Baccalauréat STI2D – Projet Alzheimer

essay A+

Baccalauréat technologique ST12D CHETREANU Gheorge – NKOLO Axel Session 2014 OURIACHI zachana – TKOBOT Majid PROJET ALZHEIMER p g Sommaire il les envoie à l’utilisateur mais aussi en cas de batterie faible il sera alerte par la partie Alimentation (géré par Majid) et là il doit envoyer un autre SMS qui contiendra aussi les coordonnées de boîtier à l’utilisateur pour lui dire que le boîtier doit être recharge. Une autre partie GPS géré par Axel. Il doit programmes sa carte pour pouvoir extraire les coordonnées et l’heure de la trame reçue des satellites quand et de les envoie à la carte GSM quand lle demande.

La partie alimentation comme je déjà mentionné au-dessus géré par Majid et son travail c’est de faire en sort que le boîtier consomme le moindre d’énergie possible si possible et aussi il doit programmer un microcontrôleur qui va vérifier le taux de charge de la batterie pour alerter l’utilisateur quand la batterie est décharge et aussi pour contrôler la phase de charge pour éviter une surchauffe de la batterie. Et enfin la dernière partie l’initialisation de système qui est ma partie à moi.

Pour initialiser le système je dois créer une interface raphique qui va permettre le contact entre l’utilisateur et le boîtier pour l’initialiser. Il. L’initialisation du système A. Les différents composants pour créer le contact entre le boîtier et l’utilisateur j’aurais peut utiliser soit un écran avec une clavier numérique ou un écran tactile. Mais à mon avis un seul composant à la place de deux faciliterait l’utilisation pour l’utilisateur. Un écran tactile combine les fonctionnalités d’aff’chage 2 faciliterait l’utilisation pour l’utilisateur. n écran tactile combine les fonctionnalités d’affichage d’un écran et celles d’un dispositif de pointage, ou comme la souris ou e pavé tactile mais aussi avec un stylet optique. Cela permet de réduire le nombre de périphériques sur certains systèmes et de réaliser des logiciels ergonomiques très bien adaptés à certaines fonctions. Les écrans tactiles sont utilisés, par exemple, pour les PDA, les GPS, des lecteurs MP3, les smartphones, les tablettes, des consoles de jeux portables, les billeteries automatiques, les DAB, toutes les caisses sans caissier et les ordinateurs.

On an plusieurs types d’écrans tactiles : Ecran à ondes de surface : La technologie des ondes de surface utilise des ondes ultrasoniques circulant à la surface e l’écran. Ces ondes créent une figure d’interférence qui est modifiée lorsqu’on touche l’écran. Ce changement dans la figure d’interférence, une fois détecté, est traité par un contrôleur afin de définir une coordonnée (a,b). L’inconvénient majeur de cette technologie résulte du fait que la moindre rayure (ou même une poussière ou une tache) sur la surface modifie la figure d’interférence de base et donc affecte la justesse de la détection à l’écran.

Ecran résistive analogique: Les systèmes résistifs sont constitués d’une plaque de verre dont la surface est conductrice Celle-ci est ecouverte par un film plastique dont la sous face est conductrice. Ces deux couches sont tenues distantes p 3 plastique dont la sous face est conductrice. Ces deux couches sont tenues distantes par de microscopiques cales d’espacement ; de plus, une couche additionnelle est ajoutée en surface pour éviter les égratignures (par exemple, par les pointes de stylets). un courant électrique est induit dans les deux faces conductrices pendant l’opération.

Lorsque l’utilisateur touche avec la pointe d’un stylet (ou d’un doigt), la pression exercée amorce un contact entre les deux faces électrifiées. La variation dans les champs électriques de ces deux faces conductrices permet de déterminer les coordonnées du point de contact. Une fois les coordonnées déterminées, le traitement logiciel par le système s’établit. Ecran capacitive : Dans les systèmes capacitifs, une couche qui accumule les charges, à base d’indium, métal de plus en plus rare, est placée sur la plaque de verre du moniteur.

Lorsque l’utilisateur touche la plaque avec son doigt, certaines de ces charges lui sont transférées. Les charges qui quittent la plaque capacitive créent un déficit quantifiable. Avec un capteur dans hacun des coins de la plaque, il est possible en tout temps de mesurer et de déterminer les coordonnées du point de contact. Le traitement de cette information demeure le même que pour les circuits résistifs. Un avantage majeur des systèmes capacitifs, par rapport aux résistifs, est leur capacité à laisser passer la lumière avec un meilleur rendement.

En effet, jusqu’à 90 % de la lumière traversera une surface 4 la lumière avec un meilleur rendement. En effet, jusqu’à 90 % de la lumière traversera une surface capacitive par rapport à un maximum de 75 % pour les systèmes résistifs, ce qui donne une larté d’image supérieure pour les systèmes capacitifs. Je choisi un écran résistive analogique car il est moi chère et même si la lumière qui le traves est que de 75% on va l’utiliser que au cours de l’initialisation c’est-à-dire qu’au premier usage de système.

B. L’écran tactile EB076 Je reçu un écran tactile EB076 et un microcontrôleur EC1040 de Matrix qui est programmable par un logiciel appelé FlowCode par des macros spécifique à lui. Tout d’abord je commencer par lire la documentation technique de cette écran tactile et je remarque que pour communiquer vec le microcontrôleur il utilise 3 broches RX, TX et Reset donc au même temps il faut regarder la documentation technique de microcontrôleur pour voir sur quel porte il a les broches RX et TX. s broches RX et TX de microcontrôleur sont sur les portes C7 et C6 et le bronchement de la carte de l’écran tactile utilise le même bronchement sur le Patch B. A ce point le bronchement est fini et je peux passer à la programmation. C. Programmation Pour initialiser le système l’utilisateur doit insérer les numéros à laquelle les coordonnées seront envoyées et aussi sa peut ?tre utilisé comme une protection car la carte GSM vérifiera si le numéro qui appelle est bien enregistre dans la mémoire au cours de l’initialisation.

S vérifiera SI le numéro qui appelle est bien enregistre dans la mémoire au cours de l’initialisation. Pour cela j’ai commencé par mettre un fond d’écran blanc ? l’aide de macro « Set3ackgroundColour» et la couleur d’écriture en noir à Faide de macro « SetForegroundColour». Apres j’ai commencé de créer le clavier, donc j’aurais peut prend une photo d’une clavier sur internet et de l’afficher sur l’écran à l’aide de macro «G4D_DisplaylmageFrom FilePicaso » mais pour cela ‘ai besoin d’une carte microSD donc je choisi de la créer moi- même. our cela je utiliser des macros comme «DrawLine » qui me permettre de tracer des lignes d’un point (xl ,yl) à un point (x2,y2) qui va me permettre de créer mes cases de la clavier donc j’ai divise la moitié d’écran en 3 colonnes et 4 lignes pour avoir 12 cases (voir Annexel). Et à l’aide de macro «Print» je mise dans les cases des chiffres de 0 à 9 e dans les deux cas qui reste un bouton «OK» pour valider le numéro et un bouton pour effacer (voir aussi Annexe l). l reste juste de carrer un case dans laquelle e numéro va apparaitre quand l’utilisateur va le taper. De que je vérifie que tout s’affiche à l’endroit qu’il faut je passe ? la deuxième phase pour gérer la partie tactile d’écran. Donc tout d’abord j’active la partie tactile par la macro «G4D_EnableTouchscreenPicaso» et après je détecte si il y a une e à l’aide de macro «G4D_GetTouchCoordinatesPicaso» qui touch donne la valeur 1 à une variable choisi quand il y a un touche.

Apre «G4D GetTouchCoordinatesPicaso» qui donne la valeur 1 à une variable choisi quand il y a un touche. Apres avoir détecté le touche on utiles deux foi le acro «G4D_ReadTouchCoordinatesPicaso» une foi pour avoir les coordonnées X de le touche e une deuxième foi pour avoir les coordonnées Y de touche. Apres avoir les coordonnées de touche on compare les coordonnées reçu par les coordonnées de chaque cas du clavier.

Si les coordonnes correspondent ? une case, on affiche le chiffre correspondant à la case. Et une fois que le chiffre est affiché on décale le curseur X de 10 pixels et en même temps on stocke le chiffre affiché précédemment dans une variable bien définie en fonction de son emplacement. En ce qui concerne le bouton « effacer j’ai décalé le curseur X ers l’arrière de 10 pixels et j’ai utilisé la macro «DrawRectangle» qui me permettra de placer un blanc sur le chiffre précèdent.

En ce qui concerne le bouton validé « OK on ne peut l’utiliser que lorsqu’il y a 10 chiffres affichés pour éviter de sauvegarder un numéro invalide. Lorsque les chiffre sont valide, on appui sur le bouton « OK », ce qui enverra le numéro à la carte GSM par liaison 12C. Apres avoir envoyé le numéro, 2 nouvelle cases apparaissent. La première case permet d’ajouter un autre numéro et la deuxième permet de mettre fin à l’initialisation. (Voir annexe2) Ill. Annexes. Annexe 1 Annexe 2