Camus
Rieux, Tarrou, Rambert : trois formes de révolte contre rabsurde. Camus écrivain du 20 siècles est une des plumes les plus remarquables de son temps. Né dans les années 1900, il fut bercé par des courants tels que le marxisme, le communisme, le fascisme et bien d’autre. Il fera de son talent d’écrivain une arme redoutable qu’il utilisera pour défendre les causes auxquelles il tient. par le biais, de l’écriture il défend ces points de vus politiques, morals et éthiques.
Cest un auteur engagé qui débute en tant que journalis son militantisme. Il fe « Amterdam-Pleyel » En 1943, il entre dan « Combat » sur des s Swipe not p g es qui montrent t antifasciste e et Romain Rolland. ur le journal x et internationaux. En 1953, il défend les travailleurs qui se sont révoltés contre le régime communiste de l’Allemagne de l’est. En 1956, il lance un appel à la trêve, pour que les communautés européennes et musulmanes présentent en Algérie se réconcilient.
Sa philosophie, son souci de la condition humaine sont peut-être la base de cet engagement sans répits. Mise à part la politique, il est essentiel de relever qu’il s’est beaucoup intéressé à l’absurde. Camus parle d Sv. ‘ipe to d’absurdité en faisant référence à l’absurdité de la condition umaine. Les hommes cherchent un sens au monde qui n’en a pas. Cette confrontation entre le besoin de chaque homme de trouver un sens à la vie avec le monde qui n’en présent point a été une grande inspiration pour Albert Camus.
Il a consacré quelques œuvres à ce thème tel que le Mythe de Sisyphe, l’Etranger et Caligula. A cette absurdité Camus cherche une réponse que l’on peut découvrir à travers La Peste. La Peste fut publié en 1947. Dès la première partie le ton est donné : « Les fléaux, en effet, sont une chose commune, mais on croit difficilement aux fléaux lorsqu’ils vous tombent sur la tête. Il y a eu dans le monde autant de pestes que de guerres. Et pourtant pestes et guerres trouvent les gens toujours aussi dépourvus. C’est une allégorie qui dénonce le Nazisme et expose la condition humaine face à l’absurde. Les Oranais sont emprisonnées dans leurs villes et victimes du mal qui les frappe. Dans cette impuissance réside peut être une once d’espoir, la révolte. Nous parlons ici du fait d’agir et non de se résigner face aux fléaux. Il n’est pas question de révolte par la violence. Cest au travers des personnages tels que Rieux, Rambert et Tarrou que nous découvrons trois formes de révoltes.