Bts Eco leçon

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Les formes de la monnaie Parmi les formes de la monnaie, on distingue aujourd’hui la monnaie fiduciaire et la monnaie scripturale. La monnaie fiduciaire correspond au billet de banque et aux pièces de monnaie et repose sur la confiance en la capacité de cette forme de monnaie à être accepté par tous en règlement des échanges. La monnaie scripturale est une monnaie immatérielle qui émerge avec le rôle du banquier.

Le banquier reçoit les dépôts de monnaie fiduciaire on inscrit le montant sur des comptes et donne la possibilité au détenteur de ces comptes de mobiliser la financier résidents. (Ressource 2 du cas n02). La masse monétaire se mesure à Paide AGREGATS monétaire. Chaque AGREGATS représente un ensemble d’actif monétaire plus ou moins liquide. La liquidité est la capacité d’un actif monétaire à être transformé bref délai et sans coup en moyen de paiement.

Les différent AGREGATS monétaires sont classés par ordre de liquidité décroissant des actifs monétaires qui les composent. Ml comptabilise la monnaie au sens strict (pièce, billet et dépôts à vue). M2 correspond à Ml les autres dépôts monétaires. (compte sur livret) M3 = M2 + les titres de créance négociable sur le marché monétaire. Tous ces AGREGATS monétaires sont calculés par la BCE depuis le 1er janvier 1999 (livre page 14). 3. Quelle influence la monnaie exerce-t-elle sur l’activité économique ? A.

L’influence de la quantité de monnaie en circulation On peut considérer que l’augmentation de la quantité de monnaie en circulation, c’est-à-dire la hausse du volume de monnaie détenue par les agents économiques, grâce aux crédits obtenus auprès des banques va provoquer une hausse de la demande de bien aux entreprises. Si celles-ci n’ont pas augmenté leurs offres, il en résulte une hausse des prix ou inflation par imple application de la loi de l’offre et de la demande : lorsque la demande augmente et que l’offre est inchangé, les prix augmente. . L’influence de la qualité de la monnaie Elle se repère à sa stabilité interne et à sa stabilité externe. La stabilité interne de la monnaie re ose sur son pouvoir d’achat interne. La quantité de bie t acheter avec une unité 2 OF IC de bien que l’on peut acheter avec une unité monétaire sur le territoire ou la monnaie a cours évolue avec l’inflation : la hausse des prix réduit le pouvoir d’achat interne de la monnaie. (voir document 3)

La stabilité externe de la monnaie repose sur son pouvoir d’chat externe, ainsi le montant de devise étrangère que l’on peut acquérir avec une unité de monnaie nationale évolue avec le taux de change. De manière générale, on peut dire que la qualité de la monnaie se mesure à la confiance qu’elle inspire : confiance dans le fait quelle sera acceptée partout et par tous en règlement d’une transaction et confiance dans le fait de la conserver pour transférer du pouvoir d’achat dans le temps.

Lorsque la monnaie est conservée sous forme scripturale, cette confiance en la monnaie est liée à la onfiance dans le système bancaire à la transformer en monnaie fiduciaire à toute demande. Chapitre 2 L’état et le fonctionnement des marchés L’Etat un rôle économique en économie de marché. Les dysfonctionnements du marché mettent. Les défaillances de marchés correspondent au fait que la logique de marché ne peut pas rendre en compte. l. L’Etat met en place un cadre institutionnel pour le bon fonctionnement des marchés. 1.

Quel cadre institutionnel face à l’insuffisance d’information ? La concurrence pure et parfaite est un modèle théorique idéal du marché, qui repose sur une information parfaite. L’information parfaite suppose que tous les participants au marché (offreur et demandeur) disposent d’une information complète sur la qualité des produits échangés et éalité, l’information est 30F produits échangés et leurs prix. En réalité, l’information est très souvent asymétrique, certains agents économiques sont mieux informés que d’autres.

En général, le vendeur est mieux informé sur la qualité du bin vendu que l’acheteur potentiel Face à cette asymétrie d’information, l’acheteur à besoin d’être protégé par les pouvoirs publics, c’est la DG de la concurrence, e la consommation t de la répression des fraudes, qui met en place en France un cadre institutionnel pour assurer l’information des consommateurs : la réglementation encadre l’affichage des prix, l’étiquetage Si le déroulement d’une transaction n’est pas conforme à la loi, un agent économique peut toujours le contester devant le juge. 2. Quel cadre institutionnel pour faire respecter la concurrence ?

La concurrence conduit à la disparition de la concurrence. En effet, un régime de concurrence conduit à la disparition des entreprises les moins rentables jusqu’à qu’il n’en reste qu’une et que le marché devienne un monopole. Le prix pratiqué est alors plus élevé qu’en présence de concurrent et le choix est restreint. En France, c’est rautorité de la concurrence qui a en charge la régulation de la concurrence. Au niveau européen, c’est la commission européenne qui surveille les ententes entre entreprise, les abus de positions dominantes et les prix abusivement bas qui visent à faire disparaître la concurrence. . Instauré la confiance sur les marchés. La sécurisation des transactions agit sur la confiance des intervenant sur les marchés, c’est le cas des transactions en ligne qui font l’objet d’une surveillance accrue de la DGCCRF. Par ailleurs, l’état garanti 4 0 en ligne qui font l’objet d’une surveillance accrue de la DGCCRF. par ailleurs, l’état garantit les montants que les ménages détiennent sur leurs comptes auprès des banques : il s’agit de la monnaie détenue par les ménages sous forme scriptural et qui sert aux transactions économiques. Il. L’Etat pallie les défaillances des marchés. 1.

Comment résoudre le problème des externalités ? une externalité se définie comme l’effet positif ou négatif de l’action d’un agent économique sur le bien être d’autre agents économiques sans qu’il y ait pour autant une compensation onétaire. Dans le cas d’une externalité négative (ex : pollution par une usine) le coût privé supporté par l’agent qui en est l’origine. Pour que le coût privé d’une externalité négative soit la hauteur du coût social, la première solution consiste à taxer les responsables, c’est le cas de l’éco taxe qui fonctionne selon le principe du pollueur-payeur.

Il est cependant très difficile de mesurer le coût d’une externalité donc de fixer le montant de la taxe. Une deuxième solution consiste à créer un marché des droits à polluer : chaque entreprise doit pour être autorisé polluer détenir des droits à polluer qu’elle se procure sur un marché où se confronte une offre et une demande de droit à polluer. La quantité de droit est définie par l’administration (la commission de l’environnement au niveau européen) ce qui permet d’atteindre des objectifs quantitatif en matière de diminution de la pollution.

Application : – Les externalités positives et le rôle de PEtat face à l’innovation la peur de l’échec : caractéristique de la culture française la nécessité sociale 0 l’innovation : la nécessité sociale aux changements la formation des compétences Il- Effets potentiels, en termes d’externalités positives, de effets positifs pour les agents économiques croissance : investissement des autres entreprises Ill- Initiatives publiques en matière de dynamique de sensibilisation dès l’école aux enjeux de l’innovation Fonds souverains de propriété intellectuelle de 100 millions d’euros Naissance d’une commission d’évaluation. 0 commerciale. Les opérations sur « service » (publicité) Les revenus des facteurs de production (salaire, dividende) Les transfères courants (contribution aux ressources de budgets communautaires, dont les dons) Le solde de la balance des transactions courantes (crédit — débit = excédentaire lorsque les exportations de biens et de services, ainsi que les revenus et les transfères courants reçu de l’étranger sont supérieurs aux importations, aux revenus et aux transfères courants versés à l’étranger.

Dans le cas contraire, elle est déficitaire. 201 3 est la 9ieme année consécutive de déficit des échanges commerciaux français avec un déficit commercial de 170 milliards d’euros. Une nation qui enregistre un excédent du compte des transactions est en situation de capacité de financement. Cest le as de la Chine, du Japon et de l’Allemagne. A l’inverse, un pays qui enregistre un déficit du compte des transactions courantes, est en situation de besoin de financement : il consomme et investit plus qu’il ne produit. B.

Le degré d’ouverture d’une économie ou d’un secteur d’activité. 1. Le degré d’ouverture d’une économie. On mesure le taux de participation dun pays au commerce international de biens et de services grâce à son degré d’ouverture. Moyenne des importations et exportations Degrés d’ouverture – e degré d’ouvertures des 7 0 x 100 PIB issances mondiales est variable selon les pays et ne dépend pas uniquement de leur oids en volume dans le commerce international, il est aussi en fonction de leur taille et du degré de spécialisation de leur production.

Ainsi, un pays faiblement diversifié aura d’avantage recours aux importations pour combler les besoins de sa population auxquels il ne peut répondre avec sa seule production nationale. Ainsi, des petits pays comme les Pays-Bas ou pas Belgique ont des taux d’ouverture élevé (respectivement 75% et 91% en 201 2) alors que celui des Etats-Unis est de seulement du fait de la diversité de sa production lui permettant de moins dépendre de l’extérieur. 2. Le degré d’ouverture d’un secteur d’activité Les sewices commerciaux sont relativement à l’abri de la concurrence internationale.

Ils représentent à peine 20% des échanges mondiaux en 2012 alors que le commerce international des marchandises en représente plus de 80%. Toutefois, les échanges de service se sont considérablement développés, ils ont été multipliés par 8 entre 1987 et 2012. On peut mesurer le degré d’ouverture d’un secteur particulier, par la part des exportations dans le chiffre d’affaire total du secteur. Certains secteurs comme ceux du matériel informatique et des composants électroniques ont plus ouvert que d’autre (Pindustrie agro-alimentaire) Il.

L’influence du taux de change sur les décisions des agents. A. Le marché des changes et la détermination du taux de change Les échanges internationaux donnent lieu à des paiements internationaux nécessitant des opérations de change. Une opération de change est une opération de conversion d’une monnaie dans une autre appelé devi B0 monnaie dans une autre appelé devise. Elle est nécessaire à un échange économique pour un autre pays n’ayant pas la même monnaie.

Le taux de change d’une devise est le cours de cette devise par apport à une autre. On parle aussi de la parité d’une monnaie. La confrontation de l’offre et de la demande de devise permet la détermination de taux de change sur le marché des changes. Par exemple, une offre supplémentaire d’euro sur ce marché pour obtenir des Yens conduite à une hausse du Yen (appréciation du Yen) par rapport à Peuro (dépréciation de l’euro) si bien que par la suite, il faudra d’avantage d’euro pour recevoir la même quantité de Yen.

Inversement, une demande d’euro supérieur à la demande de Yen, entrainera une appréciation de l’euro par rapport au Yen et une dépréciation du Yen. B. Taux de change et décisions des consommateurs. L’évolution des taux de changes a une influence sur le prix des biens et des services et donc sur les décisions d’achat des ménages. En effet, une appréciation des taux de change par rapport aux autres devises a pour conséquences de rendre moins cher les produits étrangers par rapport aux produits nationaux.

Les ménages auront intérêt à choisir des produits importés (voyage touristique, importation de bien durable) inversement, une dépréciation des taux de change améliore la compétitivité des produits nationaux : les ménages auront intérêts à privilégié es produits. C. Taux de change et décisions des producteurs. ‘évolution du taux de change à une influence sur les décisions des entreprises. Une appréciation des taux de changes par rapport aux influence sur les décisions des entreprises.

Une appréciation des taux de changes par rapport aux autres devises, à pour conséquences positive de rendre moins cher les produits étrangers, par rapport aux produits nationaux ; mais il pénalise en contre partie, l’économe en diminuant la compétitivité-prix des exportations par l’augmentations des exportations. Les entreprises verront ainsi le coût des produits importés diminuer matière première, énergie, marchandise), elle auront peut être intérêt à délocaliser leurs productions de manière à profiter de coût relatif du travail et des investissements dans des pays où la monnaie est moins cher.

Inversement, une dépréciation des taux de changes améliore la compétitivité des produits nationaux qui s’exporteront plus facilement, mais elle rend les importations plus onéreuses. Toutes les entreprises ne sont pas soumises de la même manière à la variation des taux de changes les plus touchés sont celles qui participent activement au commerce nternational des multinational L’avantage comparatif peut s’expliquer par une économie d’échelle réaliser au moment de la production.