Composition Histoire Les Croisades
Depuis des millénaires, la Terre Sainte du Moyen-Orient se partage entre les trois grandes religions. Cette région du monde est en perpétuel combat depuis que le pape Urbain Il à lancer un appel à tous les chrétiens pour aller reconquérir Jérusalem, c’est alors la première croisade. A partir juillet 1097, les Turcs, dirigés par Kilij Arslan combattent contre les chrétiens dirigés par Godefroy de Bouillon, Baudoin comte de Boulogne et Bohémond de Tarente pour la possession de la ville sainte. Quel a été le parcours jusqu’à Jérusalem ?
Comment s’est passée cette roisade ? Dans une première partie seront racontées les grandes batailles d’Edesse et celle de Maar-At-Nou n or7 Sni* to View D’abord, la premiè par les croisés. Ces d e seconde partie de Dorilée, gagnée ouvelle attaque des Turcs, décidèrent de passer par les montagnes de l’Anti-Taurus, ce fut un trajet très difficile, les croisés et les chevaux tombaient dans les ravins. Ils mettront trois semaines à traverser ces montagnes. Ils se dirigèrent ensuite vers le désert de Abyssinie où ils ne trouvèrent ni eau, ni nourriture.
Plus de 500 croisés y périrent. L’épouse de Baudoin, l’un des chefs des croisés en fit partie. Baudoin perdit toute ses richesses, explique le Dr Jonathan Phillips, il change alors d’Etat d’esprit et décide de continuer seul avec une centaine de croisées, acquérir des richesses pour lui- même. Il lui fallait pour c Swipe to vlew next page cela s’attaquer à une ville, Edesse, une ville fertile, proche de l’Euphrate et sur un axe commercial et toujours chrétien. Baudoin fit un pacte avec Thoras, le souverain arménien qui contrôlait la ville.
Le chef croisé serait alors son successeur en échange d’une rotection contre les Turcs. Baudoin fit assassiner Thoros et prit la ville en main. Il donne ainsi une très mauvaise image de la chrétienté des croisés. Pendant ce temps, l’armée des croisés a atteint la ville d’Antioche, ville de l’apôtre Saint-Pierre, chrétienne et prospère avant que les Turcs ne la reprennent en 1085. C’est une ville très bien protégée et a pour les croisés un aspect religieux important, c’est la deuxième prise la plus importante après Jérusalem.
L’historien Ali Ibn-al-Atir raconte l’histoire de cette bataille décrit dans ses écrits e gouverneur d’Antioche, Yagissian, comme un homme sage et intelligent qui laissait à ses habitants leur liberté de culte. En entendant que les croisés arrivaient, il établit un stratagème et envoie les chrétien creuser une fosse et referme les partes de la ville de peur que ces derniers n’ouvrent la porte au croisés. La ville est ainsi protégée. Les croisés et les chrétiens campent en dehors des murailles d’Antioche et Yagissian envoie des gardes bruler leur tante durant la nuit, et coupe leur alimentation pour les affaiblir.
Les Francs restèrent 8 mois et devaient boire le sang de leurs propres chevaux pour rester en vie. Ily a eu ainsi la moi PAG » rif 7 mois et devaient boire le sang de leurs propres chevaux pour rester en vie. Ily a eu ainsi la moitié des croisés morts de famine, d’épidémie etc… Yagissian, grâce au système postier avec des pigeons, inventé par les Turcs Seldjoukides, réussit à envoyer une demande de renfort pour la ville aux Turcs. Bohémond de Tarente, grâce à un traitre, Firouze, réussit à prendre d’assaut la ville par les tours qu’il gardait.
Ce fut un massacre, les croisés assassinèrent tous les habitants d’Antioche, hommes, femmes, enfants et vieillards. Toutes les rues étaient jonchées de cadavres. Cependant, l’armée turque prévenue par Yagissian arrive enfin et prend la place des croisés, hors de la ville. Un des croisés appartenant au bas-clergé français, Pierre Barthélémy affirme que l’apôtre Saint-André lui est apparu en rêve et lui aurait dit que la sainte lance dont laquelle Jésus-Christ aurait péri se trouvait dans l’église saint Pierre d’Antioche. pour les croisés, c’est un signe de
Dieu, une chose en laquelle on peut croire et qui leur redonne espérance. Les chrétiens retrouvent le moral et ont à nouveau envie de se battre. Ils sortent affronter les turcs avec leurs 200 cavaliers. Une personne ayant participé à cette bataille raconte que des centaines de cavaliers de dieu, sur des chevaux blancs leur ont permis la victoire contre les Turcs, qui se sont enfuis. Eprit de pouvoir, Bohémond rompt ses liens avec l’empereur byzantin Alexis 1 er Commène, chef de [‘église d’orient, Antioche ne lui reviendra donc pas. Bohémond se fait couronner prince d’Antioche. PAGF3C,F7