Arcticle alcools de apolinaire
Tout d’abord il faut savoir qu’poliraient en 1904 pense a réunir une trentaine de poèmes écrits en allemande sous le titre de Le vent du rein, plusieurs poèmes figureront dans Alcools tels que ranches (suite de neuf poèmes) ; Colchiques, le Vent nocturne, la Chanson du Mal-aimé. D’autres poèmes d’Alcools ont déjà été ou seront publiés dans des revues, certains depuis fort longtemps, tel que le pyrex appeler le brasier dans Alcools .
En 1910, poliraient songe à recueillir des poèmes sous le titre Eau de Vie. De 1911 à 1912 poliraient donne la forme définitive à son recueil, ainsi des poèmes sont supprimés ou ajoutés, dont certains sont inédits. Le 28 décembre 1912, le poète juge son ouvrage terminé. Fin 1912 Eau de Vie devient Alcools. En 1 913 Zone, un des derniers poèmes en date, est ajouté et devient le poème liminaire du recueil. Diverses modifications dans l’ordre des poèmes sont alors effectuer avant la pub swaps toi vie nixe page érectile alcools de polaire premier boy mox77410 pâque 23, 2009 3 pages publication du recueil définitif.
C’est alors qu’poliraient supprime toute ponctuation. I Quelques critiques Maintenant parlons de l’accueil fait au livre. Tout d’abord quelques échos plutôt favorables de la part de ses amis comme égide & cendrées, « Vous êtes mon maître, vous êtes notre maître à tous » (cendrées), pour certains journalistes ce recueil est la poétique de l’année. Ainsi e journal La Phalange par exemple lui réserve un accueil sympathique. En revanche nous trouvons aussi des propos plus nuancés « une démarche aventureuse », « une sorte de charme composite », « par e chemin des pires artifices, il arrive qu’il monte au c?Ur ».
Le principal accusateur est égorges démêle, du Mercure de France, qui aime seulement, dans le recueil, les six poèmes « à la Santé » et qui compare le recueil à une « boutique de brocanteur ».