luce_simon RHBapR 21, 2015 2 pages Dix ans après la prise de la Bastille, la Révolution s’essoufle. Le gouvernement du Directoire est désemparé par les difficultés économiques et militaires, et menacé par un retour prématuré des royalistes.
Le Directeur Sieyès dit à qui veut l’entendre qu’il«cherche un sabre» capable de sauver ce qui reste de la Révolution… et en particulier les fortunes des profiteurs. Le retour d’Égypte du général Napoléon Bonaparte lui offre l’occasion qu’il cherchait. Sieyès voit en ce jeune général couvert de gloire le dictateur de salut public dont la République française a besoin pour de Louis XVIII et de l’Ancien Régime.
Il concocte avec lui un coup d’État parlementaire qui passerait par une page to page ot des des Cinq-cents et er au château de r la garde de la Complices du complot, trois des cinq Directeurs, Sieyès, Barras et Ducos, démissionnent. Les deux autres, Gohier et Moulin, suspects de sympathies jacobines(Sous la Révolution, mem re du club des Jacobins ,révolutonaires), sont destitués et arrêtés. Le lendemain, la troupe boucle le château de Saint-Cloud.
Mais les élus des Cinq-Cents réunis dans la salle de l’Orangerie refusent de modifier la Constitution comme on le leur demande. Bonaparte Bonaparte, qui a déjà prononcé une médiocre harangue devant les Anciens, fait de même devant les Cinq-Cents. Sa déplorable prestation est accueillie par des huées et les cris : «À bas le dictateur Violemment pris à partie par les députés et même menacé d’arrestation, il a un moment de faiblesse. Il est sauvé par des renadiers qui l’amènent hors de la salle.
Son frère Lucien qui préside fort opportunément l’assemblée sort à son tour et fait valoir à la troupe que son frère et les élus sont menacés d’assassinat. Le général Murat qui commande les grenadiers leur demande de faire évacuer la salle. Les députés tout de rouge vêtus sautent à qui mieux mieux par les fenêtres et se dispersent dans le brouillard ! La nuit venue, sur les deux heures du matin, le Conseil des Anciens et quelques élus des Cinq-Cents que l’on a rassemblés manu militari votent enfin une révision de la Constitution.
Ils nomment un gouvernement provisoire en la personne de trois Consuls, Napoléon Bonaparte, Emmanuel Joseph Sieyès et Roger Ducos. L’affaire est liquidée et chacun rentre à Paris. La constitution de l’an VIII établit alors un régime politique autoritaire dirigé par trois consuls et en réalité par le seul Premier Consul Napoléon Bonaparte, qui deviendra consul vie en 1802. ce consulat a duré jusqu’au 18 mai 1804 (28 floréal an XII), date de la fin de la Première République française et de la proclamation du Premier Empire.