Commentaire composé On ne badine pas avec l’amour, Alfred de Musset

essay B

On ne badine pas avec L’Amour, Alfred de Musset Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique. Il a vécu au XIX ème siècle. Il réalisa de nombreuses oeuvres théatrales telles que : Lorrenzaccia en 1833, après sa liaison houleuse avec Georges Sand et écrivit dans la même année Fantasio et On ne badine pas avec l’amour. Cette dernière fut oubliée en 1834 dans la revue Les Deux Mondes. On y ressent l’impact de sa rupture sentimentale car cette pièce est un drame romantique.

Le titre est un proverbe littéraire. Elle parut ensuite dans l’ouvrage Un spectacle dans un fauteuil. A cause de l’échec de la représentation de La nuit Vénitienne, elle fut écrite pour être lu l’arrangement d’un Perdican et Camille. de l’innocente Rosett Le passage étudié, l’ Sni* to raconte Jeunes gens, ur et des sentiments ort de la jeune fille. cène de dénouement assez informative. Il met en scène Ansl, comment ce dénouement est-il caractériqtlque d’un drame romantique ?

D’une part, Musset a mélangé les registres littéraires, d’une autre art, cette scène justifie et clarifie le Swipe to Wew nexr_ page le titre de la pièce. I-mélange des registres, deux ambiances qui s’opposent. 1) On croit à un dénouement de comédie/lyrisme. Les deux personnages devraient se marier. Lyrisme :-Savouent leur amour, enlacés »l’embrasse ».. -longue tirade de p, Amour pour C -Lyrisme exagéré lorsq P parle de l’amour, « perle si rare » Amour intense des personnages qui laissent place à un cri.

Témoin caché, quiproquo amusant, mais les personnages ont joué trop longtemps, la scène bascule dans le registre ragique,drame. La comédie est à l’origine de la tragédie. Cri, élément perturbateur coincidant avec le baiser des jeunes gens. « Il l’embrasse, on entend un grand cri derrière l’autel » 2) le rythme de la scène bascule dans le registre tragique. Musset utilise les règles de la tragédie classique et joue avec les règles de bienséance, Rosette meurt en coulisses. –> Chute car Rosette est témoin caché, ignorée du public.

C croit d’abord ? un nouvel évanouissemnet « elles s’est encore évanouie » mais P refuse d’entrer à l’ordre de C « entrons dans la galerie » car pressentiment de P « Non, en vérite… mortel ». Attente intenable pour le spectateur jusqu’au retour de C « elle est morte, a P »! -stychommythie(répliquent courtes qui s’enchainent) et par nombreux verbes = angoisse des fiancés. Décor: -symbolique, la fontaine. PAG » OF d s’enchaînent) et par nombreux verbes angoisse des fiancés. -Religion, confession, pardon , plus église = -présence de D . résent dans apostrophe, prière des personnages, : prière finale de pour sauver R, emotion « je lui rouverai… ma faute » SANS REPONSE. Mais P dit fautes non divines mais H alors que D les avait gâtés : « le bonheur est une abîme », ils l’ont gâché « il a bien fallu…. mali’ Fatalité :-chez C qui doit retourner au couvent, plus libre, détruite -chez P avec orgueil, comme si inévitable et indissociable de son caractère, vient de leur orgueil, nature H. Mort: cri R- ambiance morose champ lexical mort remplace amour. plus regrets mais remords (plus d’avolr rejoint C avant mais bléssé R) « mes mains… ang » « Je sens paralyse » meurtrier » i' »elle est morte » = chute brutale -EGLISE = ->lieu futur mariage de C et P + Camille avait juré auparavant d’épouser le Christ devant l’autel + Lieu de mariage de Perdican et Rosette + lieu enterrement R + autel renvoie aux sacrifices, ici R. Regrets . -P prie, supplie (pathétisme) et souhaite dénoeument heureux + souffrance et plainte avec interjections et exclamations « Ô mon -> réflexion absurdité condition humaine et fatalité qui guide I’H de manière insensée. « Il a bien fallu que nous nous fi