analysé pratique cardio
Étudiante en 1ère année de soins infirmiers, j’effectue mon 2ème stage qui se trouvait en milieu hospitalier dans un service de cardiologie, constitué de 28 lits répartis dans cinq chambres doubles et dix-huit chambres seuls. Le service est divisé en deux secteurs de quatorze lits, chaque secteur est pris en charge par une infirmière et une aide-soignante. Le 18 février 2014, 3ème semaine de stage, rinflrmière du 1er secteur, secteur sur lequel je suis habituellement, me demande d’aller faire un Électrocardiogramme (ECG) à Monsieur G. J. ar il retourne à sa maison de retraite aujourd’hui, dans le service il est ffectué un ECG à chaque patient le jour de leur départ afin qu’il reparte avec un nouv électrique dans leur Mr G. I. est un patient fibrillation auriculaire cérébral en 2011, ce ur. Sni* to View rence de l’activité vrier 2014 pour ent vasculaire miparésie légère du côté droit et à des ditticult s se mobiliser et des troubles majeurs de locution. C’est un patient que je ne prends pas en charge habituellement, je ne le connais pas, seulement quelques informations entendues lors des transmissions orales de fin de service.
Il est 10h je me dirlge vers sa chambre, je frappe à sa porte, ‘entends pas de réponse mais connaiss Swipe to View next page connaissant ses troubles de la parole je me permets d’entrouvrir la porte et d’avancer d’un pas dans sa chambre, je lui dis bonjour, me présente et lui explique que je viens lui faire un ECG, je lui dis que cet ECG lui servira de tracé de référence et qu’il permet aussi d’effectuer un dernier contrôle avant sa sortie de l’hôpital ; le patient ne parle pas mais je peux voir dans l’expression de son visage qu’il m’entend et me comprend et il finit par acquiescé.
J’entre alors dans la chambre avec l’électrocardiographe, referme a porte et met ma présence ; je me positionne debout à côté du lit du côté gauche du patient. Je monte le lit et je l’indique au patient, je lui explique que je vais devoir défaire sa chemise pour poser les électrodes sur son torse, je m’exécute et descends aussi un peu la couverture pour avoir accès à ses cuisses. Je pose six électrodes sur son torse, une à chaque poignet et une sur chaque cuisse, j’allume l’électrocardiographe et branche les pinces de l’électrocardiographe sur les électrodes.
Une fois qu’un tracé fiable apparait sur l’écran j’appuie sur le bouton « imprimer » ; ‘attends que l’impression soit terminée, regarde le résultat qui est correcte et je colle une étiquette du patient sur le tracé papier. J’indique alors au patient que c’est terminé et que je vais pouvoir retirer les électrodes et le rhabiller. Je débranche les pinces puis retire les électrodes que je PAG » OF d électrodes et le rhabiller. Je débranche les pinces puis retire les électrodes que je jette dans le petit bac prévu à cet effet sur le charriot de l’électrocardiographe.
Je remets correctement la chemise de Mr G. J. et remonte sa couverture puis je descends le Je dis à Mr G. J. ue je vais ranger ce tracé dans son dossier et qu’il lui servira de tracé de référence qu’il pourra apporter lors d’une consultation ou en cas de nouveau problème puis je lui explique que le médecin ne va pas tarder à passer le voir et qu’ensuite une société d’ambulance viendra le chercher à 11h30 pour le ramener à sa maison de retraite.
Je lui souhaite un bon retour, il me répond mals même si je ne comprends pas tous les mots je pense que [‘intention est comprise grâce à l’expression de son visage, je lui souris et sors de la chambre. Cette situation m’a permis de me questionner sur l’importance e la communication, je me suis sentie un peu mal à l’aise face ? ce patient qui ne me parlait presque pas, car je ne savais pas vraiment comment instaurer une relation face à un patient qui ne parle pas beaucoup et avec difficulté.
Je me suis demandée comment établir une relation de son sans la parole, je me suis rendue compte de [‘importance de la communication non verbale qui peut nous en apprendre presque autant sur un patient que la parole. Cette situation m’a surtout permis de remettre en question ma communication et aussi de question ma communication et aussi de faire plus attention par la uite à tout l’aspect non verbale d’une relation, c’est-à-dire qu’en sortant de la chambre rai essayé d’analyser la sltuation afin de voir ce que je pourrais améliorer pour une prochaine fois. ar la suite j’ai donc essayé d’améliorer ma communication dans une relation de soin, j’ai été plus attentive à tous les aspects non- verbaux d’une communication. Cette situation m’a aussi permis de me questionner sur l’importance de la traçabilité et des transmissions ; par exemple ici le respect de l’identitovigilance par le fait de mettre une étiquette du patient sur le tracé de l’ECG permet d’éviter es erreurs par la suite et les transmissions orales faite par l’infirmière avant que j’aille dans la chambre permettent d’appréhender la situation afin de mieux réaliser le soin par la suite.
Le fait de faire un ECG à chaque patient le jour de leur sortie de l’hôpital est fait afin que chaque patient parte avec un ECG de référence en cas de nouveau problème ou lors d’une consultation, mais je me suis questionnée sur ce protocole de sortie sur un autre aspect : Est-ce une façon de se déresponsabiliser en cas de soucis par la sulte ? Est-ce également un dernier contrôle avant de laisser partir le patient ?