Biologie animale – Tégument
assure la liaison entr jacents (ex os et mus s or 13 Sous le derme on tro e tégument. Le tégument particip Biologie animale – Tégument Premium gy meganouglt I anper. q 20, 2015 II pages CHAPITRE 6 : TÉGUMENT ET FORMATIONS TÉGUMENTAIRES M. SCAPS 12/03/15 Le tégument est le revêtement externe du corps, c’est la partie du corps en contact avec le milieu extérieur. C’est une surface de limite et d’échanges. l) Le tégument des vertébrés Il est constitué de 2 tissus d’origine embryologique différente : L’épiderme : partie externe, il s’agit d’un épithélium.
Il a une origine épiblastique, il dérive donc de l’ectoblaste. Le derme : c’est un tissu conjonctif dérivant du mésoderme. Il Sni* to View ements sous- e fait pas partie du es de structures spécialisées au dépend de l’un ou l’autre de ces constituants. L’épiderme donne des phanères et les glandes cutanées. Le derme donne les formations squelettiques dermiques secondaires. A. Epiderme Tissus épithéllale pluristratifié chez les vertébrés et unistratifié chez les invertébrés. L’épiderme est constitué de terminaisons nerveuses libres non vascularisées. L’assise la plus profonde de l’épiderme = couche germinale.
Seules les cellules de la couche erminale de l’épiderme sont capables de se multiplier. Elles engendrent des couches superficielles qui ne peuvent pas se multiplier. Il faut un phénomène de compensation, si des cellules se renouvelle à un endroit elles doivent être éliminée a un autre endroit : assise superficielle. dans toutes les cellules de l’épiderme. Elles sont éliminées au niveau de la couche superficielle sans transformation notable. L’épiderme est peu épais, ne comprenant que 5 à 9 couches de cellules, et reste donc perméable — permet les échanges osmotiques entre l’organisme animal et le milieu aquatique.
Chez les vertébrés supérieurs : Tétrapodes (amphibien adulte, reptile oiseau et mammifère) . Les cellules se transforme en s’imprégnant de kératine processus de kératinisation = processus corné. Les kératines sont des protéines complexes. Cette transformation cornée met en œuvre 2 mécanismes distincts : Synthèse de kératine Hydrolyse enzymatique des autres constituants cellulaires Les cellules kératinisées finissent par mourir et se dessèchent ; la dernière couche s’appelle la couche corné.
Au niveau de la couche corné les cellules mortes se détachent, cette couche est donc ormée de cadavre de cellules kératinisées. Rôle de la couche corné : adaptation à la vie terrestre. La kératinisation, est un processus permettant d’imperméabiliser le tégument — bonne adaptation à la vie terrestre. Chez les amphibiens adultes : la couche cornée existe mais est extrêmement mince, elle est limitée a une seule assise de cellules — l’épiderme reste perméable, ce qui va permettre les échanges avec le milieu extérieur et la respiration cutanée.
Chez les amniotes (reptile oiseau mammifère) : animaux complètement libérés du milieu aquatique. La couche cornée devient très épaisse. L’épiderme devient sec et imperméable L’épiderme des mammifères : Au-dessus de la couche basale on a la stratum ? , la stratum ? et la statum cornélum. Les cellules vont subir un processu 13 vont subir un processus de kératinisation. Strate cornée très épaisse B. Derme Le derme est un tissu conjonctif d’origine mésodermique. Son rôle est de nourrir et supporter l’épiderme.
Il est constitué de fibres de collagène superposées à un réseau de fibres élastiques, cette structure confère au derme une résistance mécanique. Le derme, contrairement à l’épiderme, est vascularisé, il est pénétré ar des vaisseaux sanguins et lymphatiques, il est innervé et contient des cellules pigmentaires (la coloration de la peau est localisée dans le derme). Ce sont les vaisseaux sanguins qui assurent la nutrltlon de l’épiderme, ainsi que les échanges avec l’extérieur. Il) Les phanères Les phanères sont des productions épidermiques très kératinisées qui se développent à la surface de l’épiderme.
Différents types de phanères : poils, plumes, glandes cutanées (ex : glandes mammaires), dents, écailles (placoides, ganoïde et cosmoide, psychoide… ), bois (corne)… A. Les écailles cornées Chez les reptiles (serpent, lézard), pattes des oiseaux, queue de certain mammifères. une écaille est un épaississement très important de la couche cornée, cette couche cornée est limitée par des replis de l’épiderme charnière, permettant aux écailles de s’articuler les unes par rapports aux autres.
Chez les reptiles : corps totalement recouvert d’écaille, le tégument est éliminé sous forme de lambeau = mue. La mue se fait par élimination de lambeau de peau, il faut d’abord qu’il y ait formation d’un nouveau tégument pour que l’ancien soit éliminé. B. Les cornes ne corne est une excroissance pointue portée par la tête de certains animaux. Seules Les cornes Une corne est une excroissance pointue portée par la tête de certains animaux. Seules les cornes kératinisées sont des phanères. Les bois des cervidés ne sont pas des phanères mais des formations squelettiques dermiques (non pas épidermique).
Les cornes sont spécifiques aux mammifères, on en distingue 3 types Cornes impaires pleines et permanentes des rhinocéros : (impaire car dans le plan de symétrie) constituée d’un amalgame de filaments de kératine qui sont agglutinés dans une gangue elle- même kératinisée. Les cornes sont présentes chez les 2 sexes. Cornes frontales palres, creuses et permanentes des ruminants cavicornes (girafe, mouflon) : seul l’étui corné forme la corne, il se développe autour d’un axe osseux : l’os cornu = cornillon = cheville osseuse.
Cet os est l’équivalent des bois des cervidés. Selon les espèces, soit chez les 2 sexes soit uniquement chez les males. Cornes frontales paires, creuses et caduques de l’Antilope pronghorn (famille des antilocapridés, ne comporte qu’I espèce) : espèce que l’on trouve dans les plaines nord-américaine. Les cornes ne sont présentes que chez les males. L’étui corné va tomber chaque année à l’automne (=caduque) C. Les griffes, ongles et sabots Ce sont des étuis carnés qui se développent autour de la phalange terminale des doigts des amniotes. 1.
Les griffes Formé d’une partie dorsale = lame/limbe (clo sur le poly ? remplacer par le mot lame) Constituée de kératine très dure, cette lame repose sur un épiderme sous-jacent : le lit, enchâssé par sa base ou matrice, ancré dans un repli de l’épiderme : le mur. La partie ventrale est souple : la sole. 2. Les ongles Ils sont caractéristiques uni uement des primates. Même cons 3 entrale est souple : la sole. Ils sont caractéristiques uniquement des primates. Même constituant qu’une griffe alors que la griffe est bombée et l’ongle est plat. 3. Les sabots Trouvés chez les onguligrades adaptés à la course.
Un sabot est une griffe en position verticale, avec une composition plus complexe. II est constitué d’une griffe à lame sub-cylindrique – la muraille, repliée à l’intérieur sur sa face postérieure et qui contient une sole échancrée en arrière au niveau d’un bourrelet de corne souple appelé la fourchette. D. Les polis Ils sont constitués de filaments de kératine. Leur longueur varie de quelques mm à plusieurs mètres (cheveux ou crinière), leur diamètre varie de 5urn à plusieurs mm (laine). 1. Formation des poils Le poil né d’un bourgeon épidermique qui s’enfonce en oblique dans le derme.
L’extrémité basale de ce bourgeon va se renflée pour former un bulbe. Le bulbe va ensuite se déprimer pour former une cupule qui entoure une papille dermique vascularisée. Le bulbe pileux va se différencier en une couche périphérique qui va donner naissance au follicule pileux et une zone centrale – matrice, au niveau de laquelle il va y avoir des activités mitotiques ? l’origine du poil. es cellules de la matrice vont se multiplier, se kératiniser et se disposer sous forme d’un cylindre qui s’allonge par sa base et perce la surface de l’épiderme. La partie basale s’appelle la racine du poil.
La tige du poil est la partie qui fait saillie à l’extérieur de l’épiderme. 2. Structure du poil CT dans la tige du poil : Les cellules kératinisées qui constituent le poil sont disposées en 3 couches concentriques. Dans la partie centrale du poil = médulla = moelle PAGF s 3 disposées en 3 couches concentriques. Dans la partie centrale du poil – médulla = moelle centrale. Constituée de cellules de forme polyédrique, peu kératinisé, ratatiné, vacuollsées et séparées par des espaces remplis d’alr. La partie externe = écorce = cortex, formée de cellules fusiformes, très kératinisées et allongées dans l’axe du poil.
La partie interne = cuticule = épidermicule : formé de 1 couche de cellules aplatie en forme d’écaille, cylindrique, et imbriquées comme les tuiles d’un toit. Dans le poil il y a un excès de glandes sébacées, et à l’extrémité un muscle arrecteur ou horripilateur. 3. Croissance et renouvellement La croissance des poils n’est pas continue sauf exception pour heveux et poil de la crinière. Chez l’Homme la croissance est de 0,1 à 0,4mm ‘j. La durée de vie des poils est relativement brève : Souris : 19j Homme : 3 semaines Autres espèces : 2 à 5 mois E. Les plumes Spécifique des oiseaux.
Ce sont des phanères plus complexes que les poils. une plume est formée de cellules kératinisées mais vacuolisées ce qui confère aux plumes une grande légèreté indispensable pour le vol. Elles sont également minéralisées et imprégnées de sels de calcium. Les plumes ont 2 grands rôles Isolant thermique Intervention dans le vol Chez les 1ers animaux à plumes, les plumes servaient niquement d’isolant thermique. 1. Les différents types de plumes a. Les pennes Plumes de contour. Grandes lumes ui donnent la silhouette ? l’oiseau, la coloration du pl permettent le vol.
PAGF 13 Elle est constituée d’un axe rigide partagé en 2 parties : un calamus proximal et un rachis distal. Elles ont un étendard = vexillum, porté par le rachis. Le calamus = la hampe, est un axe creux ouvert à ses 2 extrémité par un ombilic (un inf. et sup). Fait suite au calamus le rachis, qui est une tige pleine. Un sillon longitudinal marque sa face ventrale. L’étendard = vexillum, est une surface plane et souple partagée n 2 partie inégales par le rachis. Chacune de ces parties est formées de lames parallèles = les barbes, qui s’insèrent en oblique sur le rachis.
Chacune des barbes porte 2 rangées de lamelles plus fines = barbules (présente sur la face proximal et face distale les barbules distales s’entrecroisent avec les barbules proximale de la lame voisine). Les barbules possèdent des barbicelles qui sont généralement crochues à leur extrémité. Leur rôle est d’accrocher les barbules proximales qui sont lisses. Grace à ce dispositif, cela permet une extraordinaire cohésion des barbes. b. Les plumes de duvet = plumules Ce sont des plumes très simples, pas visibles car cachée par les plumes de contour.
Elles sont constituées d’une touffe de barbe qui s’insère sur un très court calamus. Les barbes sont pourvues de barbules lisses qui ne s’entrecroisent pas. Le duvet intervient dans l’isolation thermique et est très abondant chez les oiseaux aquatiques. Chez les ratites le duvet est absent. c. Les filoplumes Plumes dégénérées réduites à un seul rachis (ressemble donc ? des poils), et sont cachées par les plumes de contour. 2. Renouvellement des plumes Durée de vie limitée, donc au bout d’un certain temps elles vont ?tre renouvelées par la mue qul est périodique.
Après chaque 7 3 bout d’un certain temps elles vont être renouvelées par la mue qui est périodique. Après chaque mue, l’oiseau acquiert un nouveau plumage. 3 types de plumages au court de la vie d’un oiseau : a. Plumage du poussin Plumes de duvet (pas de plumes de contour), a quasi la même constituons que le duvet des adultes. b. Plumage juvénile On voit apparaitre les pennes (contour), diffèrent de celles de l’adulte par la taille, la composition, la coloration, les plumes sont plus souples et elles sont plus lâchent du fait du nombre de barbe imités. c.
Plumage adulte Chez l’adulte la mue apparait 1 à 2 fois/an. Quand la mue est annuelle, elle a lieu après la période de reproduction. Lorsque la mue est bisannuelle elle a lieu avant et après la période de reproduction. Dans la mue avant la période de reproduction : mise en place de plumes ornementales (plumage nuptiale). La mue est partielle et progressive de façon que l’oiseau ne perde par ses facultés de vols. Quelques exceptions : canards (pendant quelques jours sont incapables de volés), oies, cygnes, grues, flamant. Ill) Les glandes cutanées A. Chez les vertébrés inférieurs
Pas de glandes cutanées mais on trouve des cellules glandulaires qui sont différenciées à partir de la partie germinative de l’épiderme. Les cellules glandulaires ont pour rôle de sécréter du mucus qu forme un film protecteur à la surface de l’épiderme permettant une meilleure pénétration dans l’eau et joue un rôle de filtre contre les microorganismes parasites. B. Chez les tétrapodes Les cellules glandulaires vont se regroupées pour former des glandes cutanées. Ce sont des invaginations épidermiques, de formes variées, qui s’enfoncent dans le derme et qui s’ouvrent ? l’ext