Antonin le pieux

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Détails de la colonne La colonne fut élevée en 161 à proximité de l’sternum ‘Antoni le Pieux (enceinte destinée à la crémation). Son diamètre était di m, et sa hauteur de 14,75 m (23 m environ avec le piédestal et la statue de l’empereur Antoni qui la surmontait, attestée par des monnaies émises après sa mort). Le bloc de granite rouge avait été préalablement extrait en 106, comme l’atteste une inscription de carrier située à la base.

Le fût était entièrement lisse, contrairement à celui des deux autres colonnes triomphales conservées à orme jusqu’ nos jours, la colonne trépane et la colonne de Marc-auréole, toutes deux hochement ornées de scènes en bas et hauts reliefs. Anton e pieux premier boy maximisée 1 empâta 22, 2011 5 pages le Pieux (138-161) par ses successeurs, les empereurs Marc swaps toi vie nées page La base de la colonne fut complètement ensevelie au Moyen Âge, mais la partie inférieure du fût émergeait sur une hauteur d’environ 6 mètres.

Les vestiges furent redécouverts en 1703, lors de démolitions, en même temps que l’sternum d’Antoni le Pieux. Ils furent entièrement dégagés, mais on ne prit pas immédiatement de décision concernant la restauration de la colonne, et le monument ut encore à souffrir, en 1759, de l’incendie de l’abri sous lequel il était entreposé. Il y eut encore un projet de restauration en 1764, mais il n’about it pas. Finalement, des fragments du granite de la colonne furent réutiliser en 1789 pour compléter l’obélisque du minoritaire.

La base sculptée de marbre blanc d’italien fut restaurée en 1706-1708 et placée au centre de la pizza di minoritaire en 1741, avant de trouver sa p ace aux musées du vaticiner, en 1787, lorsqu’ décida de reconstituer à cet endroit l’obélisque solaire d’Auguste. Elle a été longtemps conservée dans la niche de miches-Ange du corticale delà pagina. Elle se trouve actuellement dans la cour de l’entrée de la phonothèque. La base carrée de marbre blanc est ornée de hauts reliefs sur trois faces, et d’une dédicace à Antoni le Pieux[] sur la quatrième.

Face principale : l’apothéose d’Antoni Sur la dédicace à Antoni le Pieux[] sur la quatrième. Sur la face opposée à la dédicace figure le haut-relief de l’apothéose d’Antoni : l’empereur, portant un sceptre surmonté d’une aigle, est porté au ciel avec sa femme faussaient par un génie ailé souvent identifié à l’Éternité, portant une sphère remailler où se dresse un serpent, sous le regard de la déesse orme casquée et armée d’un bouclier orné d’une figure de rompus et remues allaités par la louve, et du génie du Champ de Mars à gauche, portant l’obélisque solaire d’Auguste (Obélisque du minoritaire).

Deux aigles les accompagnent dans les cieux. Faces latérales : les cavalcades funèbres Les deux autres faces sont ornées de scènes figurant la « décruser » (cavalcade rituelle autour du bûcher, lors des Sur les deux faces presque identiques, des cavaliers entourent des personnages debout : deux sont armés légèrement, et les autres portent toute la panoplie. Ces scènes ont souvent été critiquées pour leur manque d’espace et de perspective, mais aussi pour l’imperfection de leur style.

La vue à vol d’oiseau de la man?ouvre circulaire encerclant des personnages figurés à hauteur d’homme manque effectivement de réalisme, mais elle est loin d’être personnages figurés à hauteur d’homme manque effectivement de réalisme, mais elle est loin d’être pourvue de sens artiste?que : ces deux scènes voient leur perspective rétablie de fait lorsqu’ les contemple de près, le regard vers le haut, en contre-plongée. Sources : échapperai : « Colonne d’Antoni le Pieux » (top:// et échapperai : « Antoni le Pieux » (top://fer. Équiperai. Orge/kiwi/ Antoni le Pieux) Religion : Il adopta envers les Chrétiens la même politique de méfiance libérale (ou de tolérance méfiante) que ses prédécesseurs trajet et draine. L ‘historien subie de cessera nous a conservé un fragment de lettre où le bon Antoni donne ses instructions à ce sujet : « De nombreux gouverneurs de province avaient écrit à mon divin Père (z draine) au sujet de ces gens (= les Chrétiens).

Il leur avait répondu que ces individus ne devaient nullement être maltraités tant qu’ils ne seraient pas trouvés à comploter contre l’Empire romain. Beaucoup ont eu aussi recours à moi à leur sujet, et je leur ai répondu en suivant la décision de mon Père. Si donc quelqu’un continue à attaquer l’un de ces Chrétiens et le dénonce parce que tel, que ce Chrétien soit absolus, même s’il apparaît qu’il est Chrétien ».