Au XVIIIe
« Au XVIIIe siècle, l’esprit philosophique s’appuie sur l’expérience qui s’oppose aux révélations de la foi. Comme tel il privilégie les connaissances scientifiques et renie les œuvres de l’imagination. » Le 18ème siècle est le siècle des Lumières, un mouvement intellectuel…. Les philosophes et les écrivains des Lumières s’appuient sur les découvertes scientifiques pour développer [‘esprit critique et lutter contre les préjugés, les superstitions, les abus de pouvoir de la monarchie et de l’Eglise.
Les Lumières valorisent le pouvoir de la raison, l’esprit de tolérance. Ils veulent que les gens sortent de l’aveuglement, l’ignorance dans lequel ils sont. Il voit la connaissance qui s’acquiert par l’expérience et non plus la lecture de texte biblique. En quoi il préférable conduire l’homme à I ibe. Notons d’abord que moyen d’acquérir la c tôt que la quoi pour philosophes un périmentant les choses par soi-même que l’on acquiert un savoir qui permettra ensuite à l’homme de « s’émanciper Philosophes utilise cette connaissance comme arme de combat.
Par exemple si on a connaissance on se rend compte que le rai n’est ni le maitre du monde ni divin mai qu’il est humain, qu’il eut mourir et que le pouvoir est un pouvoir institué par l’homme pour dominer fhomme. Avec la connaissance, o page on prend possession de sa propre existence, on prend conscience qu’on est le seul maitre de son destin. Le fait de comprend cela nous permet d’être plus proche de la liberté. De plus comme je sals que le roi n’est pas le représentant de dieu sur terre, je prendrai moins en compte ce qu’il dit.
On remet donc en cause le système proposé par l’Ancien Régime. En revanche celui qui voit le roi comme un représentant de dieu sur terre il se sentira tout petit et donc obéira aveuglement à celui u’il juge plus fort que lui et donc ne sera pas libre. A noter que la question de l’égalité entre les personnes ne viendra qu’à après la fin de l’Ancien avant certaines personnes naissaient déjà avec quelque chose de divin, une supériorité. Illustrons maintenant l’expérience avec les idées deux philosophe de ce siècle, Voltaire et R.
Ces derniers pensent que l’apprentissage se fait par l’expérience, plus que par assimilation de savoir imaginaire. Cependant ils n’ont pas la même conception de cela. Voltaire voit expérience basé sur les connaissances scientifiques comme moyens pour l’homme d’être libre, de découvrir de ouvelles perceptive et d’avoir une vie meilleurs. Il ne saurait pourtant se limiter à une activité intellectuelle et se veut au servlce de l’humanité. En revanche Rousseau ne n’a pas la même conception du mot expérience. our lui l’expérience ne se relate pas à la science. Car ce dernier voit les sciences comme un moyen de mettre un masque au mal. Dep à la science. Car ce dernier voit les sciences comme un moyen de mettre un masque au mal. De plus les sciences dénature l’homme et empêche l’homme d’être conscient de ses besoin. Il pense que faute de retourner ? la simplicité naturelle les hommes courront ainsi inévitablement ? eur ruine. Rousseau voit l’expérience comme le fait de ressentir les choses par soi-même et cela est selon lui la base de toute connaissance.
IL le dit lui-même : « il faut sentir avant de penser Et le Fait d’obéir à lui-même le rendra libre. Par ailleurs à cette époque Eglise était le médiateur entre l’homme et Dieu. Le pape était le représentant de Dieu sur Terre. Le croyant n’avait pas accès au discours de la Bible, l’Eglise lui disait ce qu’il devalt faire. Ils pensent que les fidèles subissent un endoctrinement idéologique qui va à l’encontre de la liberté individuelle de chacun.
En effet le fidèle de se fier à des textes « déjà tous conçus » comme ça arrange l’église est n’est ainsi incapable d’évaluer par lui-même, d’avoir ses propres opinions. Comme disait M. « Mieux vaut tête bien faite que bien pleine Alors que s’il en a fait l’expérience il pourra avoir ces propres perceptions sur cela. C’est d’ailleurs pour cela qu’on va aussi lutter dans le domaine religieux contre les abus de la religion. Les lumières se reclamait non pas une relion athéisme sans lumière d’en haut, mais naturelle permettant la liberté de conscience. Il ne s’agit pas non plus de rejeter la tra