Before the shot HDA
Après des études en art, il illustre son premier livre à 16 ans et collabore illustrant leur revue ouverture pour lem az:.. – Swap next page connu pour ses nom particulier pour le m boy-scouts, en parait sa première ening post. Il est magazines, en Post. II est aussi l’auteur d’affiches publicitaires célèbres comme pour Coca Cola ou Kelloggs. Il a aussi illustré les romans de Mark Twain. Dans les années 50, il est considéré comme le plus populaire des artistes américains. Il peint même des portraits d’hommes célèbres, comme le président JF Kennedy ou Richard Nixon.
Son style est caractérisé à la fois par son réalisme et par son humour. Il travaillait soit en faisant poser ses modèles ou, à partir de photographies. I Sv. ‘ipe to I représente dans la plupart de ses œuvres, avec minutie, la vie des Américains moyens, « The American way of life » le mode de vie à l’américaine h). Quand dans les années 60, la photographie remplace l’illustration dans la publicité et les magazines, il quitte le Saturday Evening Post et travaille pour la revue Look. Il mourra en 1978.
Présentation de l’œuvre Cet œuvre du nom de Before the shot, se traduisant en français par « Avant la piqûre fut peinte par Norman Rockwell en 1958. Cet artiste appartient au mouvement de l’hyperréalisme. Ces artistes cherchent à reproduire la réalité avec précision et inutie. Son réalisme est quasiment photographique. Ce courant est appelé « Photoreallsm » ou « Superrealism » aux Etats-Unis. Cette peinture a été produite pour la couverture du magazine Saturday Evening Post du 15 mars 1958.
C’est une huile sur toile qui a pour dimensions 288×304 cm. Elle est actuellement conservée au Norman Rockwell Museum, à Stockbridge (Etats- unis, Massachusetts). C’est une œuvre qui témoigne des progrès de la médecine. Contexte historique de rœuvre : Cette peinture a été réalisée 3 ans après la mise au point du vaccin contre la poliomyélite en 1955, par un médecin américain, Jonas Edward SALK. Cette peinture témoigne donc de l’innovation médicale des années 1950.
Il s’agit d’une commande du Saturday Evening Post sur le thème des grandes campagnes de vaccination gratuites contre la 2 du Saturday Evening Post sur le thème des grandes campagnes de vaccination gratuites contre la polio, organisée aux Etats-Unis dans les années 50. Le contexte est celui du progrès accéléré de la médecine depuis la seconde guerre mondiale. Description Le sujet représenté est une scène de vaccination. Nous savons que le vaccin est celui contre la poliomyélite, ou « polio », mis au oint par Jonas Edward SALK .
Rockwell situe la scène dans un cabinet médical, typique des années 50. Nous le comprenons grâce à une série d’objets, de « gestes » des personnages et dans la scène représentée. Deux personnages sont présents dans la scène, on peut distinguer qu’aucun des deux ne nous regardent directement, ce qui rend la scène encore plus vivante et réaliste. Ces deux personnages sont vraiment existants. Il s’agit du docteur Donald CAMPBELL. Il nous tourne le dos, on le reconnaît à sa blouse blanche et à Fopération qu’il est en train de préparer. Il porte la tenue des médecins des années 50.
L’enfant, s’appelle Eddie LOCKE. Il est âgé d’environ 6-7 ans et est de profil, à moitié dévêtu. Ses vêtements sont eux aussi typique des années 50 et de la classe moyenne américaine. Le tableau est organisé en plusieurs plans qui nous donnent l’idée de la profondeur. Au 1er plan, on peut distinguer une chaise en bois, dont nous ne voyons qu’une partie. C’est le mobilier typique des années 50, bois et assise en tissu, et un faut 3 voyons qu’une partie. Cest le mobilier typique des années 50, bois et assise en tissu, et un fauteuil à bascule.
Ceci nous indique que ce médecin a l’habitude de soigner des enfants. Nous sommes dans un cabinet médical familial. Le fait que nous ne voyions pas la chaise en entier, nous donne l’illusion que nous sommes à l’intérieur de la scène et que nous aussi, sommes dans ce cabinet médical. Sans doute nous jouons le rôle de la mère qui a accompagné son fils se faire vacciner. Il ne faut pas oublier que le but de ce tableau est d’inciter les familles à vacciner leurs enfants ! – Au 2ème plan, le garçon est debout sur une chaise, adossée au mur.
Il a le pantalon à moitié baissé sur les fesses, qu’il retient de ses deux mains. Sa ceinture est débouclée. II est en tricot de corps blanc. Il est de profil, légèrement courbé, il lit un cadre accroché au mur. Le reste de ses vêtements est sur le dossier de la chaise, sur l’assise ou éparpillés sur le sol. Ce désordre, cette attitude rend la scène extrêmement vivante. On est bien « Before the shot « Avant la piqure » ! Le garçon s’est déshabillé à toute vitesse, il est déjà en position, il regarde, curieux, ce qui est accroché au mur tout en retenant son pantalon.
Son visage de profil est attentif. On se doute qu’il ne sait peut-être pas très bien lire ou que ce qu’il déchiffre est compliqué ! Ou bien il s’informe du diplôme du docteur ! Peut- tre pour se rassurer. A l’arr 4 déchiffre est compliqué ! Ou bien il s’informe du diplôme du docteur ! Peut-être pour se rassurer. A l’arrière-plan, le docteur de dos, porte un pantalon gris et une blouse blanche avec ses cheveux grisonnants. Il se penche légèrement sur le meuble bleu et, est en train de préparer la fameuse piqure…
On voit la seringue dans ses mains, le coton, l’ampoule du vaccin sur le meuble… Son attitude est « en mouvement son pied, décalé vers l’avant, donne cette illusion et contribue à la perspective du tableau. On constate que l’atmosphère de la scène est calme, pas de panique de l’enfant, as de cris, calme du médecin… Cela contribue au message, faire vacciner les enfants est préventif et sans danger. Les mères seront ainsi Incitées à le faire… La lumière vient de la fenêtre, située à l’angle supérieur gauche du tableau.
Fenêtre occultée par un store à lamelles. Elle éclaire le mur à gauche. Elle rend la scène « lumineuse renforcée par les touches de blanc, de la blouse du médecin, du tricot de Fenfant, des diplômes sur le mur. Les lignes de fuite donnent l’illusion de la profondeur. Le point de fuite se situe en direction du meuble bleu et de la fenêtre, d’où vient la lumière. L’angle de vue de l’artiste est face à la scène, de plein- pied. Nous sommes à la fois spectateur et sans doute acteur, car Rockwell veut convaincre son public de participer aux campagnes de vaccinations.
Les éléments observés sont impo S public de participer aux campagnes de vaccinations. Les éléments obseNés sont importants pour le sens donné à la scène. Ily a tous les objets médicaux, la balance contre le mur, tout ce qui est sur le meuble, les diplômes encadrés sur le mur. Mais aussi le mobilier qui est une indication précise de la période (comme les vêtements). Les chaises et le sol sont recouverts de dalles rises et tachetées. Les couleurs, sont en majorité froides, une déclinaison de bleus et de gris.
Seul l’orange des assises des chaises est une touche de couleur chaude. Ce sont les couleurs classiques d’un cabinet médical. La technique utilisée est la peinture à l’huile, sur toile. Rockwell réalisait au fusain, un dessin très précis au format identique de celui de la toile définitive. Il reportait ce dessin sur la toile. II a ensuite utilisé la photographie pour raccourcir les temps de pose de ses modèles. Il peignait ensuite à la peinture à l’huile très diluée à l’essence. Chaque ouche était recouverte de vernis, ce qui donne un aspect très lisse à sa peinture.
Liens avec d’autres objets d’études Supermarket Lady, de Duane Hanson(1969) Dimensions : 166 x 130 x 65cm Cette sculpture« grandeur nature», a été réalisée en résine de polyester, puis peinte avec de la peinture acrylique (tous les petits détails sont représentés, comme les veines par exemple). La structure a été moulée directement sur le corps d’un modèle avec des bandes de s exemple). La structure a été moulée directement sur le corps d’un modèle avec des bandes de silicones sur lesquelles il coule e la résine de polyester. Supermarket Lady porte de vrais vêtements, possède de vrais cheveux et des yeux de verre.
Elle illustre la société américaine des années 1960 en portant un regard critique sur la société de consommation. Avec l’apparition du supermarché, la ménagère achète tout au même endroit et le caddie a remplacé le panier. Avis personnel Pour moi, cette peinture est très importante pour l’époque car elle Incite les familles à faire vacciner leurs enfants pour qu’ils ne tombent pas malade. Malgré que les familles aient peur, cette peinture qui est aussi une couverture de magazine, donnent plus ux gens l’envie de faire vacciner leurs enfants pour qu’ils soient en bonne santé et qu’ils n’aient pas de problème plus tard.