CHAPITRE 1 7

essay A+

CHAPITRE 1 : Qualité des sols I – Composition d’un sol La couche arable contient des constituants solides (matières minérales et organiques), constituant liquides (eau + ions) et des constituants gazeux (air). Les constituants solides insolubles contiennent un complexe constitué d’argile et d’humus appelé complexe argilo-humique (C. A. H) qui est chargé négativement. L’eau présente dans le sol (solvant) dissout les composés ioniques en formant des anions et des cations Dans le sol, on trouv calcium, magnésium, potassium, nitrate, p Il rôle du CAH rin org Sni* to View s ammonium, nate.

Grâce à sa charge négative, le C. A. H est capable de fixer les cations (NH 4+ ; CA2+ ; Mg2+ ; K+) présents dans le sol mais pas les anions (excepté P043- retenu par un pont calcique). Le sol est un milieu d’échange de matières. L’eau du sol cède les cations au C. A. H de surface négative. Ce dernier forme ainsi un réservoir de cations qu’il peut ensuite céder aux plantes suivant leurs besoins. Les végétaux peuvent également puiser l’eau contenu dans les pores. Les engrais : phytosanitaires : Un produit phytosanitaire sert à soigner ou prévenir les maladies es plantes.

Il contient un ou plusieurs actifs naturels ou de synthèse CHAPITRE 2 : Qualité des eaux de consommation I – Eau du robinet, eau de source ou eau minérale : L’eau du robinet provient des rivières, des lacs ou de nappes phréatiques (souterraines) et sa composition en sels minéraux peut varier. Le plus souvent elle est rendu potable par un centre de traitement et de déslnfection puis stockée avant dêtre consommée. L’eau de source provient de nappes souterraines protégées et sa composition en sels minéraux peut varier. Sa minéralisation est inférieur à 1 500 mg/L.

L’eau minérale provient de nappes souterraines protégées et sa composition en sels minéraux est constante. Elle possède des vertus thérapeutiques reconnus par l’Académie Nationale de Médecine. une eau minérale peut être faiblement, moyennement ou fortement minéralisée. Les eaux du robinet et les eaux de source sont régulièrement contrôlées et doivent respecter des critères physicochimiques de potabilités (couleur, odeur : qualité physique et gustative ; pH : concentration de substances à ne pas dépasser : qualité chimique ; pas de microorganismes pathogènes : qualité icrobiologique.

Il – L’analyse de l’eau : dégrillage et tamisage : éliminer les débris solides les plus gros floculation : provoque une agglomération des particules en suspension >> obtention de particules plus lourdes appelées « flocs décantation : flocs, plus lourds, se dépose au fond IV – Adoucissement d’une eau dure : Les ions calcium et magnésium sont responsables de la dureté de l’eau. La dureté d’une eau dexprime en degrès français noté FO. ne eau très dure n’est pas nocive pour la santé mais : -provoque la formation de calcaire dans les canalisation d’eau ce qui peut les oucher provoque la formation de calcaire sur les résistances de chauffe des lave-linges, vaisselles ou des cafetières d’ou une consommation énergétique accrue et un risque de détérioration des appareils électroménagers. – laisse des dépôtsq blancs de calcaire sur la vaisselle et les sanitaires – mousse difficilement ce qui augmente la consommation de détergents et de savon – laisse une sensation de vêtements ou de peaux rêches.

Pour adoucir une eau dure on utlise un adoucisseur qui est constitué de résine échangeuse d’ions qui remplace les ions calcium et magnésium par des ions sodium. CHAPITRE 3 : La conservation des aliments : I – L’oxydation des aliments • De nombreux aliments s’altèrent rapidement et deviennent impropres à la radation sont variées : consommation. Les cause champignons (fruit, légumes) L’oxydation d’un aliment est une réaction chimique avec le dioxygène de l’air.

Cette réaction est ralentie par une baisse de la température ou par la présence d’espèces chimiques appelées antioxydant Les antioxydants peuvent être d’origine naturelle (le jus de citron contient naturellement de la vitamine C) ou d’origine synthétique (codeE300 à 821) On peut également protéger l’aliment de la lumière (emballage opaque) et de l’oxygène (atmosphère protectrice dépouwue de dioxygène).

Il – Les procédés de conservation des aliments • Les techniques de conservation des aliments ont pour but d’assainir ou de stabiliser un aliment périssable en détruisant ou en inhibant tout ou partie des bactéries qu’il renferme et qui peuvent entrainer des troubles de santé chez les consommateurs, ou la dégradation de l’aliment lui-même. Il existe plusieurs techniques : le procédé chimique consiste à introduire un agent antioxydant. Cet addtif limentaire peut être d’origine naturelle (acide ascorbique) ou synthétique. Il existe également la fermentation (réaction chimique) e procédé physique.

Il en existe de trois types : – par chaleur : pasteurisation, stérilisatlon (conserves et semi- conserves) par froid : congélation/surgélation – par déshydratation : lyophilisation et salage. CHAPITRE 4 : ces émulsion par la présence de molécules tensioactives :molécules possédant une partie hydrophile soluble dans l’eau et une partie hydrophobe soluble dans l’huile. Les molécules tensioactives enrobent les gouttelettes d’huile pour ormer des sphères appelées micelles. Ces micelles, grâce à leur partie hydrophile, sont alors miscibles avec l’eau. Il – La réussite d’une mayonnaise . ne incorporation progressive de rhuile dans l’eau, tout en fouettant continuellement, favorise la formation de micelles plus petites (on divise davantage les gouttelettes d’huile) et on obtient une mayonnaise plus ferme. Des ingrédients à TO ambiante facilitent la formation des micelles. La moutarde apporte également des molécules tensioactives qui facilitent la formation des micelles. (ex :vinalgrette) CHAPITRE 5 : L’œil : système optique et formation des images I – Vision des objets : Dans un milieu transparent et homogène, la lumière se propage en ligne droite.

On représente donc un rayon lumineux par une droite fléchée indiquant le sens de pro pagation. pour qu’un objet soit vu par un observateur, il faut que la lumière issue de l’objet parvienne à fœil de l’observateur. Il faut donc : que l’objet émette de la lumière en la produisant ou en la diffusant (source primaire Ill — Les lentilles . Une lentille est un milieu transparent limité par deux surfaces non parallèles entre lles. Il existe 2 sortes de lentille : – les lentilles dont les bords sont plus minces que le centre.

Elles donnent une image agrandie d’un texte proche (effet de loupe) Axe optique Une lentille à bords minces fait se croiser les rayons en un point, c’est une lentille convergente. Plus la lentille est bombée plus elle est convergente. les lentilles dont les bords sont plus épais que le centre. Elles plus petite d’un texte proche. Une lentille à bords épais fait s’écarter les rayons lumineux. c’est une lentille divergente Le cristallin de Pœil se comporte comme une lentille convergent, ‘est pourquoi nous étudierons uniquement ce type de lentille. Tout rayon passant par le centre optique O de la lentille n’est pas dévié.

Tout rayon parallèle à l’axe optique émerge de la lentille en passant par le foyer image F’ La distance OF’ est appelé PAGF6œFq ale de la lentille, c’est une pas dévié ; – Le rayon issu de B parallèle à faxe optique émerge en passant par P, – Le rayon issu de B passant par F émerge de la lentille parallèlement à l’axe optique. Le point B’ est donné par l’intersection de ces 3 rayons. L’image A’ du point A est sur Faxe optique à la verticale de B’. Une lentille convergente donne toujours d’un objet Remarque : Une source de lumière très éloignée émet un faisceau de rayons parallèles.

L’image d’un objet très éloigné (on dit à finfini) d’une lentille convergente se forme au foyer image de la lentille CHAPITRE 6 : L’œil : accommodation, défauts et correction : Un œil normal (œil emmétrope) voit net et sans effort des objets éloignés. L’image se forme à l’envers sur la rétine et c’est le cerveau qui « la remet ? l’endroit » (OF’ = OR). Pour voir net un objet proche, le cristallin devient plus bombé grâce aux muscles iliaires ce qui le rend plus convergent ( la distance focale du cristallin diminue) : on dit que l’œil accommode pour voir des objets nets proches.

On appelle punctum proximum (P. P) le point le plus proche qu’un œil voit net en accommodant au maximum. On appelle punctum remetum (P. R) le point le plus é101gné qu’un œil voit net en étant au repos. 25 cm œil hypermétrope n’est pas assez convergent et l’image se forme derrière la rétine. Pour corriger ce défaut il faut le rendre plus convergent , pour cela – on porte des lentilles convergentes – on opère au laser pour « retailler » la cornée et lui donner une orme plus bombée donc plus convergente. ) La presbytie : Un œil presbyte voit nettement les objets éloignés mais flou les objets proches car il n’arrive plus à accommoder suffisamment. Ce défait apparaît avec l’âge car les muscles d’accommodation se relâche et le cristallin devient plus rigide. On corrige la presbytie avec des lentilles convergentes pour la vision de près uniquement. CHAPITRE 7 : Couleurs et arts : I – Les colorants et les pigments • Un colorant est une espèce chimique soluble dans le milieu qu’elle colore. Les colorants sont utilisés dans la teinture.

Une teinture est un colorant « dissous » dans une fibre. Un pigment est une espèce chimique insoluble dans le milieu Les pigments sont utilisés comme base colorante : – des peintures (ils sont broyés et ajoutés à un liant et un solvant), – des encres, – des verres, – des matières plastiques. Sous une lumière donné, la couleur apparente d’un milieu dépend de certains paramètres, parmi lesquel trichromie : a) la lumière blanche : La lumière solaire blanche est la superposition d’une infinité de radiation dont les longueurs d’ondes sont comprises entre 400 et 800 nanomètres.

Elle est dite « polychromatique La lumière blanche peut être obtenue par l’addition des lumières primaires : on en compte trois (rouge, vert et bleu) b) la synthèse additive La synthèse additive consiste à superposer des lumières colorées primaires (bleu, vert et rouge) pour obtenir des couleurs secondaires (jaune, cyan et magenta) Bleu + vert = cyan Bleu + rouge = magenta Vert + rouge = jaune Bleu + rouge + vert = blanc 2 couleurs sont complémentaires si leur superposition donne du blanc Exemples : Rouge et cyan sont complémentaires car rouge + cyan (bleu + vert) = lanc ou bleu et jaune sont complémentaires car bleu 4 jaune (vert + rouge) = blanc c) la synthèse soustractive Un objet éclairé absorbe certaines radiations de la lumière qui l’éclaire : c’est la synthèse soustractive. Il diffuse les radlations qu’il n’a pas absorbées : la couleur perçue par l’observateurs de cet objet est la couleur des radiations qu’il diffuse ou transmet. C’est la couleur complémentaire des radiations u’il absorbe. Les peintures ou les encre tes se comportent comme *AGF g cFq complémentaire des radiations qu’il absorbe. Les peintures ou les encres d’imprimantes se comportent comme