Commentaire Litt Raire
Commentaire littéraire Le théâtre classique est l’un des genres littéraires le plus prisé de l’époque, il a été valorisé par de nombreux auteurs connus ? l’image de Racine, de Corneille ou encore Molière. Tartuffe est l’une des plus célèbres pièces de Molière. Créée en 1 669 au Palais-Royal de Paris, cette pièce en cinq actes et en vers dresse le portrait d’un faux dévot, Tartuffe, qui, en tant que directeur de conscience, s’introduit dans la maison d’Orgon et tente de séduire la femme de son maitre, Elmire.
Le scandale éclatera, et de ce fait e roi ne pourra protéger Molière face aux attaques du parti jésuite, fréquemmen du XVII’s. Ce que qui obllgera Molière à ce Dans cet extrait, nou au début de la pièce Sni* to View cette seconde partie abale des dévots cène 5, c’est-à-dire e nous présente deux personnages Orgon et Cl ante lorsque cette dernière va être à l’origine d’une tirade. Nous verrons donc en quoi cette tirade fait l’objet d’un réquisitoire de faux dévots ?
Nous étudierons dans un premier temps les différentes oppositions dans cette tirade, puis dans un second temps nous nalyserons les moyens de persuasion de Cléante. Tout d’abord, dans cette tirade qui débute au vers 351 , l’on peut constater l’opposition évidente du point de vue des Swipe to nex: page deux personnes, « je ne suis point » ( v. 351), dès le début Cléante est en désaccord avec son frère avec cette négation. Cléante utilise également le procédé comique à savoir l’ironie afin de se moquer de son frère dont il n’apprécie pas la leçon, dans les vers 351 et 352.
De plus, on comprend les deux points de vue qui diffèrent entre les deux, Cléante lui a confiance en a science « pour tout ma sience » ( v. 353), elle lui permet « de faire la différence du faux avec le vrai » (v. 354). De ce fait, il dénigre la religion et la croyance d’Orgon « par une âme à l’intérêt soumise » ( v. 365), « par le chemin du ciel » (v. 37Û). On constate également une opposition entre vrais et faux dévots dans ce passage, (v. 356) « les parfaits dévots D, ainsi que l’hyperbole (v. 357) «Aucune chose au monde et plus noble et plus belle » contredits par l’oxymore « que ces francs charlatans » (v. 61 désignant les faux dévots considérés comme imposteurs. Cléante insiste même sur les faux dévots aux vers 375-376. Tartuffe en lui-même est donc un faux dévot. Cléante fait l’éloge du dévot « genre de héros » (v. 355) tandis qu’il blâme le faux dévot aux vers 361 à 369 « trompeuse grimace » (v. 362), « abuse impunément » (v. 363). Il considère même ces derniers comme des assassins avec de nombreux mots négatifs comme « odieux » (v. 359), « plâtré » (v. 360). L’expression « prêchent la retraite au milieu de la cour » met également en valeur cette opposition stylistique entre le f PAG » OF d