bilan de l’étude
BTS M. U. C. Gestion commerciale L’analyse de l’exploitation Le responsable d’une UC surveille sa trésorerie en permanence compte tenu des dangers d’insolvabilité que représente une trésorerie négative. Pour autant il surveille aussi la rentabilité de son affaire, par les outils d’analyse de l’exploitation. Sni* to View nextÇEge I ELEMENTS DE L’EXP A/ Les dépenses – c Les charges relèvent des dépenses assurées au quotidien pour permettre l’exploitation de l’IJC.
B / Les recettes – produits Ventes de marchandises ou chiffre d’affaires nets, diminués des éductions commerciales sur factures accordées aux clients Subventions aux bénéfices de l’entreprise. Le résultat est un indicateur de performance apprécié des partenaires financiers (banques… ) Enfin le résultat est aussi un indlcateur de performance commerciale de l’UC pour le manager, est également un gage de perenité. B/ Le compte de résultat Le compte de résultat classe les charges et produits en 3 catégories : Exploitation Financiers Exceptionnels Vue générale .
Résultat de l’IC = Produits Cas de figure Charges valeur ajoutée, VA, mesure le surplus de richesse créé par ‘entreprise dans le cadre de son activité. Remarque : cet indicateur est repris dans la comptabilité nationale. Cest l’indicateur de référence de la croissance économique de l’entreprise. L’excédent brut d’exploitation est la différence entre la VA de l’entreprise et la rémunération des salariés et de la collectivité publique (impôts).
Ce qui reste va servir à l’accroissement de la capacité de l’activité de l’UC et pour la rémunération des actionnaires. De fait, l’EBE est la ressource fondamentale que l’entreprise tire de son exploltation directe. C’est la composante principale de la apacité d’autofinancement. Le résultat d’exploitation mesure la performance économique de l’entreprise en prenant en compte tous les aspects de l’exploitation, indépendamment de sa politique d’endettement et du régime d’imposition.
Les limites dans l’analyse de cet indicateur résident dans la motivation plus ou moins fiscale des dotations aux amortissements qui diminuent la base de calcul de l’IS Le résultat courant avant impôt est le résultat d’exploitation provenant des opérations normales et habituelles de Il prend en charge la politique d’endettement (charges et roduits financiers) mais il n’est pas influencé par les opératlons exceptionnelles ni par la fiscalité. Le résultat exceptionnel est calculé à part et ne procède pas d’un calcul en cascade.
Cest le résultat des opérations exceptionnel calculé à part et ne procède pas d’un calcul en cascade. Cest le résultat des opérations exceptionnelles (non reproductibles d’une année sur l’autre). Au résultat courant avant impôts et au résultat exceptionnel, on déduit les impôts et la participation afin d’obtenir le résultat net comptable qui est le solde du compte de résultat. Le résultat net comptable sert à la rémunération des actionnaires ou est affecté à un compte de réserve. Conclusion sur les SIG Les SIC, Soldes intermédiaires de gestion, sewent à mieux comprendre et analyser la formation du résultat.
D’une information purement comptable on passe à un moyen d’information de l’entreprise. IV LES RATIOS D’ANA YSE DE RENTABILITÉ La rentabilité d’exploitation permet d’apprécier l’importance relative des produits et des charges concourant à la formation du résultat. Elle apprécie les performances de l’activité de ‘entreprise et s’appuie sur la comparaison des résultats avec le CAHT, représentatif de l’activité. On parle dans ce cas de ratios de marge. Ils permettent d’apprécier le rendement à différents stades de la formation du résultat.
A/ Le ratio de marge commerciale Il est également appelé taux de marge brute. Ce ratio, calculé à partir du compte de résultat, est indépendant de la politique financière adoptée par l’entreprise. Il permet d’apprécier la stratégie de l’entreprise et d’apprécier l’influence des contraintes du marché et de la politique des rix de vente. ‘influence des contraintes du marché et de la politique des prix de vente. Ratio = Marge commerciale / CAHT Appréciation de la stratégie commerciale de l’entreprise : une marge commerciale assez faible implique que les autres charges (personnel, frais généraux… soient très serrées Appréciation de l’influence des contraintes de marché et de la politique des prix de vente : une augmentation du taux de marge, accompagnée d’une diminution du CA, signifie probablement que l’entreprise essaie de préserver ses marges en augmentant ses prix de vente. Au contraire, une baisse du taux de marge accompagnée d’une orte croissance du CA signifie probablement que l’entreprise a choisi une baisse du prix de vente pour augmenter ses parts de marché.
Le cas ou l’augmentation du taux de marge est accompagnée d’une hausse du CA signifie que l’entreprise a mis en vente des produits plus performants ou qu’elle a acquis une position concurrentielle plus forte. B / Le ratio d’excédent brut d’exploitation Il mesure le niveau de productivité de la firme. Ratio = EBE / CAHT Une amélioration de ce ratio traduit une augmentation de la productivité si elle n’est pas la simple conséquence d’un ccroissement du taux de marge commerciale.
Une chute de ce ratio (ou de celui de la VA) face à un taux de marge commerciale stable, témoi ne d’un alourdissement relatif des coûts d’exploitation. C / Le ratio de résultat d’exploitation Il indique la part du résultat dans l’ensemble de l’activité de Ratio = Résultat d’exploitation / CAHT C’est un indicateur de l’aptitude de l’entreprise à réaliser un bénéfice (rentabilité d’exploitation). D / L’utilisation des ratios un ratio permet de calculer une valeur unique, qui ne permet pas de jugement immédiat sur la rentabilité de [‘entreprise.
Ce ratios doit être utilisé de façon dynamique : des comparaisons dans le temps, ou dans l’espace : des comparaisons par rapport à d’autres points de ventes équivalents : principe du Benchmarking. V Illustration : publication des résultats du Crédit Agricole en 2000 UN RESULTAT NET CONSOLIDE, PART DU GROUPE, EN HAUSSE DE A 2,37 MILLIARDS D’EUROS (1 5,57 MILLIARDS DE FRANCS) Produit net bancaire 14, 055 milliards d’euros (+ 10,8 h) Résultat brut d’exploitation 5, 064 milliards d’euros (+ 14,4 gt) Résultat courant 4, 494 milliards d’euros (+ 27 9 % Résultat net, part du group