Anthologie Francais

essay B

Les Heurs du mal de Charles Baudelaire est une œuvre qui suscite les émotions du lecteur. Ce recueille se compose de l’ensemble des pensées de son auteur. Baudelaire sera même trainé en justice pour certain de ses poemes à connotation érotique composant Les Fleurs du mal. Dans son recueille, Charles Baudelaire livre ainsl à son lecteur l’ensemble de ses sentiments, sa vision du monde ou encore même son mal être. Il propose d’ailleurs à son destinataire, avec Spleen et idéal, sa redéfinition du bien et du mal.

Baudelaire marque nombre de ses poèmes avec des sujets comme la mort, ‘ennuie ou bien encore la mélancolie. Le poète nous fait paraitre ces trois éléments de la vie comme une fatalité et rappel ainsi au lecteur que ‘hom retrouve beaucoup d en partie à son voya Exotisme qui est sou passion ainsi que du OVE Sni* to Néanmoins on es de Baudelaire dû • cn 41 à l’âge de 20 ans. de la femme, de la anière de traiter le sujet des femmes est empreinte de cette touche étrangère, les poèmes « Parfum exotique » ou « A une dame créole » montrent très bien l’influence que son voyage a eue sur son écriture.

Ce sont d’ailleurs en parti ce genre de poèmes qui lui valurent la censure de certains. Beaucoup des œuvres de Baudelaire marquent d’ailleurs une de ses grandes pensées : le passage de la reali page réalité (du corps) à l’esprit. Les textes que j’ai choisis pour cette anthologie permettent de mettre en évidence ces aspects des poèmes de Baudelaire. Aussi bien Individuellement ou encore associés ceci exprlment les différentes phases émotlonnelles Baudelairiennes : l’idéal et le spleen, le corps et l’esprit ; mais aussi les différents cadres : l’univers quotidien et l’univers xotique.

J’ai regroupé ces quatre poème pour leur point de ressemblance et surtout car la mort et très présente même si il ne s’agit pas de la seule thématique que Charles Baudelaire est exploité. Leur côté sombre et sinistre et le travail sur l’esprit spirituelle m’a aussi obllgé à les raccordé entre eux car on constate qu’il est aussi question de l’esprit dans chacun de ces poème. Voici la liste des poemes : L’Albatros La Muse Malade Spleen : Quand le ciel bas et lourd Tout Entière Souvent, pour s’amuser, les hommes déquipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme ui volait l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ;

Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher J’ai choisi ce poème de par son thème marin mais aussi par l’image qu’il m’a évoquée. Une image plutôt aérienne et maritime. Cette peinture résume bien la pensée que je m’en suis fait car le teint sombre de cette image me rappelle aussi le côté sinistre du poème. On retrouve beaucoup des thèmes de Baudelaire tel que la mort ou encore le travail qu’il apporte sur le décore. Sur cette image on peut d’ailleurs constater le grand nuage sombre qui rappel « la tempête ».

L’auteur fait de plus ressortir les défauts de l’homme et sa laideur par rapport à l’oiseau. C’est aussi cette description de Féquipage qui m’a fait choisir ce poème car celle- ci reste tout de même caricaturale mais on y retrouve tout de même un fond de vérité. On retrouve d’ailleurs la spiritualité du poète lorsque celui-ci le compare à un prince des nuées. La Malade Ma pauvre muse, hélas! Qu’as-tu donc ce matin ? Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes, Et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint La folie et l’horreur, froides et taciturnes.

Le succube verdâtre et le rose lutin Tont-ils versé la peur et l’amour de leurs urnes ? Le cauchemar, d’un poing des Oti ue et mutin, Ta-t-il noyée au fond d’un turnes ? paGF3Cf6 Minturnes ? Je voudrais qu’exhalant l’odeur de la santé Ton sein de pensers forts fût toujours fréquenté, Et que ton sang chrétien coulât à flots rythmiques Comme les sons nombreux des syllabes antiques, Où règnent tour à tour le père des chansons, Phoebus, et le grand Pan, le seigneur des moissons. J’ai fait le choix de ce poème car il évoque très clairement l’un des hèmes et principaux centre d’intérêt de Charles Baudelaire : la mort.

Comme dans le précédents poème on la retrouve cela dit le décor est beaucoup plus macabre car l’on retrouve le froid ainsi que Phorreur. Ce poème ma tout de suite évoqué cette image car on peut observer que sur cette image que la femme (la femme fait partie des grande thématique de Baudelaire) regarde le squelette (donc la mort) se qui pour moi interprète le vers : « Tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes » (vers. 2). De plus le style de photo ancienne avec les rebords teinté et très sombre llustre bien le décore lugubre du poème.

J’ai aussi fait le choix de ces vers car il évoque bien les pensées de Baudelalre sur sa définition du spleen. Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que l’horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste ue les nuits; Quand la terre est changé t hum PAGF nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide; Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile tlmlde

Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un peuple muet d’infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. Et de longs corbillards, sans tambour, ni musique, Défilent lentement dans mon ême; l’Espoir, Vaincu, pleure, et l’Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

Le choix de ce poème est assez simple, c’est un texte que nous avons étudié en classe et le coté macabre que Baudelaire lui ? apporter ma tout de suite plut. Ce poème sinistre et horrifique est bien souligné par l’apparition de bête assimilé à l’horreur tel que les araignées (vers. 1 1) ou encore la chauve sourie (vers. 6). De plus « Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, » (vers . 13) vient souligner le côté déjà répugnant de l’araignée. La mort est presque omniprésente dans la dernière strophe ce qui explique d’ailleurs le choix de cette photo. Cette image évoque une Danse

Macabre. De plus le font sombre et le ciel gris et bas me rappelle la strophe une. Le Démon, dans ma chambre haute, Ce matin est venu me v bas me rappelle la strophe une. Ce matin est venu me voir, Et, tâchant à me prendre en faute, Me dit: «Je voudrais bien savoir, Parmi toutes les belles choses Dont est fait son enchantement, Parmi les objets noirs ou roses Qui composent son corps charmant, Quel est le plus doux. » – O mon âme ! Tu répondis à l’Abhorré : «puisqu’en Elle tout est dictame, Rien ne peut être préféré. Lorsque tout me ravit, j’ignore Si quelque chose me séduit.

Elle éblouit comme l’Aurore Et console comme la Nuit , Et l’harmonie est trop exquise, Qui gouverne tout son beau corps, Pour que l’impuissante analyse En note les nombreux accords. O métamorphose mystique De tous mes sens fondus en un ! Son haleine fait la musique, Comme sa voix fait le parfum! » Le choix de ce dernier poème c’est porté sur le fait qu’il ressemblait beaucoup au deux dernier de par sa connotation sinistre et une présence de la mort mais beaucoup moins distingué. On retrouve en effet des allusions à caractère satanique par la présence vers. 1) et la prise de