Commentaire Mors De Hugo
Victor Hugo est un poète, dramaturge et écrivain français du 190siècIe. Hugo est un poète lyrique, mais également épique et engagé. Hugo publie Les Contemplations en 1856. Composé de 158 poèmes divisés en six livres, Les Contemp ations est un recueil du souvenir, de l’amour, mais également de la mort et du deuil. Hugo lui même décrit son œuvre comme étant « les mémoires d’une âme Le poème Mors est extrait du livre IV de Les Contemplations, Pauca Meae.
C’est le livre de la mort et du deuil dans lequel le poète tente d’établir une connexion avec sa fille décédée. Dans Mors, Hugo donne une représentation de la ort et de des conséquences de son passage. On se demandera comment la représentation de la mort faites par le poète montre le rapport de d’abord l’image de la comment les Homm Nous allons voir co or fi Sni* to vie » Nous étudierons us verrons ensuite orti a mort dans ce poème. Tout d’abord, on peut voir que l’auteur se concentre sur l’aspect de la mort, son image.
Il utilise pour cela l’allégorie de la faucheuse. En effet, on peut voir que dans la première hémistiche du premier vers, le poète utilise bien le terme « faucheuse pou décrire la mort. On retrouve également un champs lexical de la aux et de la moisson : « champs » vers 1, « moissonnant » et « fauchan page « fauchant » vers 2, et « faulx » vers 5 et 16. Ce champ lexical renforce l’image concrète de la mort sous une forme physique. De plus, on a le terme « noir squelette » vers 3, qui est une représentation classique de la mort.
En effet, la mort est très souvent représentée par un squelette habillé de noir et tenant une faux. Cet ensemble de terme sombre correspond à l’idée que l’on peut se faire de la mort, ce qui en renforce l’image que reçoit le lecteur. Ensuite, nous pouvons constater que l’auteur décrit la mort omme toute puissante, conquérante et destructrice. Ainsi, avec l’expression « elle changeait en désert Babylone » vers 7, on voit que Babylone, cap’tale d’un empire et symbole de pouvoir est reduite en poussière par la mort.
On voit également la pulssance de la mort avec l’hémistiche « les roses en fumiers » vers 9. En effet, la mort transforme les roses qui représentent la grâce et la beauté éphémère par du fumier qui en est l’opposé. De la même manière, l’expression « l’or en cendre » met en évidence le fait que la mort n’a pas de limite. L’or, métal pur qui ne rouille as, symbole de richesse et de puissance, changé en cendre par la simple volonté de la mort. De plus, les termes « cendres » et « fumier » sont ce qui reste quand toute forme de vie a disparue, quand tout est mort.
L’auteur montre également la toute puissance de la mort avec le chiasme « le trône en échafaud et l’échafaud en trône » vers 8. Avec ce chiasme, chiasme « le trône en échafaud et réchafaud en trône » vers 8. Avec ce chiasme, l’auteur renforce l’inversion des rôles et accentue le fait que la mort change les lois. La mort est souveraine et les souverains meurent. On voit donc a qu’elle oint la mort est puissante et destructrice. C’est au vers 18 que fon assiste vraiment a l’expression de la mort toute puissante : « Tout étais sous ses pieds : deuil, épouvante et nuit ».
Le pythme ternaire accentue vraiment la supériorité de la mort qui est à son apogée dans ce poème. Enfin, on peut voir que Hugo utilise la notion de memento mori, qui signifie « souviens toi que tu vas mourir et qui fait comprendre aux hommes que la mort n’épargne personne. Ainsi, Hugo veut montrer que même les meilleurs hommes ne peuvent échapper à la mort. On le voit notamment avec l’expression « Et es triomphateurs, sous les arcs triomphaux tombaient » vers 6 et 7.
Le mot « tombaient Y, qui est accentué par son rejet, est un euphémisme du mot « mourir Cette expression, signifie que même les conquérants et les généraux triomphants finissent par mourir et que ce qu’ils ont accompli est vain fasse à l’inéluctabilité de la mort. De plus, l’auteur met en évidence le fait que personne n’échappe à la mort avec l’expression « les enfants en oiseaux », qui est un euphémisme de la mort des enfants. La mort emporte ainsi les plus forts, mais également les plus faibles et les plus innocents. Hugo montre ainsi que la mort