Choderlos de laclos
coderons de locos entre à dix huit ans comme élève à l’école royale ‘artillerie et à sa sortie, deux ans après, il est stationné au port de La Rochelle comme sous-lieutenant. En 1 763, à la fin de la guerre des Sept Ans, il est muté dans l’est. En 1767, il publie son premier poème. AI sera par la suite envoyé de garnison en garnison, à Grenoble en 1769 et Besançon en 1775, au gré des mutations et des promotions, publiant quelques poèmes dans l’Almanach des muses.
En décembre 1777, l’opéra comique « éreintes » dont il a écrit le livret est présenté pour la seule et unique fois à Paris, se faisant au passage huer du début jusqu’ la fin par l’assistance. Premier boy cariait I phoque 17, 2009 3 pages ces lettres » (« juil. ou la nouvelle hélais », 1761) fit fin par ‘assistance. En 1779, il est envoyé à l’île d’aux pour superviser la construction du port. Ces là qu’il commence la rédaction des « Liaisons dangereuses ».
En 1781 , il obtient un congé pour su superviser l’impression de son livre, qui sortira l’année suivante, à Paris. Par la suite, il ne se fera pas spécialement remarquer pour son ouvre littéraire ou pour sa vie personnelle. AI écrira un traité sur l’éducation des femmes, « Des femmes et de leur éducation » (1 783), et un critique irréelle de vibra, « Lettre à MM. De l’Académie Française sur l’éloge de M. Le Maréchal de vibra » (1786).
Il quitte l’armée, entre au service du duc d’Orléans, écrit des textes révolutionnaires qui lui vaudront d’être arrêté deux fois et libéré deux fois pendant la Terreur. AI reviendra dans l’armée, nommé en tant qu’artilleur général en 1800, servira sous marmonnant dans l’armée du rein et mourra en 1803 en italien. « Les liaisons dangereuses » s’inscrit dans la tradition de la littérature libertine dont il est l’expression la plus parfaite. Comme de rougiront la remarqué, une aristocratie qui e peut pas afficher sa puissance par des affrontements militaires se tourne vers des jeux érotiques.
La séduction devient alors une figure littéraire d’importance, défiant l’guise, l’état et les règles sociales. Le roman s’inscrit également dans la lignée des romans épistolaires, longue tradition qui compte dans ses membres « juil. ou la nouvelle hélais » de rousse ou « Lettres portuaires » (1669) de aiguillerais. Il consiste en des échanges de lettres entre différents personnages au cour de nouds enchevêtrés de liaisons.