art maladie
La représentation de la maladie dans l’arts plastiques : Du 19ème au 20ème siècles, les artistes ont réalisés différentes oeuvres et ont connus différentes périodes en se qui concerne les arts plastiques et plus précisément la représentation de la maladie. Nous allons tenter de vous expliquer quelles sont les périodes les plus importantes ainsi que vous présenter les artistes les plus reconnus de ces deux siècles concernant se sujet.
A la fin du 19ème siècle lorsque Picasso peint en 1 896 Science et Charité , cette oeuvre est un parfait exemple de l’iconographie particulière qui régna- a maladie comptait Femme malade au c éprouvant Enfant Ma oeuvres qui nous le p g s rappelle combien la vie quotidienne. le non moins nt également deux es tableaux se qui le prouve) Les exemples donnés Ici et qui, bien naturellement, ne sauraient à eux seuls offrir un panorama suffisant, sont, par leur image comme par leur intitulé, parfaitement explicites. Néanmoins, il est mille autres oeuvre qui, à travers le langage codé de la symbolique, évoquent la maladie ou accueillent l’angoisse qu’elle fait naître. De façon claire ou discrètement représenter, la maladie est présente dans beaucoup d’oeuvres.
La Tuberculose, est une maladie très utilisé des artistes et des poètes qui amène à une mort décorative selon les dires de Susan Sontag ( faire recherche) ce qui pousserait donc pour Swige to vie' » next page pour cette raison sans doute à son utilisation. D’autre part, la Syphilis qui elle défigure le visage et le corps des Demoisselles dAvignon c’est une autre maladie qu’utilise les artistes pour faire une parabole du désir et de la maladie qui le ronge.
D’autres exemples pourraient être mentionnés qui pourraient établir un lien dans la représentation assujettie aux préceptes e la religion comme nous la fait encore voir tardivement Ary Scheffer avec L’enfant malade ou bien à celle plus liée au récit autobiographique, telle qu’elle apparait sous les pinceaux de Frida Kalho dans La colonne brisée ou bien encore des portraits de fous peint par Théodore Géricault (médécin de la Salpêtrière) ? La Scie Malade D’Erik Dietman.
La maladie prend des visages fort différents et fournit des Images ou le réalisme peut faire place à la seule évocation allusive comme dans les Sacchi d’Alberto Burri. La représentation dans la peinture de l’homme soignant ne se aisse pas d’être traiter par daussi nombreux artistes. Cimage du bon samaritain parcourt toute l’histoire de l’art occidental et donnera lieu à de multiples images dont le caractère sacramentel ( rituel culturel d’une dimention sacré, les croyants pensent qu’il produit un effet dont la source de Dieu, y donne sa grâce.
Ils y trouvent le symbole d’une alliance entre Dieu et les Hommes, sacrement comme étant donner signe destiné à donner ou augmenter la grâce sanctifiante des croyants) pourra, comme précédemment, devenir, au fil du temps, plus elliptique. Lhomme soignant se sera entre temps sécularisé et inscrira son image ans 2 OF s plus elliptique. L’homme soignant se sera entre temps sécularisé et inscrira son image dans une iconographie étonnement diversifiée.
Le chirurgien Andler Sirgen opérera sous le pinceau scalpel d’Otto Dix quelques années après que Christian Schad eut peint l’opération (1929) dont le réalisme implacable trouve toute son application dans une composition directement inspirée de Christ mort de Mantegna et de La eçon d’anatonie de Rembrandt. Celle d’Henri Gervex ou office doctement le professeur Pean renvoie, de loin, aux nombreuses représentations médiévales dans lesquelles le corps, objet e prospections, se laisse morceler tant et tant pour la cause scientifique.
La représentation de Ihomme soignant c’est aussi La Vaccination peinte par Melingue en 1879, et, pour poursuivre ce panorama à la disparité accepté, La Malade (qui est Hélène Chatenay) de 1892 de Félix Vallotton et de la même année, La Stérothéraphie de son ami Charles Maurin. Comme en témoigne encore l’oeuvre de Chicotot Le Tubage du diphtérique (fin 20ème) aura été propice dans la thématique imagée du soin thérapeutique. rapport entre l’art et la médecine est encore plus explicite orsque dans une iconographie la scène confronte directement le médecin et l’artiste. pour évoquer cette situation particulière des « deux hommes de l’art » (artiste/médecin), nous retiendrons l’oeuvre de Goya intitulée Goya et son médecin Arrieta, peint par l’artiste en 1820. Cette toile, montre le médecin en train de soutenir l’artiste tout en l’aidant à boire une boisson médicamenteuse. La fatigue de Goya est bien visible sur ce ta 3 OF s tout en l’aidant à boire une boisson médicamenteuse.
La fatigue de Goya est bien visible sur ce tableau ( montrer : corps anguissant, tête légèrement de côté et fléchissant à l’arrière, yeux mi-clos, bouche entrouverte comme pour exprimer un gémissement, mains crispées sur les draps du lit ). L’oeuvre est réalisé après que l’artiste est retrouvé la santé comme pour montré la souffrance qu’il a enduré, comme le précisent les mots écrit dans la légende par le peintre lui-même et il y explique clairement les motivations de son action.
L’artiste, plein de reconnaissance envers son ami, aurait donc ressenti le besoin de livrer se message personnel à celui-ci. (témoignage personnel) En ffet, cette image, au réalisme particulier, invite expressément à l’interrogation comme si le mystère qui l’accompagne est bien celui que chacun de nous s’apprête a vivre un jour. Chacun s’interroge sur les raisons fondamentales de la destinée de cette oeuvre ne s’agiré t-il pas d’une possible conjuration de la mort ?
Element de biographie, produit de la ferveur reconnaissante, objet incantatoire ou de réflexion philosophique, lloeuvre, dans tous les cas, pose la question même du rapport de l’art et de la vie, de l’art et de la maladie et de la guérisson et c’est pourquoi elle est curieuse pour notre réflexion. La volumineuse étude de Raymond Klibansky, Erwin Panofsky et Fritz Saxl recense de manière savante l’image de la mélancolie et propose une analyse de son évolution d’une finesse indépassable.
L’image saturienne est l’objet d’un remarquable examen dont les auteurs ne manquèrent pas de n 4 OF S L’image saturienne est l’objet d’un remarquable examen dont les auteurs ne manquèrent pas de nous avertir de la complexité. Durant le 20ème siècle, les artistes se sentent concerner par une mission, il s’agirait de faire ressortir la santé dans leurs oeuvre qu’elle soit à la fois en rapport avec la santé physique ou bien la anté morale ou une maladie à représenter.
Que se soit avec les défigurations d’Arnult Rainer ou la surprenante série CArtiste ? l’hospital de Gérard Gasiorowski ou bien encore les recours à la chirurgie esthétique d’Orlan. Dès le début du 20ème siècle, et des quatre ou cinq décénie qui vont suivre, ceux qui allaient devenir les grands artistes de la modernité mettent clairement en avant cette mission qu’ils entendent conférer à la création artistique. Matisse lui, prété ses propres tableaux à ses amis malade dans l’espoir de leur apporter soutien et réconfort, ce qui confirme les royances dans les vertus thérapeutique de l’art.
Le remède est davantage contenu dans les rapports que l’artiste tisse, à partir de son oeuvre, avec le spectateur. Le geste de l’artiste compte tout autant, voire plus que l’objet qu’il produit. Une fois celle-ci conçue et donc arrêtée dans sa forme, le spectateur devra, pour qu’elle agisse à nouveau, réactiver, par la mémoire, le geste qui l’a fait naître. Sa fonction de traitement n’est pleinement révélée que par la relation triangulaire qui s’installe entre l’artiste, lloeuvre et le spectateur. L’art Médecin S OF s