Bertrand russell

essay A

aberrant ruisselé, né le 18 mai 1872, est un mathématicien, logicien, philosophe, épistémologie (désigne soit le domaine de la philosophie des sciences qui étudie les sciences particulières soit la théorie de la connaissance en général), homme politique et moraliste britannique. Il est considéré comme l’un des plus importants philosophes du axe siècle. Il a notamment écrit l’ouvrage Problèmes de philosophie publié en 1 968 aux éditions appât. Dans cet ouvrage il pose la question de la théorie de la connaissance. Par définition, le philosophe n’est pas sage. En effet, – halo- veut dire étude et -sophiste- sagesse.

Si le philosophe étudie la sagesse, c’est qu’il n’est lui même pas un sage. Or un sage est quelqu’un qui sait donc le philosophe ne sait pas. C’est pour cela que l’auteur dit que la valeur de la philosophie réside dans son caractère incertain. Les philosophes ne savent pas, ils ne sont pas formels c’est-à- dire qu’ils ne sont certains de rien. En revanche, un sage n’ pas de limites à la connaissance, il peut nous expliquer l’univers et la métaphysique. La métaphysique est une réflexion philosophique qui a pour objet la connaissance attentionné, donc qui s’appuie sur la raisonnement, de la nature ou des choses.

Nous attendons beaucoup du sage contrairement au philosophe qui n’est jamais formel. En effet, escorté dis lui même: « Tu seras aberrant ruisselé premier bu marger. Ne. Va I parer SI, 2009 5 pages domaine de a philosophie des sciences qui étudie les général), homme politique et moraliste britannique. AI est swaps toi vie nixe page -s plu ta do idée du Ru -o « ara fer épi cet consentement de la raison » car la raison est une fa humaine de connaître et de juger et coopérer est le réveillera ensemble.

De plus, comme l’individu n’ je réfléchis à ces idées, qui lui ont toujours été imposé raison n’ pas lieu d’être ici; elle n’ donc pas pu Dole son consentement, son acceptation aux préjugés, croyances ou convictions habituelles. Pour quelqu’un qui n’ aucune connaissance en philosophie, le monde est défini, c’est-à-dire qu’on connaît la définition donc tous les caractéristiques. Cette personne, le monde est défini car le but premier philosophe est de comprendre, de réfléchir à toutes choses qui l’entourent, même au quotidien.

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AI a besoin de repères et il n’ aime pas ausculter pourtant, c’est un besoin car elle nous an à réfléchir sur la vie afin ne pas subir. Consentement de la raison » car la raison est une faculté humaine de connaître et de juger et coopérer est le fait de travailler ensemble. De plus, comme l’individu n’ jamais réfléchis à ces idées, qui lui ont toujours été imposées, la raison n’ pas lieu d’être ici; elle n’ donc pas pu donner philosophie, le monde est défini, c’est-à-dire qu’on en connaît la définition donc tous les caractéristiques.

Pour cette personne, le monde est défini car le but premier du illusoire est de comprendre, de réfléchir à toutes les choses qui l’entourent, même au quotidien. Quelqu’un qui ne philosophe pas est une personne qui ne se pose pas de questions donc qui ne créer pas ses propres idées ou points de vue, et qui vit constamment dans les idées habituelles. Pour cette personne, le monde n’ plus aucun secret, il n’est pas infini et il s’impose à l’esprit avec logique. La vie devient une habitude, si bien que chaque possibilité peu familière donc peu habituelle est évincée afin de ne pas quitter ce cadre de l’habitude.

Cette possibilité est âgée sans intérêt, sans doute à cause de la peur de sortir du cadre de l’habitude. L’Homme veut des certitudes mais pas la vérité. Il a besoin de repères et il n’ aime pas les bousculer pourtant, c’est un besoin car elle nous emmené pourtant, c’est un besoin car elle nous emmené à réfléchir sur la vie afin ne pas subir. La philosophie permet d’ouvrir les yeux sur le monde. D’ailleurs, d’après dessertes, « Ne pas philosopher, c’est proprement voir les yeux fermés sans essayer de les ouvrir Si l’Oiil permet de guider nos pas, la philosophie permet de guider nos pensées.

La philosophie permet d’appréhender le monde sous le jour de l’innocence, dénué de tous préjugés. Ces là le but du philosophe, appréhender le monde avec innocence, sans aucuns préjugés afin de pouvoir juger et comprendre le monde de façon neutre, équitable. C’est pour cela qu’un enfant, dénué de toute expérience est plus apte à juger qu’un sage qui est rempli d’expérience et de préjugés. Les choses les plus ordinaires sont, pour l’Homme, les plus difficiles comprendre car l’esprit humain est trop complexe.

La philosophie ne peut pas nous donner avec certitude es réponses à nos doutes car elle est par définition incertaine et s’interdit d’être formelle. Elle peut toutefois nous amener à réfléchir, aux actions de tous les jours afin d’élargir notre champs de pensée, c’est-à-dire pour voir plus loin que ce que l’on a l’habitude de voir ou peut- être ne plus voir la vie, mais la regarder. Cette réflexion nous permet de nous délivrer de l’habitude, qualifiée par l’auteur de tyrannique donc qui est autoritaire et oppressante. Cette habitude est tyrannique car il est difficile d’ échapper.