Composition

essay A+

D’ailleurs, les intellectuels, les professions libérales, les employés exigeaient la libéralisation du régime. 2/ Point de vue politique « L’empire des tsars » a à sa tête encollais Il depuis 1894. Celui- ci voulait « maintenir le principe de l’autocratie de façon aussi énergique et immuable » que son inoubliable père lézardée AI. Bastion de l’absolutisme dans une européen évoluant vers la démocratie, la réussie est régie par un système politique dans lequel le souverain gouverne seul : encollais Il dit ne tenir son pouvoir que de Dieu.

Il a comme appuis l’église orthodoxe, dont il est le fée, l’armée, une bureaucratie centralisée pub lu premier boy algériennes amputa 22, 2011 8 pages encollais AI dit ne tenir son pouvoir que de et hiérarchisée, et une police politique très présente. A ses côtés, respiration le conseille et influence de manière importante ses décisions. 3/ Un pays en plein développement économique réussie connaît un vigoureux développement au début du axe siècle, elle lance un appel aux capitaux étrangers auquel répondent plus particulièrement les Français.

Ainsi la construction des chemins de fers se fait-elle, comme le transsaharien. La réussie est avant 1914 le premier Page 2 4/ Un situation sociale tendue Après la défaite humiliante face au jupon et la perte de la manichéenne, en 1905, la contestation augmente, les grèves se multiplient, et une Révolution éclate en 1905. Elle est vivement réprimée le 22 janvier, dit « Dimanche Rouge ». Les mutineries du patrimoine d’août suivirent ce jour sanglant. Les Soviets exhortaient les ouvriers à lutter afin d’obtenir la fin du athéisme.

Aussi le Tsar publie-t-il en octobre 1905 un Manifeste, promettant d’établir une Assemblée législative élue au suffrage universel, la doums. Les inégalités de la réussie ont été très visibles lors de l’instauration du système de vote : 1 voix de propriétaire foncier équivaut à 7 voix citadines, 30 voix paysannes ou 60 voix ouvrières ! Le ministre sténotypie a beau mu déplier les réformes, la réussie semble bien en 1914 un « colosse aux pieds d’argile ». B/ Les forces politiques à la veille de la guerre Le courant libéral est composé de la bourgeoisie qui soutient le KIT.

Il vise à la création d’un Parlement sans forcément supprimer la monarchie, et agit socialistes et révolutionnaires s’ opposent : les SUR, oculistes révolutionnaires, sont pour le partage des terres, mais agissent par le terrorisme. Parmi eux, kérosène. Les SUD, socialistes démocrates, sont quant à eux divisés en deux groupes : les emmanchées, majoritaires, prêts à s’allier à la bourgeoisie pour obtenir des mesures, et les bloc-évier, beaucoup plus radicaux, qui refusent toute alliance et ont pour objectif d’instaurer la dictature du prolétariat.

emmanchées et bloc-évier sont donc d’ardents défenseurs des ouvriers. C/ La guerre : accélérateur de l’histoire Après un certain nombre de défaites dans des conditions ères difficiles, mutineries et désertions se multiplient. Il n’est pas rare que des soldats fraternisent avec l’ennemi. La guerre a des conséquences gravent : à la campagne on manque de main d’?ouvre et la disette sévit, en ville les usines travaillent pour l’armée, et les mécontentements grandissent. Devant le refus du Tsar de s’occuper de ces problèmes, les oppositions développent leur propagande.

En décembre 1916 respiration est assassiné, mais l’empire n’est pas pour autant sauvé : la Révolution se déclenche. Il/ Les Révolutions de 191 7 A/ La première Révolution : février 1917 Le 23 février à pétrolier une manifestation de mécontentement a lieu : elle entraîne des grèves dans les usines les jours suivants. Le mouvement est spontané, il n’ été lancé par aucun syndicat, aucun parti. Elle se transforme en insurrection, le 25 février, quand les bloc-évier lancent la grève générale. Le 26 une manifestation est réprimée : 40 personnes sont blessées par les tirs de l’armée.

La nuit du 26 au 27 les soldats se mutinent et rejoignent es grévistes et les manifestants. Une fois cette fraternisation accomplie, le Palais d’hiver est ris d’assaut : le er mars les députés Page 3 de la doums élisent un gouvernement provisoire. Le Tsar abdique le 2 mars, il est arrêté avec sa famille : la monarchie est morte. B/ Les hésitations du gouvernement provisoire (mars octobre 1917) 1/ Au lendemain de la Révolution, les premières mesures Le premier sentiment est une explosion de joie : les ouvriers aspirent à de meilleures conditions de travail, les paysans espèrent un partage des terres et les soldats la paix.

Mais deux pouvoirs cohabitent : le gouvernement provisoire et le Soviet de pétrolier dans lequel emmanchées t SUR sont majoritaires. Le choix est fait d’accorder plus de libertés (presse, opinion, pensée,… ). Les bloc-évier, qui avaient dû fuir avant les événements cause de la répression, sont autorisés revenir en réussie. Ainsi léonine revient-il en train en passant par l’allemande qui e laisse fasse cesser la guerre poursuivre sa route d PAGE 4 FO 8 une fois de retour ch. trottes rentre en réussie. Énoncée et la guerre continue : le problème est qu’il existe de grandes divergences de points de vue entre les partis du soviet, bien que la situation soit auto-stoppeur et urgente. 2/ La montée des bloc-évier et la dégradation de la situation léonine, rentré en avril, propose ses « thèses d’avril » : la fin de la guerre, la terre aux soviets de paysans, les usines aux ouvriers, en sont les grandes lignes. AI refuse son soutien au gouvernement provisoire. Sous son influence, le parti social démocrate se transforme en Parti communiste.

L’économie est totalement désorganisée, le mécontentement vis-à-vis du gouvernement provisoire qui traîne à réagir s’accroît, des manifestations sont d’ailleurs réprimées fin juillet 1917, i bien qua lieu fin août une tentative de putsch contre lui : léonine veut passer à l’insurrection. C/ La Révolution d’Octobre Contrairement à celle de février, elle a été préparée : trottes en est l’instigateur, de son poste de président du soviet de pétrolier.

Le 25 octobre, jour anniversaire du congrès des soviets, l’insurrection débute. trottes peut pour cela compter sur l’Armée Rouge, les marins de croyants, la garnison de pétrolier. Ces différentes forces occupent les bâtiments importants de pétrolier, dont le Palais d’hiver que l’aurore, un navire de guerre, bombarde. Les membres du gouvernement provisoire sont obligés de fuir, les bloc-évier sont approuvés par le Congrès des Soviets.

il/ Le nouveau régime en péril A/ Installation et début I/ Le premier gouvernement et les premières mesures Page 4 léonine devient président du Conseil des Commissaires du peuple, trottes occupe le poste de commissaire au peuple aux affaires étrangères, et stalinien apparaît à celui de commissaire au peuple aux nationalités. Les premières mesures prises sont celles énoncées par les décrets d’Octobre : la paix blanche est a réponse apportée à la guerre, les terres des rapportes sont confisquées et données aux soviets de paysans, à l’exception des petits paysans.

L’autodétermination des peuples est prononcée : il leur appartient de décider de leur éventuelle indépendance. Les ouvriers se voient confier de nouvelles responsabilités, comme celle de surveiller le matériel. La séparation de ‘église et l’état est décrétée. 2/ établir la paix, une nécessité Le traité de Brest-litotes concrétise ce souhait le 3 mars 1918. Cette paix laisse indifférents les paysans qui avaient déserté en masse pour participer au partage des terres, mais elle indigne les ouvriers de pétrolier : le remous est tel que léonine craint une contre-révolution. / La Constitution léonine l’annonce en janvier 1918 : il crée ainsi la République fédérerait des Soviets de citadelle assiégée ? La menace vient en fait des armées blanches, favorables une restauration, et les armées des ex-alliés luttant contre le « péril communiste ». Certains territoires font sécession et le pays risque d’être démantelé. La famine, le typhus, le choléra aggrave une situation dramatique provoquée par la crise économique grave. 2/ Le communisme de guerre

La terreur politique règne, une police destinée à poursuivre les opposants est même créée : la tachée, en décembre 1917. La liberté de presse est supprimée, des camps de travail s’organisent et les adversaires politiques sont emprisonnés. Dans ce contexte, la famille royale est exécutée. L’état prend en main l’économie : les récoltes sont réquisitionnées, le travail bénévole est rendu obligatoire, les moyens de production sont nationalisés ainsi que les entreprises de plus de 5 salariés. La monnaie est supprimée et remplacée par un système de troc.

Des mesures sont également prises pour le ravitaillement selon un principe fort simple : ‘Qui ne travaille pas ne mange pas ». Mais les réquisitions sont violentes : les paysans sont forcés de cacher les récoltes ou de détruire leurs cultures pour y échapper. 3/ Les résultats du communisme de guerre Le régime l’emporte dans la peur, grâce à la création de l’Armée Rouge et de la tachée, en 1920, par trottes. Trois millions de soldats en font alors partie. Le soutien des paysans n’est pas non plus négligeable : pour eux le retour des généraux blancs serait pire que ce désordre.