Canons du concile du latran
Durant ce concile qui regroupe une assemblées de tous les évêques appartenant à une même communion accueille des règles religieuses sont élaborés, appelé anormalement canons. Le concile adopte trente canons, qui se situent dans la droite lignée de la Réforme grégorienne politique menée sous l’impulsion de la papauté. Cette réforme concerne au total près de trois siècles même si au final c’est le pape grégaire VIA qui a laissé son nom à la réforme. Étant donné que le contexte était long et ?important nous avons préféré le souligner en en faisant un axe.
Problématique : De quelle manière ce concile se situe dans la droite lignée de la réforme grégorienne ? I Avant le concile : Au début du SI siècle, les empereurs germaniques entendaient diriger l’église, au nom de la double tradition romaine et cartomancienne, à leur suite, rois, princes et Canons du 2 concile du latéral premier bu ayant amputa 23, 2011 | 8 pages er concile du latéral : 1123 Introduction Nature et auteur : Nous avons là 7 (alors qu’en tout il y en a sous ‘impulsion de la papauté.
Cette réforme concerne au Étant donné que le contexte était long et important nous swaps toi vie nixe page et seigneurs disposaient librement des fonctions ecclésiastiques de leur ressort, dont ils investissaient les candidats de leur choix. La papauté va donc chercher à s’émanciper de ces deux pouvoirs à travers une série de réforme sur plus de 300 ans : ce sont des réformes grégoriennes. Pour cela il y a eu le concile romain de 1059 qui n’ pas réellement eu d’effets à cause de la mort de son instigateur.
Suite à la non réussite du concile romain puis du concile du latéral en 1123 ; un concordat, celui de hormis est signé. Toutefois le schisme survenu à la mort, en 1130, du pape honorions Il ? les cardinaux sont alors divisés sur le statut à donner au concordat de hormis, qui met fin en 1122 à la querelle des Investitures : cette querelle est le conflit qui opposa la papauté et le Saint-Empire romain germanique entre 1 075 et 1122. Elle tire son nom de l’investiture des évêques.
Au Moyen Âge, l’investiture est un acte par lequel une personne met quelques choses en possession d’une autre. Au axe siècle, les laïcs s’emparèrent des biens de l’agisse à tous points de vue. Tout d’abord la papauté qui depuis le couronnement en 962 de l’empereur du nouvelle empire : Saint Empire Romain Germanique, ton hier est sous sa tutelle. Désormais, plus aucun pape ne pourra être élu sans lui rater serment. Tout aussi grave la féodalités des charges épiscopales et batailles sans lui prêter serment.
Tout aussi grave la féodalités des charges épiscopales et batailles. Les nouveaux capacités ne se privés pas de vendre au plus offrant les évêchés royaux dont ils disposaient. Ainsi à tous les niveaux, s’opère une confusion entre la fonction ecclésiastique et le bénéfice temporel. Cela engendre chez les clercs une grave crise morale qui se manifeste de deux façons, par la simonie et le mécanisme. Cette mainmise du pouvoir temporel sur le pouvoir spirituel a comme ensemence une défaillance profonde du clergé, qui n’assure plus son rôle.
Le concordat de hormis met fin à ce conflit car en signant le concordat de hormis, l’empereur renonce à l’investiture par la crosse et l’anneau. Il accepte la libre élection des évêques par le chapitre de la cathédrale. Il donne ensuite, l’investiture temporelle sous la forme d’un sceptre pour les biens fonciers et les fonctions régalions de l’évêque. S’ ajoutent la rivalité entre deux clans romains, les frangipane et les prenions. Le 14 février 1 130, seize cardinaux partisans des premiers élisent grégorien paperasses, qui prend le nom d’Innocent Il.
Quelques heures plus tard, d’autres cardinaux élisent piètre prolonge qui prend le nom d’ancrée AI. Innocent AI prévaut finalement grâce à l’appui de bernera de cléricaux et à la mort de son rival en 1138. -> Le concile souhaite repu l’appui de bernera de cléricaux et à la mort de son rival en 1138. =; Le concile souhaite réparé les déchirures crées par le schisme et ensuite de poursuivre et parachever l’?ouvre du premier concile du latéral à savoir limiter les pouvoirs de l’empereur sur le vaticiner (1123).
AI Un concile comme affirmation de l’agisse : 1)Réaffirmation du rôle de ‘église : « Dieu a confié au successeur de Pierre la disposition des royaumes et des empires » : Art 10 : cet article ordonne aux laïques qui ont des dîmes ou des églises, de les rendre aux évêques, sous peine d’excommunication et de damnation éternelle, soit qu’ils les aient reçues des évêques, soit que les princes les leur aient accordées, ou qu’ils les tiennent de quelques autres personnes => l’église rétablit son pouvoir, idée d’émancipation.
Art 23 : Ordonne au pouvoir séculier de défendre l’église en notamment les hérétiques ainsi l’église prouve qu’elle possède de nouveaux une grande autorité sur l’empire. ) Réforme du clergé : Art 7 : il impose le célibat des prêtres « suivant les traces de nos prédécesseurs les pontifes romains grégaire, Urbain et Pascal, nous ordonnons que nul n’assiste à la messe de ceux qui vivent notoirement dans le mariage ou en concubinage » ; ce canon impose également que tous les hommes d’église ayant fait profession soit séparé de leur épouse impose également que tous les hommes d’église ayant fait profession soit séparé de leur épouses =; il déclare les ragées des prêtres et des religieux invalide et non plus seulement illicite.
AI tente tout simplement de lutter contre le mécanisme. Certains affirment car les moines sont « unis » à Dieu, et qu’ils ne peuvent donc l’être à quelqu’un d’autre, mais la véritable raison semble être économique: si aucune descendance, aucun « enrichissement familial », et l’argent en « trop » revient à l’église. Mais pas facile comme réforme, d’abord les plus hauts, puis les plus bas et ange et norme s’ opposent)) Art 1 : lutter contre la simonie : « nous décrétons que si quelqu’un a été ordonné par Simonie, il soit déchu de ‘office qu’il a illégalement occupé En effet, la simonie fait alors « polémique » car à cette époque Le clergé cherchant contrôler de plus en plus la société, le fait que certains individus aient pu acheter des charges sacerdotales des mains des laïcs irait à l’encontre de la volonté papale, c’est là un des aspects principaux de la réforme grégorienne: ce qui concerne la religion doit uniquement être géré par l’agisse. Art 13: Interdire l’Usure: L’usure est le fait de prêter un bien matériel, en échange d’argent, ou bien de prêter de l’argent ans l’attente d’un remboursement supérieur au prêt. Les usuriers étaient déjà mis en garde dans l’attente d’un remboursement supérieur au prêt. Les usuriers étaient déjà mis en garde dans la bible même, puis interdits par le concile de Nicée en (er concile de Nicée en 325 / Emme concile de Nicée en 787) car il est contraire à la charité de prêter, pour finalement s’enrichir personnellement grâce aux d’intérêts souvent écrasants, l’usure est considérée comme du vol!
AI est aussi important de remarquer que l’usure, très répandue malgré tout, a endette l’européen médiévale, réduisant souvent à la misère les « emprunteurs » qui ne pouvaient plus rembourser, appauvrissant ainsi le clergé. Cette seconde explication peut être une des raisons qui ont poussé l’église à interdire à nouveau la pratique de l’usure. * Ces trois éléments de la réforme ne sont pas nouveaux car déjà le premier concile romain de 1059 interdisait le mécanisme et la simonie (déjà même évoqué dans la réforme bénédictine! ) ainsi que la mise en garde contre l’Usure. Il Un concile qui se veut contre les hérétiques : AI) Un Clergé mettant en avant la lutte contre les hérétiques. Une nouvelle idée naît en ce concile.
En effet, l’article 23 en est e parfait exemple en affirmant que « ceux qui, sous couvert de religion, condamnent le sacrement du Corps et du Sang su Seigneur, le baptême des enfants , le sacerdoce et les autres ordres ecclésiastiques, le pacte de légitime mariage, no enfants , le sacerdoce et les autres ordres écoles?statiques, le pacte de légitime mariage, nous les repoussons hors de l’agisse de Dieu comme hérétiques, nous les condamnons[… ]». Par là, les auteurs de ce canon font une illusion directe à la communauté chrétienne plus tard appelée Église évangélique vaudrais, et plus précisément l’heuristique renard de briserai, dont les revendications se résument en un poème: L’écriture est la seule règle de la foi et des c?ours. Tout homme et toute femme initié à la connaissance de l’écriture peut prêcher. Il est bon que le culte soit fait en langue populaire et que chacun use de la Bible. La foi est un don de Dieu.
Elle comprend l’amour du Seigneur et l’obéissance à ses commandements. La messe du culte romain ne vaut rien. Les indulgences ne valent rien. Le purgatoire est une fable. Tout ce que l’on fait pour le salut des morts est inutile. Jésus est le seul intercesseur. Nous devons imiter les saints, non les adorer. Leur culte est idolâtrie. Le clergé romain ayant perverti la doctrine et les sacrements des apôtres, et n’imitant pas leur exemple, n’ aucune autorité. Le baptême n’est qu’un signe de régénération. Celle-ci n’aura réellement lieu que lorsque l’enfant aura une foi véritable. Les seuls sacrements reconnus sont e baptême et la sainte Cène. Le mariage est dissous par l’adultère.